Retrouvez Weekly sur Facebook

France

L’essentiel de l’actualité en France du 3 au 9 juin 2017

C’est le rattrapage de l’actualité en France. L’attaque de Notre-Dame de Paris. Les deux victimes de l’attentat de Londres. Les propos polémiques de Macron sur les kwassa-kwassa. La loi Travail, version 2. La réforme du baccalauréat. La reconversion d’Arnaud Montebourg. L'État attaqué en justice pour sa politique de lutte contre la pollution de l'air. Le départ de William Leymergie. Ou encore le retour sur Terre de Thomas Pesquet… Voilà ce qu’il fallait retenir cette semaine.

1/ L’attaque de Notre-Dame de Paris

Un homme qui a attaqué un policier à l’aide d’un marteau sur le parvis de Notre-Dame de Paris. Un second fonctionnaire a immédiatement riposté, blessant le suspect au thorax. Ce dernier, Farid Ikken, aurait crié "C’est pour la Syrie", puis aurait affirmé, une fois à terre, être "un soldat du califat". Il a été placé en garde à vue. La section antiterroriste du parquet de Paris a ouvert une enquête. Lors d’une perquisition menée à son domicile de Cergy-Pontoise, les enquêteurs ont découvert une vidéo dans laquelle il prête allégeance à l’organisation terroriste État islamique. Le suspect était inconnu des services de renseignements. Le policier agressé a été hospitalisé sans que ses jours soient en danger.


2/ Les victimes françaises de l’attentat de Londres

L’attaque de Londres a fait sept morts, dont deux Français. Alexandre Pigeard et Sébastien Belanger. Le premier était serveur. Le second prenait un verre au bar après une soirée football. Là où les trois assaillants, armés de couteaux, ont agressé les clients.


3/ La task force de Macron

Emmanuel Macron veut donner une nouvelle impulsion à la lutte contre le terrorisme avec une autorité de pilotage à l’Élysée. Ce qu'il avait appelé une "task force anti-Daech" lors de sa campagne. Ce "centre national de contre-terrorisme" sera dirigé par Pierre de Bousquet de Florian, ex-numéro 1 de la DST sous Jacques Chirac et comptera une vingtaine de spécialistes des différents services et d'analystes, chargés d'alerter 24 heures sur 24 le président en cas de besoin.


4/ Six personnes en garde à vue dans l’enquête sur l’attentat des Champs-Élysées

Cinq personnes ont été arrêtées, deux hommes et trois femmes, dans le cadre de l’enquête sur l’attentat des Champs-Élysées. Un sixième suspect a également été placé en garde à vue. L’homme de 24 ans s’est spontanément présenté aux forces de l’ordre. Les enquêteurs cherchent à établir d’éventuelles complicités dans la fourniture du fusil d’assaut Kalachnikov utilisé par Karim Cheurfi pour tuer un policier, Xavier Jugelé, et blesser deux de ses collègues le 20 avril dernier.


5 / Le mémorial temporaire en mémoire des victimes de l'attentat de Nice

À Nice, un mémorial temporaire en mémoire des victimes de l'attentat de Nice a été inauguré sur la promenade des Anglais dans les jardins de la villa Masséna. Il est constitué de la fontaine utilisée lors de l'hommage national en octobre dernier, où 86 roses avaient été déposées par des lycéens, surmontée d'un cœur, formé par les noms des 86 victimes. De nombreuses familles des 86 personnes tuées et 434 blessés ont assisté à la cérémonie.


6/ Les propos polémiques de Macron sur les kwassa-kwassa

En visite la semaine dernière dans le Morbihan, le président de la République a plaisanté au sujet des "kwassa-kwassa", des petites embarcations utilisées par les migrants de l'archipel indépendant des Comores pour rallier Mayotte. Des propos qui sont mal passés. Emmanuel Macron a dit : "Mais le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien, c'est différent. Les tapouilles, c'est les crevettiers". Sauf que chaque année, des centaines de décès sont à déplorer à la suite de naufrages. Le service de communication de l'Élysée a indiqué que les propos du président étaient "une plaisanterie pas très heureuse sur un sujet grave, dont le président de la République a pleinement conscience". Le Conseil représentatif des Français d'origine comorienne a "condamné avec la plus grande fermeté les déclarations racistes et déshumanisantes du président Macron" et demandé "expressément des excuses publiques".


