Fed Cup : Cocorico pour les filles
Elles l’ont fait ! A l’autre bout du monde, alors qu’elles affrontaient la redoutable équipe d’Australie emmenée par la numéro une mondiale, Ashleigh Barty, les tricolores ont su déjouer tous les pronostics pour remporter le troisième trophée de leur histoire en Fed Cup après 1997 et 2003. Après 3 défaites en finale en 2004, 2005 et plus récemment en 2016, les bleues désormais guidées par le capitaine Julien Benneteau, ont réussi une campagne mémorable marquée par le retour au sein de l’équipe de la meilleure tricolore de ces dernières années, Caroline Garcia, qui était en froid avec ses coéquipières depuis la finale perdue de 2016. Décisive lors des tours précédents, la francilienne a cette fois laissée la vedette à Kristina Mladenovic, qui a remporté ses 2 simples, dont un exploit retentissant face à Ashleigh Barty, battue en 3 sets et plus de deux heures trente de match. L’issue de cette finale particulièrement disputée s’est donc décidée lors du double et à ce petit jeu, c’est le duo Garcia-Mladenovic qui s’est déjoué de Barty-Stosur pour une victoire finale aussi inattendue que superbe dans son contenu et dans l’émotion qu’elle a procurée aux joueurs et staff d’une équipe de France qui attendait ce moment depuis 16 ans :
Chapeau les filles et Merci pour nous avoir fait vibrés !
ATP Masters ; le duel Nadal-Djokovic aura-t-il lieu ?
Blessé et contraint au forfait lors de sa demi-finale à Bercy, l’espagnol Rafael Nadal n’est probablement pas à 100% de ses capacités lors des Masters ATP, qui ont débuté ce week-end à Londres.
Menacé par le serbe Novak Djokovic, qui compte 640 points de moins que le majorquin et doit au minimum atteindre la finale pour rattraper son retard, le vainqueur de Roland-Garros et l’US Open cette saison, a bien mal commencé son tournoi en étant surclassé par le tenant du titre, l’allemand, Alexander Zverev en 2 sets secs 6-2 / 6-4 :
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De son côté, Djokovic n’a pas fait de détail en atomisant le rookie Italie, Matteo Berrettini, 6-2 / 6-1, tandis que Roger Federer est passé à côté de son match d’ouverture face à Dominic Thiem, qui s’impose en deux sets conclu sur le même score de 7-5. Le dernier match de cette première journée a également été l’occasion d’une petite surprise, puisque Daniil Medvedev, annoncé comme l’un des favoris de cette édition 2019 a cédé en deux sets 7-6 / 6-4 face au grec Stéfanos Tsitsipas. Au-delà du duel Nadal-Djokovic pour la suprématie mondiale, ce Masters 2019, aux allures de conflit générationnel opposant les grandes gloires des années quatre-vingt (Federer, Nadal, Djokovic) aux jeunes loups de la NextGen (Thiem, Berrettini, Medvedev, Zverev et Tsitsipas), s’annonce palpitant et indécis et pourrait nous réserver quelques surprises : réponse le 17 novembre prochain ...
