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Sport

L’essentiel de l’actualité sportive du 06 au 12 juin 2018

L’été approchant, l’actualité sportive se fait moins dense mais toujours aussi intense. Des titres de Golden State et de Washington en NBA et NHL au 11ème sacre de Rafael Nadal, porte d’Auteuil, en passant par la préparation des bleus à la Coupe du Monde en Russie ou le 1er test-match du XV tricolore en Nouvelle-Zélande, sans oublier la F1 ou le Cyclisme, le sport ne fait pas relâche en ce début de mois de Juin.

L’actualité principale de cette semaine est évidemment le « back-to-back » des Golden State Warriors, qui remporte donc leur second titre consécutif de Champions NBA aux dépens des Cavs de Cleveland, avec un match 4 remporté facilement dans l’Ohio 108 à 85 :

Beaucoup trop forts pour des joueurs de l’Ohio, totalement hors du coup lors de ces finales NBA, les californiens n’ont rencontré aucune réelle opposition et ont tout simplement « sweepé » les coéquipiers de Lebron James 4 victoires à 0. Au final, seul le 1er match conclu en prolongations et lors duquel les Cavs auraient surement mérité de s’imposer, a réellement été accroché et a basculé en fin de rencontre avec ce lancer-franc raté de George Hill et cette incroyable erreur de jugement de J.R. Smith qui, après avoir pris le rebond offensif est parti vers sn camps, pensant que son équipe menait :

Les 3 matchs suivants ont surtout permis aux coéquipiers de Stephen Curry et Kevin Durant de faire étalage de leurs talents et de leurs supériorité, même lorsque les 3 stars de l’équipe n’étaient pas au rendez-vous. Comme lors du Game 3, durant lequel « KD » a parfaitement compensé les absences de Curry et Thompson pour offrir la victoire à son équipe. Plus discret, avec seulement 20 points inscrits dans le Game 4, dont le héros se nomme Steph Curry, auteur de 37 points, l’ancien jouer d’OKC remporte tout de même un second titre mérité de MVP de Finals consécutif, le 6ème de l’histoire, et justifie son transfert controversé d’Oklahoma vers Golden State. Les californiens peuvent désormais savourer leur 3ème titre en 4 ans après 4 finales consécutives et rêver déjà à un incroyable « Three-Peats », qui n’a plus été réalisé depuis les Lakers de Kobe Bryant et Shaquille O’Neal en 2000-2002. Du côté des Cavaliers, c’est évidemment la  « douche froide ». Qualifiés difficilement pour cette 4ème finale consécutive aux dépens d’une équipe de Boston décimée mais courageuse, les hommes de Tyrone Lue ont montré toutes leurs limites dans ces finales : un Lebron James beaucoup trop esseulé, des joueurs totalement inhibés par l’enjeu et incapables de hausser leur niveau de jeu dans les moments clés des rencontres et surtout une défense aux abonnés absents, qui a offert des boulevards aux redoutables attaquants des Warriors. Avec une masse salariale au plafond et certains joueurs âgés surpayés, notamment Kyle Corver, et d’autres qui n’ont jamais justifiés leurs salaires, comme George Hill, en grande souffrance durant toutes ces finales, les Cavs vont devoir profondément renouveler leur effectif pour éviter une nouvelle désillusion l’an prochain. Mais surtout ils risquent de perdre leur star, Lebron James, qui est apparu totalement désabusé sur les derniers matchs de cette série et qui a la possibilité à la fin de cette saison de se libérer de son contrat pour rejoindre l’équipe de son choix, qui pourrait être Philadelphie, Boston, Los Angeles, Houston, voire Golden State. Beaucoup de sueurs froides à venir dans les prochaines semaines pour les supporters des Cavs, qui seront pendus aux lèvres de leur idole, qui devra choisir une fois de plus entre le cœur et sa volonté d’accrocher une 4ème bague à son palmarès.