7/ Les points clés de la future loi Travail 2

Le Premier ministre Édouard Philippe a présenté le détail du projet de loi Travail aux partenaires sociaux. Un texte ambitieux pour "rénover en profondeur le modèle social français". Les grandes lignes ont fuité dans la presse, dans les colonnes du Parisien. Il comporte huit grands axes.
- Le premier concerne la négociation à la carte dans les entreprises. La loi El Khomri avait prévu que le temps de travail pouvait être négocié au sein même de l'entreprise. La loi Travail 2 veut aller plus loin en laissant aux entreprises le soin de quasiment tout négocier, que ce soit le contrat de travail, la durée du travail, la santé, la sécurité, le salaire...
- Le deuxième axe concerne le barème des prud'hommes. Initialement prévue dans la loi Macron de 2015, l'instauration d’un plafond et d’un plancher pour le montant des dommages et intérêts versés au salarié en cas de licenciement abusif avait été retoquée par le Conseil constitutionnel. Également prévue dans la loi El Khomri, cette réforme avait été retirée face à la mobilisation. Elle revient donc pour la troisième fois. Mais les montants d'indemnisation n’ont pas été précisés.
- Le troisième axe concerne le référendum à l'initiative de l'employeur. Pour faciliter l'adoption des accords au sein de chaque entreprise, l'employeur pourra organiser un référendum. Aujourd’hui, ce pouvoir n’est réservé qu’aux syndicats majoritaires (c’est-à-dire qu'ils représentent au moins 30 % des salariés). L’année dernière, les syndicats avaient mis leur veto, craignant que l'employeur ne soit tenté d'exercer des pressions sur les salariés.
- Le quatrième axe concerne la place des branches. D'après le texte, la "primauté sera donnée aux accords d'entreprise sur les accords de branche", et "c'est seulement à défaut d'accord d'entreprise que la branche interviendra". Aujourd’hui, il y a six thèmes de négociations obligatoires dans la branche sur lesquels les employeurs ne peuvent pas déroger dans un sens moins favorable aux salariés, par accord d'entreprise : égalité hommes-femmes, pénibilité, salaires, classifications, prévoyance et formation professionnelle. Avec la nouvelle loi Travail, ils ne seraient plus que deux : les salaires minimums et l'égalité professionnelle.
- Le cinquième axe concerne la fusion des IRP. Le projet prévoit de fusionner le comité d'entreprise, le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) et le délégué du personnel (DP) dans une instance unique, "sauf avis contraire des entreprises concernées".
- Le sixième axe concerne le chèque syndical. En contrepartie de la fusion des instances du personnel, le projet prévoit la mise en place du fameux chèque syndical promis par Emmanuel Macron dans son livre-programme. Il s'agit de "permettre à chaque salarié d'apporter des ressources financées par l'employeur au syndicat de son choix".
- Le septième axe concerne les administrateurs salariés. Un point réclamé par la CFDT et la CGT depuis très longtemps. Toutefois, le gouvernement compte y aller tout doucement. Il s'agit de "mettre en place des incitations" pour que les entreprises augmentent le nombre d'administrateurs salariés par des accords de groupe ou d'entreprise.
- Le huitième axe concerne la réforme de l'assurance chômage. Après la réforme du Code du travail s'enclenchera "dès septembre 2017" un "deuxième temps" consacré aux réformes de l'assurance chômage, de la formation professionnelle et de l'apprentissage. De plus, la "suppression des cotisations salariales sur l'assurance maladie et l'assurance chômage" sera "effective dès le 1er janvier 2018", "financée" par une hausse de la CSG.
Le projet de loi d'habilitation pour légiférer par ordonnances sera à l'ordre du jour du Conseil des ministres le 28 juin, avant d'être voté durant l'été par le Parlement. Le gouvernement entend bien boucler sa réforme du Code du travail avant la fin de l'été. Et pour ménager les syndicats, le Premier ministre a prévu une concertation "approfondie" avec pas moins de 48 réunions, assurant "qu’agir par l'instrument des ordonnances, ce n'est pas renoncer à la discussion".