Ligue 1 : Le PSG, orphelin de Mbappé – l’OM enflamme le Vélodrome
Une semaine après sa déconvenue face à Dijon et 3 jours après sa qualification pour les huitièmes de finales de la Champions League, suite à sa victoire sur Bruges, 1 à 0, le PSG s’est évité le pire face à Brest en arrachant la victoire 2 buts à 1 grâce à un but de l’inévitable, Mauro Icardi dans les 5 dernières minutes. Privés de Kylian Mbappé, une nouvelle fois blessé, même si cette blessure semble bénigne, les joueurs de la capitale pouvaient cependant compter sur le retour comme titulaire d’Edinson Cavani. Mais le Matador clairement en manque de rythme, n’a pas pesé sur cette rencontre et a été logiquement remplacé par l’ex-capitaine de l’Inter Milan, pour le résultat que l’on connait. Cette victoire permet aux hommes de Thomas Tuchel de conforter leur place de leader de la L1 avec désormais 8 points d’avance sur leur nouveau dauphin, l’OM, qui a fait tomber l’OL pour la première fois depuis 5 ans lors du choc de cette 13ème journée. Portés par un public enflammé et par un Dimitri Payet des grands soirs, auteur d’un doublé, les hommes de Villas-Boas ont su mettre les ingrédients nécessaires, même réduits à 10 après l’expulsion d’Alvaro Gonzalez pour vaincre le signe indien et enfin triompher d’une équipe du TOP 3 de la L1
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Pour les Gones, qui réalisent leur pire début de saison depuis la saison 1996-1997, le constat est amère avec seulement 16 points engrangés en 13 journées et une affligeante 14ème place à seulement 4 points de la relégation. Derrière le duo PSG-OM, la surprenante équipe d’Angers doit se contenter du match nul, 0 à 0, sur la pelouse de Rémois, qui pointent au 8ème rang. Même score nul et vierge entre Lille et Metz pour une nouvelle mauvaise opération des dogues, qui avaient pourtant l’occasion de reprendre place sur le podium après leurs déconvenues face à Marseille, 2 buts à 1 et surtout à Valence en Ligue des Champions avec une lourde défaite 4 buts à 1. A contrario, Monaco poursuit son rétablissement avec un court mais précieux succès, 1 à 0, face à la l’avant-dernier du classement, Dijon, qui permet aux asémistes de se rapprocher enfin de la première partie de tableau. Dernier de cordée, les crocodiles nîmois se sont lourdement inclinés à Strasbourg, 4 buts à 1, et se préparent à quelques maux de tête dans les semaines à venir. Enfin Saint-Etienne, grâce à sa belle victoire 3 buts à 2 sur la pelouse de Nantes, poursuit sa folle remontée et enchaine un 6ème match sans défaite en L1, qui leur permet de prendre la 4ème place au classement à 1 points des marseillais. Visiblement l’arrivée de Claude Puel sur le banc stéphanois est plus que bénéfique pour des verts qui rêvent de retrouver les sommets de la Ligue 1.
Allemagne : le Borussia fait les frais du réveil du Bayern
Après l’humiliation subie sur la pelouse de Francfort, le week-end dernier, qui a largement contribué au départ de son entraineur, Niko Kovac, le Bayern de Munich a profité du traditionnel « Klassiker » pour se relancer en Bundesliga et atomiser son rival de toujours, le Borussia Dortmund sur le score sans appel de 4 buts à 0. Mal en point depuis le début de saison dans son championnat national, les ex-coéquipiers de Franck Ribéry, présent pour l’occasion à l’Allianz Arena, emmenés par un Robert Lewandoswki, toujours stratosphérique avec un nouveau doublé, profitent de ce carton pour prendre place sur la 3ème marche du podium à 4 points de Mönchengladbach, vainqueur de Brême sur le score de 3 buts à 1. A l’inverse, les hommes de Lucien Favre, qui pourrait également se retrouver rapidement sur la sellette ne pointent désormais qu’au 5ème rang à 2 points des bavarois. Vainqueur 4 buts à 2 sur la pelouse du Hertha Berlin, le RB Leipzig profite d’un goal-average favorable sur les munichois pour occuper la seconde place de cette Bundesliga 2019, qui s’annonce pour le moment beaucoup plus serrée que prévue.
