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Cet été, je n’irai pas voir la mer

Vacances, j’oublie tout. Ou presque. Adieu chaos social et attentats à répétition… Point de coup de gueule politique. L’été chez Weekly, c’est calme, luxe et… carte postale.

Ô rage ! Ô désespoir ! Après des mois de grisaille et de pluie, le soleil et la mer semblaient être mes seuls saluts. Mais cette année, point de grande bleue à l’horizon. Pas plus d’océan. Et pourtant… Affalée sur une serviette, le vernis assorti au maillot de bain, un verre à la main, la plage m’appelle.

Pourquoi ne pas y aller, me direz-vous ? D’abord parce que le budget vacances a été engloutis dans un autre projet. Ensuite, parce que le bon plan pour aller du côté de Lacanau une semaine est tombé à l’eau. Et enfin, parce que le farniente avec bébé, ce n’est pas envisageable. Ni même agréable. Alors tant pis pour la mer.

De toute façon, le sel et les UV auraient finir par me bousiller les cheveux. Il faut bien une raison pour se convaincre que, finalement, cette destination tant désirée n’est pas la bonne. Et puis tout ce monde agglutiné, serré, collé. Ce sable rempli de mégots et de microbes. Cette eau pleine de méduses… Ne tirez pas ! Je ne dénigre pas vos vacances à la mer. Je tente la méthode Coué. Pas très convaincue par son efficacité.

À défaut d’océan, je m’offrirai un lac. Je remplacerai le sable chaud par de grandes étendues d’herbes folles. Je troquerai les poissons contre une vue hallucinante de la Voie lactée. J’apprécierai d’être sans connexion (et peut-être même sans réseau). Je profiterai des miens.

Tant pis pour la mer, j’irais l’année prochaine.

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