8/ Un baccalauréat "plus musclé" pour être "plus utile"

Le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a assuré vouloir "remuscler" le baccalauréat afin de le rendre "plus utile". Le but ? Offrir aux élèves un "tremplin pour la suite", et pas simplement une "évaluation finale" à l'issue du lycée. Emmanuel Macron avait promis une "modernisation" de cet examen avec une épreuve portant sur les quatre matières principales, tandis que les autres seraient évaluées sous forme de contrôle continu. Jean-Michel Blanquer a assuré que pour ce nouveau baccalauréat, "le débat est très largement ouvert", et que "des discussions et des concertations" seraient lancées "dans les temps qui viennent". Le baccalauréat 2017, lui, débute le 15 juin avec l’indéboulonnable épreuve de philosophie.

Et sinon, on retiendra aussi…
- Le gouvernement a annoncé le retour du redoublement à l’école. Une pratique devenue rare. Pour le ministre de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, "il n'est pas normal d'interdire le redoublement. Il y a quelque chose d'absurde à laisser passer de classe en classe des élèves accumulant des retards".

9/ Le Conseil constitutionnel valide l'arrêt des traitements prévu par la loi sur la fin de vie

Le Conseil constitutionnel a validé la procédure d'arrêt des traitements des patients incapables de s'exprimer, prévue par la loi sur la fin de vie, précisant que la décision du médecin d'arrêter ou de limiter les traitements de maintien en vie doit être "notifiée aux personnes" qu'il a interrogées sur la volonté du patient "dans des conditions leur permettant d'exercer un recours en temps utile". Les Sages avaient été saisis par l'UNAFTC (l'Union nationale des associations de familles de traumatisés crâniens et de cérébro-lésés) qui déplorait que la décision ne dépende que des seuls médecins lorsque le patient est incapable de s'exprimer en raison de son état, dès lors qu'il n'a pas laissé de directive anticipée. Selon l'UNAFTC, "le doute devrait profiter au droit fondamental à la vie".

Et sinon, on retiendra aussi…
- Emmanuel Macron a demandé à son homologue turc le retour en France "le plus vite possible" du photojournaliste français de 36 ans Mathias Depardon, détenu en Turquie depuis le 8 mai dernier.

- Le Premier ministre Édouard Philippe a annoncé le report du prélèvement à la source à janvier 2019.
- Bernard Cazeneuve a bien porté plainte contre Jean-Luc Mélenchon à la suite des propos du leader de la France insoumise, qui l'avait accusé lors d'une réunion publique de s'être, quand il était ministre de l'Intérieur, "occupé de l'assassinat" de Rémi Fraisse à Sivens en 2014.
- Le parquet a décidé de faire appel de la condamnation de Thomas Thévenoud, condamné le 29 mai à trois mois de prison avec sursis et un an d'inéligibilité pour avoir déclaré ses revenus en retard.
- L’ancien ministre de l’Économie Arnaud Montebourg s’est reconverti dans… la production et d’exploitation de miel, dans son fief de Saône-et-Loire.

10/ Perquisition aux Mutuelles de Bretagne dans l’affaire Ferrand

Dans le cadre du dossier Richard Ferrand, une enquête préliminaire a été ouverte. Une perquisition a eu lieu au siège des Mutuelles de Bretagne. Les enquêteurs ont saisi de nombreux documents. Les premières auditions sont prévues cette semaine. Le parquet de Brest doit vérifier les faits rapportés par la presse concernant le ministre de la Cohésion des territoires lorsqu’il dirigeait les Mutuelles entre 1998 et 2012 et, déterminer les conditions d'acquisition par la compagne de Richard Ferrand et de location de l'immeuble brestois où les Mutuelles de Bretagne ont établi un centre de soins, en 2011.


11/ La majorité absolue pour La République en Marche !

Les sondages se suivent et se ressemblent pour La République en Marche !, le mouvement du président Emmanuel Macron. Selon le dernier baromètre Cevipof (Sciences Po), LREM est créditée de 31 % d'intentions de votes, devant Les Républicains (22 %) et le Front National (18 %). La France insoumise reste stable avec 11, 5 %. Le PS allié au PRG recule à 8,5 %. Emmanuel Macron pourrait donc bien décrocher la majorité absolue à l'Assemblée nationale. Le premier tour des élections législatives, c’est ce dimanche.