 

Et de 11 ! Tout comme les Warriors de Golden State, Rafael Nadal aurait tout à fait pu faire la une de cette rétrospective sportive tant l’exploit qu’il a réalisé Porte Auteuil est indescriptible. Avec un 11ème sacre en 14 participations à Roland-Garros entre 2005 et 2018, le majorquin a, une fois de plus, écrit l’une des plus belles pages de son palmarès mais aussi du tennis mondial :

En dominant nettement le seul joueur à l’avoir battu cette saison sur terre battue, l’autrichien, Dominic Thiem, 6-4 / 6-3 / 6-2, le champion espagnol n’a pas tremblé pour remporter un titre qui lui semblait promis dès le début du tournoi. Mais souvent, il est beaucoup plus difficile de s’imposer lorsque tous les pronostics vous sont favorables et « Rafa » a parfaitement su gérer la pression inhérente à son statut de favoris pour finalement triompher en ne laissant qu’un seul petit set à ses adversaires, concédé à l’argentin Diego Schwartzman. Avec désormais 17 titres du grand chelem, le nouveau numéro 1 mondial revient à 3 longueurs de Roger Federer, qu’il retrouvera sur les pelouses de Wimbledon pour un duel épique que tout le monde attend avec impatience. Au-delà du nouveau triomphe de l’espagnol, nous retiendrons de cette quinzaine parisienne la confirmation de Dominic Thiem, qui atteint la finale pour la 1ère fois, mais qui devrait y revenir dans les prochains années, la déception d’Alexander Zverev qui, blessé, n’a pas pu défendre ses chances, et des français en général ou encore la fraicheur apportée par le surprenant italien, Marco Cecchinato, 72ème mondial, et qui a rallié les ½ finales après avoir notamment fait tomber, Goffin, Carreno Busta et surtout Novak Djokovic.

Chez les femmes, la numéro mondiale, Simona Halep a enfin remporté un titre du grand chelem, tant mérité. En dominant en 3 manches la surprenante américaine, pourtant déjà vainqueure de l’US Open l’an dernier, Sloane Stephens, 3-6 / 6-4 / 6-1, la championne roumaine a vaincu le signe indien après 3 finales perdues :

Marquée par sa défaite de l’an dernier face à la tornade lettone, Jelena Ostapenko, la joueuse de 26 ans s’était jurée de revenir en finale et de s’imposer, ce qu’elle est donc parvenue à faire dès l’année suivante. Désormais bien ancrée en tête du classement WTA et débarrassée du poids de sa 1ère victoire en majeur, surtout celui qui lui tenait le plus à cœur, la native de Constanta pourrait bien enchainer les titres, d’autant plus que le tennis féminin se cherche des leaders depuis le détrônement de Serena Williams, qui a dû abandonner cette année dès les 1/8ème de finales face à Mario Sharapova. A l’instar des hommes, les françaises n’ont guère brillé lors de cette édition 2018 avec la seule Caroline Garcia, qualifiée pour les 1/8ème de finale mais sèchement battue en 2 sets par Angelique Kerber. A noter que pour la 1ère fois depuis 2010, il n’y a donc eu aucun français, hommes et femmes confondus en ¼ de finale de Roland-Garros.

La France qui gagne, il fallait donc la chercher ailleurs et elle est venue du double messieurs avec le 1er titre à Roland-Garros  de la paire Nicolas Mahut, Pierre-Hugues Herbert, qui a disposé en finale du duo  Marach-Pavic, 6-2 / 7-6[4]. Déjà vainqueur de l’US Open en 2015 et de Wimbledon en 2016, le couple français ajoute donc un 3ème grand chelem à leur palmarès déjà bien fourni. Une magnifique victoire, que Nicolas Mahut a fêtée en dansant avec son fils devant un central totalement acquis à leur cause :

 