Espagne : le Real confirme, le Barça se ressaisit
Déjà vainqueurs 6 à 0 face à Galatasaray en Ligue des Champions, les joueurs de Zinédine Zidane ont récidivé ce week-end en passant 4 buts à Eibar, dont un nouveau doublé de son français Karim Benzema, après celui réalisé sur la scène européenne. Ce large succès permet ainsi aux merengues de conserver leur seconde place de la Liga, toujours à égalité de points mais un goal-average inférieur, avec un FC Barcelone, qui a su retrouvé le chemin des filets de son Camp Nou, quelques jours après son match nul et vierge face à Prague, qui mettait fin à une série de 45 matchs consécutifs à domicile avec au moins un but marqué. Emmenés par un Lionel Messi des grands soirs, auteur d’un triplé et sans Antoine Griezmann, laissé sur le banc au profit d’Ousmane Dembélé, après sa prestation indigeste en coupe d’Europe, les blaugranas se sont imposés 4 buts à 1 face au Celta Vigo pour conserver leur fauteuil de leader :
Encore en tête il y a quelques semaines, l’équipe surprise de ce début de saison, Grenade enchaine un 3ème revers consécutif, 2 à 0, sur la pelouse de Valence et dégringole au 9ème rang. Après 2 nuls consécutifs en déplacement, l’Atlético de Madrid a profité de son retour à Vincente Calderon pour disposer de l’Espanyol de Barcelone, 3 buts à 1, et prendre place sur le podium à 1 petit point du duo Real-Barça.
Angleterre : Les Reds font déjà un grand pas vers le titre
Après leur déconvenue de l’an dernier et ce titre de champion qui leur a échappé malgré l’un des plus important total de points de l’histoire de la Premier League, les Reds semblent décidés à prendre leur revanche cette saison. Après un début d’exercice tonitruant, les joueurs de Jurgen Klopp devaient confirmer face au champion en titre lors du choc de ce week-end en Europe. Et ils l’ont fait avec la manière en s’imposant 3 buts à 1 avec des réalisations de leur duo vedette Mané Salah et un but de l’ex monégasque Fabinho, désormais bien installé dans le onze de Liverpool :
Avec ce succès précieux, les joueurs du nord de l’Angleterre comptent 8 points d’avance sur leur surprenant dauphin, Leicester City, qui a confirmé sa forme étincelante du moment en terrassant les Gunners d’Arsenal sur leur pelouse 2 buts à 0, fragilisant ainsi un peu plus la place d’Unai Emery sur le banc londonien. Vainqueur 2 à 0 de Crystal Palace, les blues de Chelsea profitent de la défaite des Citizens pour leur prendre la 3ème place avec le même total que Leicester. Vainqueur 3 buts à 1 de Brighton sur sa pelouse, Manchester United se rapproche à 1 point de la 5ème place occupée par l’étonnante équipe de Sheffield qui devance Arsenal au goal-average.
Italie : La Juve et l’Inter prennent le large
A l’instar de la France, de l’Allemagne ou de l’Angleterre, l’Italie offrait également un choc lors de cette 12ème journée de Séria A. Même si le Milan AC n’est plus l’ogre qui était dans les années 90, son déplacement à Turin pour affronter la Juve reste un moment phare de la saison. Et les rossoneri ont longtemps tenu la dragée haute au multiple champion en titre avant de céder à moins d’un quart terme du terme sur une réalisation de l’argentin Paulo Dybala, qui permet à la vieille dame de conserver son fauteuil de leader avec 1 petit point d’avance sur une équipe de l’Inter, bien décidée à ne rien lâcher lors de cet exercice 2019-2020, comme en témoigne le succès acquis face à Vérone, à moins de 10 minutes de la fin aprés avoir pourtant été mené au score pendant plus d’une heure. Derrière ce duo, la Lazio de Rome, pourtant tombeurs de Lecce, 4 buts à 2, pointe déjà à 8 et 7 points. En grande difficulté en ce début de saison, le Napoli, pourtant habitué au sommet de la Série A, a été tenu en échec sur sa pelouse, 0 à 0, face au Genoa et ne pointe qu’au 7ème rang à 13 points des turinois. Le bilan n’est guère plus reluisant pour l’AS Rome, qui, en s’inclinant 2 à 0 à Parme, recule à la 6ème place à 10 points de la tête.