Et sinon, on retiendra aussi…
- Le coup d’envoi des législatives a été donné pour les Français de l'étranger qui ont commencé à voter dimanche dernier.

- Jean-Luc Mélenchon, candidat aux législatives dans les Bouches-du-Rhône, a été accueilli par quelques jets d'œufs lors d’une visite dans la cité marseillaise Felix Pyat.
- Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, candidat aux législatives dans l'Essonne, a affirmé qu'il était "indépendant" qu'il ne formerait pas de groupe avec le Front national.

12/ L'État attaqué en justice pour sa politique de lutte contre la pollution de l'air

C’est une première en France ! Clotilde Nonnez, une Parisienne souffrant de problèmes respiratoires chroniques, a attaqué l'État en justice pour sa politique de lutte contre la pollution de l'air, qu'elle juge insuffisante, pour "carence fautive". Elle demande une indemnisation de 140.000 euros. Selon son avocat, l'État n'a pas instauré "une réglementation suffisamment contraignante" pour lutter contre la pollution de l'air et quand il l'a fait, "il n'a pas veillé suffisamment" à son application. Il assure par ailleurs qu'une trentaine d'autres personnes feront une démarche similaire dans les mois à venir à Paris, Lyon, Lille et dans la vallée de l'Arve. La pollution de l'air est responsable de 48.000 morts prématurées par an.


13/ L’affaire de l'école catholique l'Angélus

En fin de semaine dernière, l'école hors contrat l'Angélus, située dans le Cher à Presly, a fait l'objet d'une vaste perquisition menée par la gendarmerie. Une soixantaine d'élèves ont été auditionnés. Le directeur, l'abbé Régis Spinoza, a été placé en garde à vue. Et l'établissement a été fermé jusqu'aux vacances scolaires par arrêté préfectoral. C’est à la suite de plusieurs dénonciations que la justice a décidé d’ouvrir une enquête pour "violences sur mineurs de moins et de plus de 15 ans par personne ayant autorité", "agressions sexuelles", "privation d'aliments", "travail dissimulé" et "escroquerie". Les faits dénoncés concernent au moins l'année écoulée. Mais l'enquête doit déterminer s'ils ne s'étendent pas sur des périodes plus anciennes. En tant qu’école hors contrat, elle ne fait l'objet de contrôles que tous les cinq ans.


14/ L’ancien évêque d’Orléans mis en examen dans une affaire de pédophilie

Mgr André Fort, ancien évêque d’Orléans, a été mis en examen pour n’avoir pas dénoncé des actes pédophiles d’un prêtre du diocèse, l’abbé Pierre de Castelet, lui-même mis en examen en 2012. Les faits remontent à 1993 et se seraient produits à l’occasion d’un camp du Mouvement eucharistique des jeunes (MEJ), où officiait le prêtre en tant qu’aumônier. Mgr André Fort avait eu connaissance de ces agissements et avait pris "des mesures conservatoires", mais il n’avait pas porté plainte.

Et sinon, on retiendra aussi…
-
Dans les Vosges, un spectateur d'un rallye automobile a été tué lorsqu'un concurrent a perdu le contrôle de sa voiture et a foncé dans un endroit réservé au public.

- Dans les Côtes-d’Armor, Nicolas Le Borgne, un conseiller municipal de Dinan, est décédé dans le crash de son ULM.
- Cinq cents antifascistes ont défilé à Paris en mémoire de Clément Méric, tué il y a quatre ans, lors d'une bagarre avec des skinheads.

15/ Cofigeo et Arterris s’empare de William Saurin

La direction de William Saurin a accepté une offre ferme de reprise du groupe Cofigeo et du groupe agricole coopératif Arterris. Le sort des 950 salariés du groupe sera définitivement scellé lorsque le tribunal de commerce de Paris aura avalisé ce choix. L'incertitude demeure toutefois pour environ 200 personnes, dont les salariés des salades en boîtes Geo à Ablis (Yvelines) et des pizzas Sombaker à Rancourt (Somme). Fin 2016, un audit mis en œuvre peu après le décès de la dirigeante, Monique Piffaut, avait révélé un vaste trucage des comptes faisant sombrer le groupe dans de graves difficultés financières.


