Retrouvez Weekly sur Facebook

Sport

L’essentiel de l’actualité sportive du 26 décembre 2018 au 01 janvier 2019

En cette période de fêtes, tous les sportifs ne sont malheureusement pas en vacances. C'est notamment le cas des footballeurs d'Angleterre et d'Italie, mais aussi de nos rugbymen du Top 14 ou encore des skieurs, des fondeurs ou des sauteurs à skis. Sans oublier évidemment la NBA et même la LNB qui célébrait son traditionnel All-Star Game à l'américaine.

L’essentiel de l’actualité sportive du 26  décembre 2018 au 01 janvier 2019

A l’affiche de cette semaine de repos pour de nombreux sportifs, on retrouve les Reds de Liverpool. Historiquement le Boxing Day de Premier League est souvent un tournant outre-manche. Même si le championnat ne se gagne généralement pas à cette période, il peut facilement se perdre et les hommes de Jurgen Klopp l’ont parfaitement compris en réalisant un sans-faute, qui pourrait les mener, en fin de saison, à un titre qu’ils attendent depuis 1990 ! Les Reds ont ainsi disposé successivement de Newcastle puis surtout d’Arsenal sur les scores sans appel de 4 à 0 puis 5 à 1 :

Ces 2 cartons, certes à domicile, placent les liverpudiens dans une position très confortable au général avec respectivement 7 et 9 points d’avance sur leurs premiers poursuivants Manchester City et Tottenham, qui ont tous les 2 laissés des plumes dans cette période charnière de la saison. En effet les Citizens se sont inclinés 2 buts à 1 sur la pelouse de Leicester avant de se reprendre 3 buts à 1 sur la pelouse de Southampton. Quant aux Spurs de Tottenham d’Hugo Lloris, ils ne sont pas parvenus à bonifier leur victoire 5 à 0 face à Bournemouth en s’inclinant à domicile 3 buts à 1 contre une équipe de Wolverhampton, solidement accrochée au Top 10, à la 7ème place. Le duel à venir ce jeudi entre les deux premiers du championnat aura une saveur de finale avant la lettre, surtout en cas de défaite des hommes de Guardiola. L’autre vainqueur de ce Boxing Day sont les blues de Chelsea, qui avec 2 victoires à l’extérieur, 2 buts à 1 à Watford (avec un doublé de leur star belge Eden Hazard, qui a ainsi dépassé les 100 buts avec son club) pis 1 à 0 face à Crystal Palace, grâce au français Ngolo Kanté, prennent le large sur une équipe d’Arsenal, qui compte désormais 5 points de retard sur leurs voisins londoniens, après leur nul à Brighton 1 but partout et la claque reçue à Anfield Road. Revigorés par le départ de José Mourinho et l’arrivée sur leur banc d’Ole Gunnar Solskjaer, les Reds Devils enchainent un 3ème succès de rang, avec des victoires 3 buts à 1 face à Huddersfield et 4 à 1 contre Bournemouth :

Portés par un Paul Pogba, redevenu décisif et irrésistible avec un doublé lors de chacune de ces rencontres, les mancuniens pointent à 3 points de la 5ème place, désormais menacée, des Gunners. Espérons pour le PSG, qui doit rencontrer les Red Devils en 1/8ème de finale de la Ligue des Champions, que le soufflet mancunien retombera vite ...

