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God Save The Week

Une cavalière qui a du chat, un roller-marathon du cœur et des mots dans le dico !

Exploit sportif entre Berlin et Nice pour la bonne cause, un lycéen qui emmène son chat à son bal de fin d'année et quelques entrées dans les dictionnaires...voici quelques infos pour bien finir le week-end !

Ceux qui n'ont pas de cavalière ou de cavalier pour un éventuel bal de promo organisé par leur lycée ou leur école, pas de panique ! Il suffit de le prendre avec autant d'ironie et d'humour que Sam Steingard, jeune américain de 18 ans de Germantown, dans le Maryland, qui l'an dernier s'est retrouvé sans personne pour aller à cette soirée si traditionnelle outre-atlantique. L'étudiant a alors décidé de s'accompagner de Ruby...le chat de la famille ! Son amie féline a eu droit à une petite robe rose pour poser aux côtés de son maître car Sam s'en est tenu en réalité à quelques photos, n'emmenant pas sa compagne à quatre pattes à au bal. Elle aurait sûrement fait des envieuses !

Daniel Mihalcea a réalisé un véritable exploit, et tout cela pour la bonne cause ! Ce sportif amateur de 35 ans a parcouru plus de 1850 kilomètres en rollers entre Berlin et Nice avec pour objectif de récolter des fonds pour l'association Handicap International dont il est un bénévole. Parti le 17 avril de la capitale allemande, il aura mis un mois à gagner le sud de la France. En traversant les Pays-Bas, la Belgique, les Ardennes, le Rhône, dans des conditions météo pas toujours faciles, Daniel Mihalcea a réussi à réunir 1200 euros. Bravo !

Et enfin, un peu de vocabulaire. Les dictionnaires ont annoncé cette semaine leurs nouveaux mots et certains sont à maîtriser absolument ! On "s'enjaille" et on "s'ambiance" pour s'amuser, faire la fête et en profiter. On lit tranquillement un "mook", moitié magazine moitié book. On se croit à Marseille en ne disant plus que ça craint ou que c'est nul mais que c'est "dégun". Et puis on parlera aussi du "café suspendu", expression qui désigne le fait de commander non pas un mais deux cafés dans certains établissements, l'un pour soi et l'autre pour la personne démunie qui passera plus tard... Générosité poétique qui nous vient tout droit d'Italie.

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