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Ils nous ont quittés cette année…

Les candidats à l’exil fiscal se bousculent aux portes des cabinets d’avocats spécialisés. Depardieu, Arnault, et Afflelou en tête de peleton. Mais sont-ils les seuls ? Et finalement, qu'est-ce que ça change ?

Ils courent, ils courent les exilés… Vers de nouvelles contrées sans ISF, ni plus-value. Vers de nouveaux pays où les riches restent… riches ! Depardieu, Arnault, Afflelou… Ils courent, ils courent. Et alors ?

Après l’ère bling bling où il fallait passer ses vacances sur un yacht et avoir une Rolex, l’heure est à la pauvreté et à l’auto-flagellation ? Cela fait pourtant belle lurette que certains ont déménagé chez nos voisins européens, ou plus loin, pour échapper au "partage des richesses", pilier de notre système solidaire. Et au final ? L’ère a changé, mais pas le propos. On parle encore et toujours de ceux qui gagnent beaucoup, de ceux qui dépensent sans retenue. Et comme toujours, il y a ceux qui font la Une. Et il y en a de plus discrets. Qu’on mette notre Gérard national au pilori et qu’il se défende avec toute la finesse qu’on lui connait n’étonne personne… Si ?

Mais qui montre du doigt les gens "normaux" qui s’en sont allés vers d’autres horizons ? Ceux qui partent dans l’ombre, sans jamais être inquiétés. Apparemment, les candidats à l’exil fiscal se bousculent aux portes des cabinets d’avocats spécialisés. Ils sont plus nombreux à se présenter que par le passé. Et pourtant, ils ne sont pas plus nombreux à sauter le pas. Alors pourquoi tant de raffut ? Bon réveillon et bonne année à tous.

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