Autre championnat à avoir instauré un Boxing Day, le Calcio a surtout été le théâtre de ce que le football italien à de pire à nous offrir. Tout d’abord endeuillé par des affrontements entre supporters qui ont coûté la vie à un fan de l’Inter, la rencontre entre l’équipe milanaise, 3ème au classement, et le Napoli, dauphin de la Juventus, a tourné à l’ignominie la plus totale. En effet, le franco-Sénégalais de Naples, Kalidou Koulibaly a été, durant toute la rencontre, la victime de chants racistes ponctués de cris de singe de la part d’une partie du public de San Siro. Malgré les appels inutiles du speaker et les menaces des dirigeants napolitains d’arrêter le match, celui-ci est allé à son terme et le défenseur, excédé et à bout de nerfs, a fini par se faire expulser par l’arbitre pour protestation. Un comble, qui a, au final, entrainé la défaite des joueurs de Carlo Ancelotti sur un but de Lautaro Martinez dans les arrêts de jeu. Certes, l’Inter a été depuis suspendu de 2 rencontres à huit-clos et les réactions de soutien à Koulibaly se sont multipliées de Cristiano Ronaldo à Maradona, mais le mal est profond et il faudra bien plus que quelques rencontres à huit-clos pour le déraciner et le vaincre définitivement. Devant de tels événements, le sportif passe évidemment au second plan, mais on notera tout de même la performance de Cristiano Ronaldo, auteur de 3 des 4 buts de son équipe lors de cette période et qui permet aux siens de prendre un point sur la pelouse de Bergame et de s’imposer face à Gênes :

Les Bianconeri comptent désormais 9 points d’avance sur une équipe de Naples, qui a su effacer le match de la honte à Milan par une victoire 3 buts à 2 face à Bologne. A l’occasion des photos du joueur avait été distribué aux spectateurs de la rencontre :

Derrière ce duo de tête, l’Inter, qui s’est imposé 1 à 0 sur la pelouse d’Empoli, prend le large sur une équipe de la Lazio, tenu en échec sur sa pelouse 1 partout par le Torino. En grande difficulté depuis plusieurs matchs et incapables de marquer, l’AC Milan a renoué avec le succès en s’imposant difficilement face à SPAL, 2 buts à 1, grâce à un but du décrié Gonzalo Higuain, loin de ses standards napolitains et turinois. Malgré une crise latente, qui pourrait coûter sa place à Gennaro Gatusso, les milanais ne sont qu’à un petit point d’une place qualificative pour la Ligue des Champions, occupée par la Lazio. L’autre club de Rome, l’AS Roma, double vainqueur de Sassuolo, 3 buts à 1, et de Parme, 2 buts à 0, pointe désormais à 2 unités de son voisin.

 

Autre sport à jouer durant le Boxing Day, le Rugby nous a offert une journée de Top 14, qui devait désigner le champion d’automne. Régulier et intraitable durant la 1ère partie de saison, malgré le match nul du week-end dernier face à Toulouse, les clermontois ont logiquement décroché ce titre symbolique en s’imposant sans trembler, et avec le bonus offensif, 37 à 16, sur la pelouse du dernier, Perpignan, qui reste « scotché » à ces 4 petits points et qui n’a toujours pas remporté la moindre victoire lors de cet exercice. Même en cette période de fêtes, difficile de croire à un maintien des catalans dans l’élite. Derrière les auvergnats, le Stade Toulousain a confirmé sa grande forme en atomisant le RCT, 39 à 0. Une défaite historique pour les varois, qui reparte fanny de Haute-Garonne et qui ne parviennent donc pas à concrétiser l’embellie entre-aperçue la semaine dernière face à Lyon.  Autre équipe en grande forme en cette fin d’année, la Stade Rochelais n’a fait qu’une bouchée du champion de France en titre, 53 à 27, avec la bagatelle de 6 essais et une 3ème place au classement, à la faveur d’une série impressionnante de 7 victoires de rang. Les maritimes sont suivis de près par une surprenante équipe de l’UBB, qui après un début de saison mitigé, reste sur 4 succès consécutifs, dont le dernier en date 40 à 7, face à une équipe du Racing, qui marque clairement le pas et qui pointe désormais au 6ème rang de ce Top 14. Remis de leur défaite dans la rade la semaine dernière, les lyonnais ont réenclenchés la marche avant face à Agen, largement défait 52 à 20 au stade Matmut. A égalité de point avec leurs voisins franciliens du Racing, le Stade Français a eu toutes les peines du monde à triompher d’une vaillante équipe grenobloise, qui a entamé la rencontre pied au plancher mais n’a pu éviter le retour des parisiens. Malgré tout cette défaite 23 à 20 offre aux isérois un point de bonus défensif qui pourrait s’avérer précieux en fin de saison. Enfin les montpelliérains, finalistes du dernier bouclier de Brennus, se sont facilement imposés face à Pau sur leur pelouse, 41 à 13, avec 6 essais à 1, pour effacer la défaite du week-end dernier à Grenoble. Malgré ce succès bonifié les héraultais restent englués en milieu de tableau, au 8ème rang, à 4 points des phases finales :

