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Anticiper un anévrisme, une super lune bleue et les deux Corée unies pour les JO
La découverte de la mutation d'un gène qui rend possible la prévention des ruptures d'anévrisme. Une "super Lune bleue de sang" dans le ciel le 31 janvier prochain. Ou encore, les deux Corée qui feront équipe commune en hockey féminin lors des Jeux olympiques 2018… Ce sont les bonnes nouvelles de la semaine.
Flickr/CC/Violaine Bavent
Les deux Corées qui formeront une équipe commune de hockey et défileront ensemble lors des prochains Jeux olympiques. Des chercheurs qui souhaitent développer un biomarqueur capable de déceler précocement l’anévrisme cérébral. Ou encore l’incroyable "super Lune bleue de sang" qui se dévoilera dans la nuit du 31 janvier 2018… L’actualité est aussi faite d’informations positives.
Corée du Nord et du Sud unies
C’est un geste symbolique. Les deux Corées ont annoncé que leurs équipes défileront ensemble lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver de Pyeongchang, le 9 février prochain, et porteront le drapeau représentant la péninsule coréenne unifiée, bleu ciel sur fond blanc. De plus, les deux pays formeront une équipe féminine commune pour l’épreuve de hockey sur glace. Les skieurs devraient, eux, s’entraîner ensemble dans à la station de Masikryong.
Super lune bleue de sang
Dans la nuit du 31 janvier, levez les yeux vers le ciel, et vous pourrez admirer une "super lune bleue de sang". La dernière date de… 1866 ! Il faut dire qu’un tel phénomène n’est possible que lorsque trois évènements se produisent simultanément : une super lune (la pleine lune est au plus près de la Terre), une lune bleue (deuxième pleine lune au cours du mois calendaire), et une éclipse lunaire (la Terre s’interpose entre le Soleil et la Lune). On ne pourra malheureusement pas observer le spectacle depuis la France métropolitaine. Il faudra être en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie.
Prévenir les anévrismes ?
Des chercheurs du CHU et de l’Institut du thorax de Nantes auraient trouvé le gène muté responsable d’une forme génétique des anévrismes cérébraux, selon leur étude publiée dans la revue American Journal of Human Genetics : le gène ANGPTL6. Les chercheurs souhaitent ainsi pouvoir développer une prise de sang capable de déterminer la mutation du gène, ce qui permettrait de diagnostiquer précocement les anévrismes.