God Save The Week
Du couscous, des futurs pilotes et des "FrigoTroc"
Une reconnaissance gastronomique, des formations pour tous et de la solidarité alimentaire...voici quelques nouvelles pour bien commencer le week-end !
Flickr/Lottie's pets & stuff/CC
Royal, boulettes ou poisson ?
Certains n'y ont pas cru et pourtant l'info est sérieuse : des experts de pays du Maghreb ont pour projet commun de faire inscrire le couscous au patrimoine mondial de l'humanité de l'Unesco. L'annonce a été faite lundi par le directeur du CNRPAH, le Centre Algérien de Recherches Préhistoriques, Anthropologiques et Historiques. Le montage du dossier serait en cours et des réunions avec des spécialistes du Maroc, de la Tunisie et de l'Algérie devraient se tenir prochainement. Une bataille qui va permettre aux trois pays de dépasser cette grande question de la paternité de ce plat millénaire. Une chercheuse du CNRPAH a même évoqué "un moyen de raffermir les liens solides entre les peuples". Rien que d'en parler, qui n'aurait pas envie de déguster un délicieux couscous ?
Des pilotes dans l'avion !
Ceux qui rêvent de prendre les commandes d'un Airbus A320 ou d'un Boeing B737 mais qui n'imaginent pas réussir de longues études s'en réjouissent : Air France a décidé d'ouvrir à nouveau sa filière de formation des "Cadets", qui avait été fermée en 2008. L'objectif est de former des personnes niveau bac, pendant deux ans aux frais de la compagnie. Les candidatures sont à déposer jusqu'au mardi 30 janvier. Après sélection suivant des tests de culture générale, d'anglais et psychologiques notamment, la première session devrait commencer au printemps 2018. Air France souhaiterait recruter une centaine de pilotes pour commencer.
Des frigos pas comme les autres
Weekly vous parle souvent de belles initiatives qui font du bien. Et cette fois, c'est à Rennes que cela se passe. Pour lutter contre le gaspillage alimentaire, un concept a vu le jour : celui du "FrigoTroc". Des réfrigérateurs sont ainsi mis à disposition dans des lieux publics, maisons de quartiers, et locaux associatifs. Les premiers ont été installés cette semaine dans les locaux d'Askoria, une école de formation aux métiers du social et d'Au P'tit Blosneur, une conciergerie de quartier solidaire. Chacun peut donc y mettre des produits qu'il ne compte pas utiliser, et s'y servir. Une traçabilité des denrées est assurée selon l'association Bug qui supervise ces garde-manger partagés.