 

 

En NBA non plus, les joueurs ne sont pas en vacances et offrent aux spectateurs et téléspectateurs un spectacle sans interruption. A l’Est, l’équipe en forme reste les Bucks de Milwaukee, portée par un Giannis Antetokounmpo en mode MVP (près de 27 points, 13 rebonds et 6 passes de moyenne depuis le début de la saison), avec un bilan de 25 victoires pour 10 défaites et une série de 3 victoires consécutives et de 8 succès sur les 10 dernières rencontres. Plus en retrait ces dernières semaines, les Raptors de Toronto pointent désormais au second rang de la conférence avec un bilan de 27 succès pour 11 revers et une série de 6 victoires sur les 10 dernières rencontres. Les récentes défaites des coéquipiers de Kawhi Leonard face aux Sixers et surtout au Magic d’Orlando peuvent apparaitre comme des signaux d’alarmes que la saison des canadiens ne sera pas un long fleuve tranquille vers les finales dans une conférence nettement inférieure à sa consœur de l’Ouest. Derrière ce solide duo, on retrouve la surprenante équipe des Pacers, qui confirme match après match, qu’il faudra compter avec elle jusqu’aux play-offs. A l’inverse, les 2 favoris en début d’exercice, Boston et Philadelphie continuent de souffler le chaud et le froid en alternant victoires et défaites sans parvenir à réussir une série convaincante, qui les ramènerait en tête du classement. Pour ces 2 équipes, la pause du All-Star Game, dont les votes sont ouverts, pourrait être bénéfique. A l’Ouest, semaine après semaine, les Nuggets de Denver n’en finissent plus de surprendre. Emmenés par leur duo de star peu « glamour », Nikola Jokic et Jamal Murray, et malgré les absences d’Isaiah Thomas et de Paul Millsap (de retour la nuit dernière), les « pépites » du Colorado enchainent les succès et les surprises et continuer de dominer une conférence particulièrement relevée et spectaculaire. Derrière les hommes de Michael Malone, on retrouve les grands favoris de cette édition 2018-2019, les Warriors de Golden State, qui en attendant le retour sur les parquets de leur recrue phare de l’intersaison, LaMarcus Cousins, alternent les performances en dent de scie, comme en atteste leur défaite à domicile face aux Blazers de Portland, rapidement gommée par une victoire sur le parquet de cette même Blazers grâce à une performance haut-de-gamme de leur all-star, Klay Thompson, pourtant en manque de réussite ces dernières semaines, mais qui termine la rencontre avec 32 points dont un excellent 4/5 à 3 points. Mais l’équipe en forme à l’Ouest se nomme les Rockets de Houston, qui restent sur une série de 4 victoires consécutives et de 9 succès sur leurs 10 dernières rencontres. Il faut dire que les Texans peuvent compter sur un James Harden de feu, puisque « The Beard » a ni plus ni moins rejoint dans l’histoire un certain Oscar Robertson en compilant au moins 35 points et 5 passes décisives lors de 7 rencontres consécutives, comme face aux Pelicans (41 points et 6 passes agrémentés de 9 rebonds) :

A la faveur de cette belle série, les hommes de Mike D’Antoni prennent la 5ème place à des Lakers, privés de Lebron James, blessé aux adducteurs, toujours devancés par le Thunder et des Clippers, qui marquent également le pas avec respectivement 5 et 4 victoires sur leurs 10 dernières rencontres. Mais dans une conférence toujours aussi serrée avec pas moins de 10 équipes à plus de 50% de succès et seulement 5 victoires qui séparent le leader du 10ème, des surprises et des rebondissements sont à prévoir jusqu’au début des phases finales. Côté français, signalons le nouveau Buzzer-Beater d’Ewan Fournier, qui offre la victoire à son Magic face aux Pistons :