En Football, à l’approche de la Coupe du Monde, toutes les équipes qualifiées se préparent en enchainant les matchs amicaux. L’équipe de France, qui débutera son mondial le 16 juin prochain face à l’Australie, ne déroge pas à la règle. Après une victoire facile, 2 à 0, face à une faible équipe d’Irlande et une autre plus probante face aux italiens, 3 buts à 1, les bleus de Didier Deschamps ont dû se contenter d’un match nul peu glorieux, 1 but partout, face aux Etats-Unis :

Face à des américains, dont le jeu est très proche de celui que les français retrouveront lors de leur entrée en matière en Russie, les tricolores ont longtemps buté sur une défense très resserrée et se sont fait surprendre en fin de 1ère mi-temps sur une erreur de Djibril Sidibé, pourtant l’un des joueurs les plus actifs lors de ce 1er acte. Au retour des vestiaires, les coéquipiers de Paul Pogba, beaucoup plus présent lors de cette rencontre que face à l’Italie et qui a surement marqué des points ce soir, ont bien tenté de revenir dans la rencontre, notamment par Griezmann ou Mbappé, mais ont dû attendre la 78ème minute et un débordement de Pavard pour un centre vers le jeune buteur parisien de 19 ans pour revenir enfin au score et éviter une défaite dérangeante. Après cette rencontre, pour laquelle les bleus se présenter dans une composition très proche de celle qui devrait débuter le mondial russe, le sélectionneur Didier Deschamps a certainement beaucoup moins de certitudes, notamment en attaque où les entrants, Fékir et Dembélé ont montré de belles choses, et se prépare à quelques mots de tête au moment de désigner les 11 joueurs qui démarreront les futures rencontres des tricolores. Mais surtout cette contre-performance montre à quel point les bleus, malgré tout leur talent individuel, se doivent de faire preuve d’un état d’esprit et d’une solidarité irréprochable s’ils veulent aller loin dans cette compétition.

Dans les autres résultats, signalons la nette victoire du Brésil 3-0 face à l’Autriche avec un but splendide du revenant Neymar, parfaitement remis de sa blessure à la  cheville :

Ou encore la difficile victoire de l’Allemagne, 2 buts à 1, face à l’Arabie Saoudite et celles plus convaincantes du Portugal, 3 à 0, face à l’Algérie ou de l’Angleterre, 2 à 0, face au Costa Rica. Enfin les futurs adversaires des français semblent prêts à en découdre avec le XI tricolore comme en témoignent les victoires 2 à 0 et 2 à 1 du Danemark et de l’Australie, respectivement face au Mexique et à la Hongrie ou encore le nul 0 à 0 du Pérou face à la Suède.

Enfin à quelques jours de l’ouverture du Mercato d’été, la planète football est déjà agitée par les cas de Cristiano Ronaldo et de Neymar, qui pourraient tout deux vouloir changer d’air cet été et pourquoi pas se croiser entre Madrid et Paris. Enfin si l’UEFA laisse le PSG recruter et ne le sanctionne pas pour ses folies de l’an dernier. Également très attendu, Antoine Griezmann devrait annoncer cette semaine son attention de rester dans la capitale ibérique, à l’Atlético ou de rejoindre le rival barcelonais, au côté d’un Lionel Messi, qui a déjà prévenu ses dirigeants de son souhait de voir les blaugrana se renforcer cet été, malgré leur saison très réussie (seulement 3 défaites et un titre de champions d’Espagne) mais marquée par le traumatisme subi à Rome, en Ligue des Champions, face à l’AS Roma.

