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Yannick Noah et Alanis Morissette : leurs nounous les attaquent

Les stars n’ont-elles aucune limite ? Ou les abuse-t-on forcément plus que les gens lambda ? Quoi qu’il en soit beaucoup de people se retrouvent devant la justice pour avoir maltraité ou exploité leur nourrice.

Rien ne va plus chez Yannick Noah et son épouse Isabelle Camus. Leur ancienne nourrice les accuse d’esclavagisme et d’abus de confiance. Les trois petits mois passés au service du couple auront marqué Rabbra Bendjebbour ! Les faits remontent à l’été 2004. La nounou, embauchée pour s’occuper de Joalukas, aurait été sollicitée jour et nuit, du lundi au dimanche pour un salaire de… 950 € par mois. C’est finalement une dispute avec Isabelle Camus qui l’aurait contrainte à démissionner. La nourrice a engagé des poursuites devant le tribunal des prud'hommes de Bobigny. Si elle n’obtient pas satisfaction, elle n’hésitera pas à aller au pénal.

Si les époux Noah n’ont pas directement commenté l’affaire, ils ont fait savoir par leurs avocats qu’ils avaient l’intention d'engager "des procédures aux fins que soient sanctionnées justement les graves atteintes à leur honneur et leur réputation", jugeant les déclarations de leur ancienne nourrice "d’accusations malveillantes et mensongères". Pire, Yannick Noah et Isabelle Camus estiment qu’ils étaient victimes de "harcèlement" de la part de leur employée, précisant qu’elle n’avait jamais fait d’heures supplémentaires.

Et comme les stars ont souvent des relations compliquées avec leurs nourrices, quelques jours plus tard, c’est la chanteuse Alanis Morissette qui a eu la mauvaise surprise de se voir assignée par la sienne. Et comme de l’autre côté de l’Atlantique les choses prennent toujours une tournure plus dramatique, la nounou du petit Ever accuse carrément Alanis Morissette de l’avoir "retenue en otage" pendant ses heures de travail ! Elle aurait bossé pas moins de douze heures d'affilée par jour, n’aurait pas été autorisée à prendre une pause, et aurait même été forcée rester la nuit pour surveiller le bébé en restant dans sa chambre avec l’interdiction formelle d’en sortir. Aujourd’hui, la nounou souffre de détresse émotionnelle et réclame des dommages et intérêts.

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