16/ Baccarat passe sous pavillon chinois

La société d’investissement Fortune Fountain Capital (FFC), un fonds d’investissement chinois, a fait une offre irrévocable d’un montant de 164 M€ pour acquérir la cristallerie lorraine jusqu’alors propriété de Starwood Capital, un fonds américain. Si le nouveau patron de Baccarat est une jeune femme d’une trentaine d’années, qui se fait appeler Coco en hommage à Chanel, la directrice générale restera Daniela Riccardi. Coco Chu a affirmé vouloir "réveiller ce trésor vivant, riche de 250 années d’histoire" avec un plan d’investissement de 20 à 30 M€ à court terme, et plus tard, de 50 M€. Elle a également tenu à rassurer en précisant que "ce qui est fait à Baccarat par des gens de Baccarat continuera à y être produit".


17/ Whirlpool sauvé en fabricant des boîtes aux lettres connectées

Selon France Bleu Picardie, sur la quinzaine de dossiers déposés, l’offre la plus prometteuse est celle de l'industriel abbevillois Nicolas Decayeux qui proposerait de garder 200 des 286 salariés du site d’Amiens. L'entrepreneur envisage d’y faire fabriquer des boîtes aux lettres connectées, qui avertiraient les particuliers par mail lors de la réception d'un colis.

Et sinon, on retiendra aussi…
- Le constructeur naval DCNS a attribué au groupe Veolia un contrat de 40 millions d'euros pour la déconstruction de cinq sous-marins nucléaires français.

- Les Ateliers du Meygal, ex-Lejaby, spécialisés dans la maroquinerie de luxe à Yssingeaux en Haute-Loire, vont embaucher 150 personnes en deux ans et ouvrir une école de formation.

18/ William Leymergie quitte Télématin et France 2 pour C8 ?

Après 32 ans à la tête de Télématin, William Leymergie a fait valoir ses droits à la retraite. D’après la chaîne… Car selon Le Parisien, l’animateur pourrait récupérer la case du midi de C8, occupée actuellement par La Nouvelle Édition de Daphné Bürki. Pour remplacer William Leymergie, France 2 pourrait faire appel Bruce Toussaint, selon Puremédias.

Et sinon, on retiendra aussi…
- Le CSA a décidé de suspendre pour trois semaines en juin la publicité dans l’émission Touche pas à mon poste, ainsi que 15 minutes avant et 15 minutes après sa diffusion. Une mesure inédite qui touche directement au portefeuille de la chaîne C8.

- C’était sa 2.575e. David Pujadas a présenté, hier, son dernier JT de 20 heures sur France 2. Après 16 ans de services, il n’a pas mâché ses mots : "Ce n’est pas ma décision, ce n’est pas mon choix mais la route s’arrête".

19/ Que va faire Thomas Pesquet maintenant qu’il est revenu sur Terre ?

Pendant près de six mois, Thomas Pesquet a fait rêver les Français en partageant son quotidien dans la Station Spatiale Internationale (ISS). Coqueluche des réseaux sociaux, l’astronaute a pourtant déclaré, lors de sa conférence de presse à Cologne, ne vouloir tirer aucun profit de sa nouvelle célébrité. À moins que… D’après les informations d’RTL, la production de Danse avec les Stars espérerait convaincre Thomas Pesquet d’intégrer le casting de la huitième saison.

Et sinon, on retiendra aussi…
- Condamné définitivement à rendre les 404 millions d'euros obtenus dans l'arbitrage de 2008 avec le Crédit lyonnais sur la revente d'Adidas, Bernard Tapie a tout de même obtenu la prolongation de sa procédure de sauvegarde avec l'étalement de sa dette sur six ans, au lieu de la saisie immédiate de ses biens.

- Yannick Noah a définitivement perdu son match contre le fisc après 20 années de procédure. Il a été débouté fin mai par le Conseil d’État, selon BFM Business. L'ex-star du tennis contestait un redressement fiscal estimé à plus d'un million d'euros.
- Un Serbe de 32 ans, supporter du Partizan Belgrade, a été condamné à douze ans de prison pour le meurtre du supporter toulousain Brice Taton en 2009 à Belgrade.

Et vous, quel est votre avis ? Exprimez-vous ! Réagissez à cet article.


Suivez-nous

Les auteurs