Un calendrier pas comme les autres

Qui a dit qu'on ne faisait que s'ennuyer dans une maison de retraite ? Ce n'est pas le cas pour les pensionnaires d'un établissement d'Essen, en Allemagne qui ont décidé pour la nouvelle année de faire un calendrier pas comme les autres. Non, même si certains y pensent, les retraités n'ont pas décidé de poser nus mais plutôt de rejouer des scènes de films célèbres. Celle de Titanic "je suis le roi du monde !", de Sept ans de réflexion avec une Marylin Monroe à la robe blanche soulevée par une grille d'aération, le générique de James Bond pistolet au poing, la danse endiablée de La Fièvre du Samedi soir... Une sacrée mise en scène pour les modèles âgés de 75 à 98 ans ! Et pas d'opération commerciale en dessous, juste l'envie de s'amuser, puisque le calendrier a été distribué gratuitement à tous les résidents et employés de la maison de retraite.

La Mère Michel l'a cherché longtemps son chat et la comptine ne dit pas combien de temps. Une journée ? Une semaine ? Un couple de bretons peut y répondre : dix ans ! En effet, la famille qui vit dans les Côtes d'Armor a eu une sacrée surprise ce lundi en voyant réapparaître comme si de rien était leur chat, disparu il y a donc une décennie ! L'aventure est racontée par le journal Ouest-France : Olive, c'est le nom du félin, serait donc réapparu soudainement à leur domicile en reprenant ses habitudes. Son maître, qui ne pensait pas le revoir, dit avoir reconnu son regard, malgré un pelage désormais long et sale. Alors imposteur ou vrai animal perdu qui a retrouvé son foyer ? On ne l'aurait pas osé mais Ouest-France l'a fait : "chacrée" histoire tout ça !

Si vous vous apprêtez à occuper un nouvel appartement, qui sait ce que vous pourriez y trouver ! C'est le journal The Telegraph qui revient sur ce qu'il s'est passé il y a quelques années dans un logement parisien. Sa propriétaire, qui venait de décéder à l'âge de 91 ans, n'y avait jamais remis les pieds depuis qu'elle avait fui la capitale pendant la Seconde Guerre Mondiale pour se réfugier dans le sud de la France. Et c'est le commissaire-priseur, chargé de faire l'inventaire des biens de la défunte qui a eu l'impression d'un vrai voyage dans le temps en retrouvant un appartement «figé» depuis 70 ans. Mais ce qu'il ne s'attendait pas à trouver dans le mobilier et la décoration d'époque, c'est un tableau de grande valeur. Une œuvre du peintre italien Giovanni Boldini, évaluée à 300 000 euros mais qui aux enchères est finalement parti pour 2,1 millions ! Ce sont les héritiers, retrouvés par les généalogistes, qui n'ont pas dû en croire leurs yeux !