Rugby : Le LOU toujours sur son nuage, les internationaux portent Toulouse
Battu pour la première fois de la saison la semaine dernière à Clermont-Ferrand, le LOU a tenu à remettre les pendules à l’heure lors de la réception de La Rochelle pour cette neuvième journée de Top 14. Toujours intraitables à domicile, les lyonnais ont, une nouvelle fois, assuré le spectacle pour s’imposer 45 à 17 avec 5 essais et un nouveau bonus offensif, qui leur permet de conserver leur fauteuil de leader avec 5 points d’avance sur l’UBB, qui s’est montré sans pitié pour une équipe d’Agen, battu à Bordeaux sur le score de 23 à 0. Une semaine après le titre de l’Afrique du Sud lors de la Coupe du Monde, de nombreux internationaux faisaient leur retour sur les pelouses de l’hexagone. L’équipe qui a su profité au mieux de cet apport de sang neuf n’est plus ni moins que le champion en titre, qui s’est imposé largement sur sa pelouse face à Clermont, 34 à 8, avec 4 essais et un bonus offensif à la clé, qui leur permet de se rapprocher à un petit point de la dernière place du Top 6, occupé par leurs adversaires du jour. Vainqueur à Bayonne sur le score étriqué de 9 à 3, les palois en profitent pour chiper la 3ème place à leurs opposants, avec le même nombre de points mais très loin des 2 leaders, Lyon et Bordeaux, respectivement 14 et 9 points devant. Malgré son match nul à domicile, 19 partout face à Montpelier, pour le retour attendu de Guilhem Guirado sur la rade, les toulonnais restent dans le Top 6, précisément au 5ème rang, tandis que les héraultais sont 7ème. Enfin le derby francilien a tourné court pour les locaux du Stade Français, qui s’inclinent assez lourdement 25 à 9 et restent ainsi bon dernier du classement avec toujours 7 points de retard sur les agenais. Pourtant passé sous l’égide du milliardaire suisse Hans-Peter Wild depuis 2017 et doté de moyens importants, l’équipe de la capitale aux 14 boucliers de Brennus ne parvient toujours pas à trouver la bonne alchimie pour retrouver les sommets et pourraient même, à ce rythme, connaitre l’affront d’une descente en Pro D2 l’an prochain. A l’inverse, leurs voisins racingmen retrouvent des couleurs et remontent au 10ème rang à seulement 2 points de l’ASM et de Toulon. Les résultats complets et le classement de cette 9ème journée :
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NBA : San Antonio rend hommage à Tony Parker.
Le « monument » Tony Parker, jeune retraité des parquets, a écrit une nouvelle page de sa légende en devenant le premier tricolore à voir son maillot retiré par une franchise NBA. Quadruple champion outre-Atlantique, MVP des finales en 2017, désigné 6 fois au All-Star Game et futur Hall Famer, TP trône désormais pour l’éternité aux côtés des 10 légendes de San Antonio dont David Robinson, Tim Duncan ou encore Manu Ginobili au plafond de l’AT&T Center :
Le natif de Bruges, ancien pensionnaire de l’INF Vichy, et qui a toujours trouvé la passion et le temps de se consacrer au maillot tricolore, menant les siens au sacre européen en 2013, à ce jour le seul titre majeur des français, est désormais une légende parmi les légendes. Chapeau l’artiste et merci pour cette carrière hors-normes et unique pour un joueur de l’hexagone.