 

En Formule 1, Sebastian Vettel a connu, au Canada, ce que l’on pourrait qualifier d’un week-end tranquille et parfait. Après ses désillusions des derniers grands prix, le quadruple champion du monde allemand a tenu à remettre les pendules à l’heure et y est largement parvenu. Auteur de la pole position, le pilote de la Scudéria a connu 70 tours des plus sereins pour s’imposer sans jamais être menacé, que ce soit par Bottas, finalement 2nd ou encore les Red Bull de Verstappen et Ricciardo, respectivement 3ème et 4ème et offre à Ferrari son premier succès en terres canadiennes depuis Schumacher en 2004 :

Seulement 5ème de cette étape à Montréal, Lewis Hamilton abandonne même à son rival, auteur de sa cinquantième victoire en carrière, la tête du championnat du monde des pilotes pour un petit point. Le second pilote Ferrari, Kimi Raïkkönen, doit se contenter du 6ème rang d’une course des plus monotones, qui n’a vu que les 6 premiers terminer dans le même tour que le vainqueur et dont le seul moment spectaculaire est malheureusement venu de l’accident entre Stroll et Hartley, heureusement sans gravité pour les pilotes :

Côté Français, Renault a validé ses progrès avant le Grand Prix de France en amenant Nico Hülkenberg à la septième place et Carlos Sainz à la huitième. Esteban Ocon (Force India) et Charles Leclerc (Sauber) ont pris les derniers points, tandis que Pierre Gasly (Toro Rosso) et Romain Grosjean (Haas) ont été les premiers frustrés du classement, respectivement 11ème et 12ème.

 

En Rugby, le Top 14 s’étant terminé sur le surprenant sacre de Castres en finale face à l’ogre montpelliérain, l’heure est désormais aux tournées d’été. Auteurs d’un tournoi des 6 nations encourageant, les français sont en déplacement sur les terres des doubles champions du monde en titre, les redoutables All-Blacks. Donnés largement perdants par les spécialistes, bookmakers et journalistes, les français avaient à cœur de vouloir faire taire les critiques et de confirmer leurs bonnes dispositions, notamment défensives, entraperçues lors du dernier tournoi des 6 nations. Ils y sont parvenus l’espace d’une mi-temps qui s’est conclue par un score de 11 à 8 en faveur des tricolores, notamment grâce à un essai en contre signé de l’ailier clermontois, Rémy Grosso. Mais en seconde période, les joueurs de Jacques Brunel et du capitaine d’un soir, Mathieu Bastareaud, qui suppléait son coéquipier toulonnais, Guilhem Guirado, resté au repos en France, ont pris un monumental bouillon avec un score final de 52 à 11 et la bagatelle de 8 essais encaissés, dont 7 en seconde période :

Avec cette véritable leçon de rugby offensif, les néo-zélandais ont prouvé, qu’ils restaient les rois de l’Ovalie et qu’il faudrait être vraiment très forts pour les empêcher de réaliser un triplé l’an prochain pour la Coupe du Monde qui se déroulera au Japon.  Pour les bleus, à qui ils restent encore 2 matchs à disputer en Nouvelle-Zélande, la question est désormais de savoir comment ils vont digérer cette humiliation et s’ils seront en capacité de réagir pour éviter deux autres corrections.

Dans les autres tests-matchs au programme, l’Australie a surpris une équipe d’Irlande pourtant irrésistible lors du dernier tournoi des 6 nations, 18 à 9, l’Angleterre s’est également incliné lors d’un match ultra spectaculaire en Afrique du sud, emmenée par le premier capitaine noir de son histoire, Siya Kolisi et conclu sur le score et 42 à 39, tandis que le Pays de Galles et l’Ecosse, se sont respectivement imposés 23 à 10 et 48 à 10, en Argentine et au Canada.

 

A l’instar de la NBA, la NHL a également livré son verdict cette semaine avec le sacre des Capitals de Washington et de leur leader emblématique Alex Ovechkin (qui devient ainsi le 1er capitaine russe sacré en NHL), qui ont disposé des surprenants Golden Knights de La Vegas, 4 victoires à 1. Le buteur-vedette russe de 32 ans, obtient donc enfin le titre suprême avec son club de toujours, après 13 tentatives et malgré 3 titres de meilleurs joueurs de la Ligue. Celui qui n’avait jamais jusqu’à présent dépassé le stade du 2nd tour des play-offs parvient donc à offrir au club de la Capitale et à ses supporters une Coupe Stanley attendue depuis la création de la franchise en 1974, et avec comme meilleure performance une finale perdue en 1998 face aux Red Wings de Detroit, 4 matchs à 0 et un premier titre dans l'un des quatre grands championnats professionnels nord-américains depuis la victoire des Redskins dans le Super Bowl en janvier 1992 :