Ou encore la cure de Jouvence d’un Tony Parker qui n’a rien perdu de son talent malgré ses 36 ans, avec 19 points marqués lors de la victoire face aux Nets, dont 17 dans le dernier ¼ temps et qui a récemment intégré le Top 50 des meilleurs marqueurs NBA de l’histoire :

Dans l’Hexagone, le week-end était réservé au All-Star Game, largement inspiré de son homologue nord-américain avec des concours similaires, les mascottes de quelques franchises présentes et un match opposant joueurs français et étrangers, qui a vu la victoire des hexagonaux sur le score fleuve de 153 à 147 et le triomphe de Lahou Konaté, désigné MVP avec 33 points marqués. Un « Show » à l’américaine qui a ravi un chiffre record de 15988 spectateurs de l’AccordHotels Arena :

 

En Ski alpin, les filles étaient à Semmering en Autriche pour des épreuves techniques, normalement favorables à l’américaine, Mikaela Shiffrin, dans la course au globe de cristal. Si le Slalom Géant du samedi a été remporté, à la surprise générale, par la tchèque Vlhova, spécialiste du slalom, devant l’allemande Rebensburg et la française Tessa Worley, la championne américaine a remis les points sur les « i » le lendemain en s’imposant lors du slalom devant cette même Vlhova, pour effacer sa mitigée 5ème place de la veille. Cet excellent week-end de la skieuses tchèque lui permet de consolider sa seconde place au classement général et même de grappiller quelques points sur une Mikaela Shiffrin, qui reste tout de même solidement accroché à son trône avec 1034 points contre 568 à son 1ère poursuivante. A l’inverse, les hommes, qui se trouvaient à Bormio en Italie, devaient en découdre avec 2 épreuves de vitesse, une descente et un Super-G. A domicile, les skieurs transalpins se sont illustrés avec le magnifique doublé de Dominik Paris, qui s’impose devant son compatriote Christof Innerhofer et le suisse Beat Feuz, lors de la descente et devant l’autrichien Matthias Mayer et le norvégien Aleksander Aamodt Kilde lors du Super-G. Le norvégien, qui est d’ailleurs le grand vainqueur de ce week-end puisque ce podium lui permet de reprendre la 3ème place, jusqu’alors occupée par son compatriote Aksel Lund Svindal (seulement 12ème en descente et 17ème en Super-G), d’un classement toujours dominé par un Marcel Hirscher pourtant absent ce week-end.

 

En Ski de fond, l’événement de cette fin d’année est le traditionnel Tour de Ski, qui réunit les meilleurs athlètes autour d’une compétition unique par étapes, qui se conclue par la difficile montée de l’Alpe Cernis à Val Di Flemme en Italie. Avant cela, les fondeurs devront en découdre avec de multiples épreuves combinant sprints et distance aussi bien en style libre qu’en classique. Chez les filles, en l’absence des cadors de la discipline, Thérèse Johaug et Charlotte Kalla, qui visent les mondiaux de Seefeld en février, et avec le récent retour à la compétition de la tenante du titre, Heidi Weng, à cours de forme, les favorites de l’épreuve se nomment Oestberg, Diggins et Parmakoski. Cependant après 2 épreuves, disputées ce week-end à Toblach en Italie, un sprint libre remporté par la spécialiste suédoise Stina Nilsson et un 10 kilomètres, également en style libre, remporté par la surprenante Natalia Nepryaeva, c’est bien la russe, qui pointe en tête du classement général et qui pourrait bien damer le pion à toutes ses adversaires, tant la jeune championne de 23 ans semble en grande forme actuellement, tout comme sa compatriote Anastasia Sedova, 23 ans également, qui termine 3ème du 10 kilomètres, juste derrière la norvégienne Oestberg, pour un résultat historique des fondeuses russes. Au général, Nepryaeva compte déjà plus de 20 secondes sur Diggins et Oestberg, qui vont désormais devoir cravacher pour revenir sur leur jeune rivale. Chez les hommes, aucun absent notoire et une édition 2019, qui s’annonce donc exceptionnelle avec pas moins de 10 fondeurs capables de s’imposer, allant du spécialiste suisse Dario Cologna, aux norvégiens Sundby, Iversen, Roethe ou encore le jeune et prometteur Klaebo, sans oublier les russes Bolshunov et Ustiugov, voire le canadien Harvey. Le sprint inaugural remporté par le spécialiste Klaebo, qui en a profité pour se placer au général a surtout été l’occasion pour les sprinters français de briller avec le magnifique podium de Richard Jouve et Lucas Chavanat, respectivement 2nd et 3ème :