Sur les parquets, Les Lakers de Los Angeles, emmenés par leur duo star Lebron James-Anthony Davis ont vu leur série de 7 victoires consécutives s’arrêter face au champion en titre, les Raptors de Toronto, grâce à un Pascal Siakam (24 points et 11 rebonds), qui s’émancipe chaque soir un peu plus depuis le départ de Kawhi Leonard aux Clippers :
Les angelinos sont ainsi rejoint par Denver, qui a triomphé de Minnesota, 100 à 98, en tête de la conférence Ouest avec 7 victoires pour 2 défaites. Juste derrière ce duo, avec 1 victoire de moins et une défaite de plus, on retrouve 5 équipes parmi lesquelles les favoris Houston, les Clippers ou Le Jazz d’Utah mais aussi deux équipes surprises, que sont les Mavericks de Dallas et leur duo vedette européen Doncic-Porzingis et surtout les Suns de Phoenix, emmené par un Kevin Booker en grande forme, qui parvient à faire oublier la suspension pour 25 matchs après une infraction à la réglementation anti-dopage de l’autre franchise player de l’équipe texane, numéro un de la draft 2018, DeAndre Ayton. En bas du classement, les Warriors, privés de toutes les stars, blessées, touchent le fond avec une dernière place et un bilan peu glorieux de 2 victoires pour 8 défaites : les temps sont durs pour l’équipe qui a dominé la NBA ces 5 dernières années. A l’Est, ce sont les Celtics de Boston qui réussissent le meilleur démarrage avec une seule défaite en 8 rencontres disputées et une série de 7 succès consécutifs depuis leur défaite inaugurale sur le parquet des Sixers, qui pointent au 5ème rang avec un ratio de 6 victoires pour 3 défaites. Mais les joueurs du Massachussetts ont une nouvelle fois perdu sur blessure le malheureux Gordon Hayward, qui avait déjà raté toute la saison 2017-2018 dès son arrivée sur la côté Est pour une blessure effrayante à une cheville, dont les images avaient fait le tour du monde. Depuis l’ex All-Star des Jazz peinait à retrouver la plénitude de ses moyens mais cette nouvelle saison semblait enfin lui sourire avec des stats dignes de son talent, plus de 20 points, 8 rebonds et 4.6 passes par matchs. Reste désormais à savoir combien de temps, l’ailier sera éloigné des terrains ? Derrière les Celtics, tous les autres cadors de la conférence sont au rendez-vous de ce début de saison avec notamment les Raptors, qui ne comptent qu’une défaite de plus que Boston ou encore les Bucks de Milwaukee et leur star grecque, Giannis Antetokounmpo, 3ème avec un bilan de 7 victoires pour 3 défaites.
La Boxe de nouveau endeuillée
Trois semaines seulement après le décès tragique de Patrick Day lors de son combat face à Charles Conwell, un nouveau boxeur a malheureusement trouvé la mort sur un ring. L’australien Dwight Ritchie, 27 ans, a perdu la vie lors d’un entrainement avec son compatriote Michael Zerafa, en pleine préparation de son combat face à un autre de ses compatriotes, Jeff Horn :
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Sparring Partner occasionnel de son ami, le pugiliste n’en restait pas moins un boxeur expérimenté qui comptait 19 victoires sur 21 combats disputés. Il serait, selon les médias australiens, décédé à la suite d’un coup porté au corps à la suite duquel il s’est écroulé après avoir rejoint son coin et sans que les secours ne parviennent à le réanimer. Ce nouveau drame dans le monde de la boxe porte un nouveau coup dur à un sport déjà considéré par beaucoup comme trop violent et dangereux. Le « noble art » comme on a coutume de le nommer semble aujourd’hui bien loin de ses lettres de noblesses.
Transat Jacques Vabre : « Apivia » s’impose en classe Imoca
Longtemps menée par le duo Beyou-Pratt sur Charal, cette édition 2019 de la transat Jacques Vabre assurément l’une des plus relevées de l’histoire de cette compétition est finalement revenue à Charlie Dalin et Yann Eliès sur Apivia, qui ont su déjouer les pièges du fameux poteau noir, bourreau des leaders pour couper la ligne d’arrivée à Salvador de Bahia au Brésil après 13 jours 12 heures et 8 minutes de course :
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Il s’agit ainsi de la troisième victoire pour Yann Eliès dans cette épreuve prestigieuse. Le podium final de cette édition 2019 est complété par PRB et Charal, qui est finalement parvenu à s’extraire de sa « prison » du poteau noir.
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