En  face, malgré une défaite plutôt sèche, la franchise du Nevada du français Pierre-Édouard Bellemare, qui ne deviendra donc pas le 2nd français à soulever la Coupe Stanley, restera tout de même dans les livres d’histoire, comme la 1ère franchise nouvellement créée à atteindre les finales depuis les Blues de Saint-Louis en 1968 (mais à l’époque toutes les franchises de la conférence Ouest étaient nouvelles). Au passage les joueurs de Las Vegas battent également le record de victoires pour une « expansion team » avec 51 succès. Portés par la ferveur populaire consécutive à la fusillade tragique qui a endeuillée la capitale du jeu aux États-Unis en 2017, juste avant le début de la saison NHL, avec 58 morts, les joueurs du président Foley, qui avait déclaré, provoquant l’hilarité générale chez ses confrères, que sa franchise serait championne en 6 ans et qui a bien failli y parvenir en 5 ans de moins, ont réussi une saison hors du commun, qui restera dans les annales de la Ligue Majeur de Hockey Nord-Américaine. Reste désormais pour les propriétaires et les dirigeants du Nevada à parvenir à conserver leurs meilleurs éléments et à renforcer efficacement l’équipe car l’an prochain, l’effet de surprise ne jouera plus et les « Chevaliers dorés » seront fermement attendus sur toutes les patinoires des États-Unis et du Canada.

 

En Cyclisme, le fidèle lieutenant de Christopher Froome chez Sky, le gallois de 32 ans, Geraint Thomas a remporté sa seconde grande course à étape de sa carrière après Paris-Nice en 2016, sur l’édition 2018 du Dauphiné libéré :

Après 7 étapes, dont 4 arrivées en haute montagne, il a devancé d’une minute l’anglais Adam Yates, vainqueur de la dernière étape au sommet de Saint-Gervais, et le français Romain Bardet d’AG2R d’une minute et 47 secondes. Une dernière étape, qui a bien failli bouleverser le classement général en raison d’une crevaison du leader, qui a dû être ramené par ses coéquipiers dans le peloton alors que l’équipe du français n’avait pas réduit l’allure, au contraire. Cet épisode a entrainé une vive polémique entre les 2 coureurs, qui pourrait bien trouver son épilogue lors de la prochaine grande boucle. Une grande boucle durant laquelle Thomas ne sera pourtant pas le leader de l’équipe Sky, bien que l’équipe anglaise se soit faite spécialiste des doublés Dauphiné-Tour de France, avec 6 victoires en 8 ans sur le Dauphiné (3 pour Froome et 2 pour Wiggins) dont 4 doublés avec la Grande Boucle (3 pour Froome et un pour Wiggins). De quoi faire de Geraint Thomas plus qu’un second choix en Juillet ? Pour le moment, non, mais lorsque l’on connait le statut de Christopher Froome, qui rêve d’un doublé Giro-Tour de France, le 1er depuis 20 ans et Marco Pantani en 1998, mais sous le coup d’un contrôle « anormal » lors du dernier Tour d’Espagne, on peut penser que la Team Sky garde la carte Thomas sous le coude, au cas où son leader naturel ne pourrait défendre ses chances. Une équipe anglaise, qui ne manque pas de prétendants puisque le jeune prodige colombien de 21 ans, Egan Bernal, notamment vainqueur du Tour de Californie et de la course Colombia Oro Y Paz impressionne pour sa 1ère saison et pourrait également constituer une alternative sérieuse malgré son manque d’expérience sur des épreuves de 3 semaines, qui restent difficiles à gérer comme en témoigne les mésaventures d’Adam Yates sur le dernier Giro.

 

 

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