Les choses sérieuses ont réellement commencé avec le 15 kilomètres libre du dimanche. Et le premier à dégainer se nomme Sergey Ustiugov, enfin de retour après ses déboires des JO de 2018. Le fondeur russe, au bord de la finale, lors du sprint, a prouvé qu’il était revenu à son meilleur niveau en s’imposant devant le norvégien Krueger et son compatriote Alexander Bolshunov, qui prend la tête du classement général, devant son compatriote vainqueur du jour et un Johannes Klaebo, seulement 12ème lors du 15 kilomètres mais qui reste à 10 secondes du leader. Krueger et Iversen pointent respectivement à 30 et 38 secondes du leader, tandis que Sundby et Cologna, les grands perdants de ces 2 premières épreuves pointent déjà à plus d’une minute de leaders russes, qui seront très difficiles à déloger.  Alors que l’on attendait un exploit du français Maurice Manificat, lors de ce 15 kilomètres, qui est l’une de ces spécialités et dont il était le grand favori, c’est son compatriote Clément Parisse, qui a su tirer son épingle du jeu, avec une magnifique 6ème place loin devant la 14ème place de Manificat :

Les prochaines étapes en Suisse à Val Müstair, puis en Allemagne à Oberstdorf, avant un retour en Italie à Val Di Flemme, promettent beaucoup de spectacles, notamment chez les garçons où le suspense reste entier et où les prétendants à la victoire finale sont nombreux mais également chez les filles où une surprise reste toujours possible.

 

Enfin en Saut à skis, cette période de l’année est l’occasion de l’une des compétitions phares de cette discipline, la tournée des 4 tremplins, qui est souvent plus importante aux yeux des sauteurs, que le classement général de la Coupe du Monde, voire que les Jeux Olympiques ou les Championnats du Monde. Disputée sur les tremplins mythiques d’Oberstdorf, de Garmisch, d’Innsbruck et enfin de Bischofshofen, la compétition a vu la victoire inaugurale du favori japonais, Ryoyu Kobayashi devant l’allemand Markus Eisenbichler et l’autrichien Stephan Kraft, notamment grâce à un premier saut mesuré à 138.5 mètres :

Malgré ce résultat encourageant la route du champion nippon est encore longue pour espérer ramener le précieux trophée au pays du soleil levant et ainsi succéder à Funaki Kazuyoshi, dernier vainqueur japonais de la tournée en 1998. Avant cela, il reste encore 3 épreuves à disputer et, malgré sa décevante 8ème place, le double tenant du titre et auteur d’un formidable grand chelem l’an dernier, le polonais Kamil Stoch aura surement à cœur de prouver qu’il peut encore réaliser un triplé historique, que seul le norvégien Bjorn Wirkola a réalisé entre 1976 et 1969.

 

Avant de vous quitter, je voudrais vous souhaiter à toutes et tous une Excellente Année 2019, qu’elle soit sportive ou non. Que cette nouvelle année nous épargne des catastrophes en tout genre et surtout du terrorisme et qu’elle nous rapproche les uns des autres. Pour cela le sport est certainement l’une des meilleures façons d’oublier nos différences et de nous unir dans la joie comme dans la peine. Bonne et heureuse année à tous !

 

Sportivement,

L'équipe Sportive de weekly.fr

 

@Passion_Sport

Et vous, quel est votre avis ? Exprimez-vous ! Réagissez à cet article.


Suivez-nous

Les auteurs

";