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Sport

L'essentiel de l'actualité sportive du 30 octobre au 5 novembre 2018

A l'affiche cette semaine, les hauts et les bas d'un PSG, qui survole la Ligue 1 mais qui se retrouve dans la tourmente des FootballLeaks, mais aussi toute le reste de l'actualité du ballon rond en France et en Europe, ou bien encore le Rugby, le Basket NBA, le Tennis ou le départ de la Route du Rhum 2018.

A l’affiche cette semaine, on retrouve le PSG, qui fait parler de lui cette semaine, sur les terrains mais surtout en dehors. A l’approche du choc face à Naples, qui pourrait décider de son avenir européen, le leader de la Ligue 1 continue d’aligner les records au niveau européen en enchainant une 12ème victoire consécutive, à la faveur de son succès 2 buts à 1 au Parc des Princes sur son dauphin lillois désormais relégué à 11 points. Après une première période bien maitrisée par les dogues, les parisiens ont fini par trouver la faille grâce au duo infernal Mbappé-Neymar, buteurs aux 70ème et 84ème minutes, avant que l’inévitable Pépé, révélation nordiste de ce début de saison ne réduise la marque en fin de rencontre sur Pénalty. En attendant les prochaines échéances européennes, tout va bien pour le mieux sportivement pour le PSG de Tuchel. Difficile d’en dire autant en dehors des terrains, suite aux dernières révélations de Médiapart et d’un consortium de journalistes européens, qui avancent que l’UEFA, par le biais de Michel Platini et Gianni Infantino, aurait passé des accords avec les dirigeants franciliens pour réduire les sanctions liés au fair-play financier et fermer les yeux sur les déficits du club, qui aurait pu le priver de toute compétition européenne :

Les responsables parisiens n’ont pas tardé à réagir en démentant fermement cette affaire de #FootballLeaks et en contre-attaquant devant le TAS (Tribunal Administratif du Sport) mais cet énième rebondissement dans la guerre que se livrent les historiques (Real, Bayern, Barca, ...) et les nouveaux riches (PSG, Manchester City, ...) pourrait cette fois être douloureux pour un PSG, dont l’équilibre financier repose essentiellement sur un énorme contrat de sponsoring avec l’Office du Tourisme du Qatar, que beaucoup d’experts estiment largement surcoté. Avec une enquête sur ses comptes toujours en cours par l’UEFA et ces nouvelles révélations, les prochains jours pourraient être décisifs pour l’avenir de ce PSG, version Qatarie.

Dans le reste de l’actualité de la Ligue 1, l’ASM ne parvient toujours pas à sortir la tête de l’eau malgré l’arrivée sur son banc de Thierry Henry. La dernière défaite en date des rouges et blancs sur la pelouse de Reims propulse les asémistes à l’avant-dernière place à 3 points du barragiste, Amiens, battu 1 à 0 à Nice et 4 points du 1er non relégable, Dijon, lourdement défait sur sa pelouse 4 à 0 par le surprenant promu nîmois, qui occupe une belle 13ème place. Après 4 qualifications consécutives pour la Ligue des Champions, les joueurs de la principauté risquent de devoir se résoudre à jouer le maintien cette saison. Du côté du Groupama Stadium, les lyonnais ont livré une prestation insipide et s’en sortent finalement miraculeusement avec ce score flatteur de 1 but partout après avoir été copieusement dominés par des bordelais, pour une fois entreprenants et joueurs. Le carton du week-end est à mettre au crédit des nantais, qui ont disposé du dernier de la classe, Guingamp, 5 à 0 et qui semblent revivre depuis le retour sur leur banc de coach Vahid, à l’image d’un Emiliano Sala, encore double buteur ce dimanche et qui pointent désormais en 2nde position du classement des buteurs avec 10 réalisations à seulement 1 unité du phénomène Mbappé. Enfin l’OM a, de son côté, totalement sombré à Montpellier en y subissant sa plus lourde défaite depuis 30 ans, sur le score sans appel de 3 à 0. Montpellier se retrouve donc ce week-end nouveau dauphin du PSG à la faveur d’une meilleure différence de buts que Lille, tandis que l’OM abandonne sa place dans le Top 5 au profit des stéphanois, qui ont dominé Angers dans un match complétement fou, se terminant sur le score de 4 buts à 3.

Dans le reste de l’Europe, en Espagne, le changement d’entraineur au Real porte ses fruits au niveau des résultats puisque les merengues ont enchainé 2 victoires, d’abord en coupe du Roi sur la pelouse de Melilla sur le score de 4 à 0 avec une équipe largement rajeunie et une réalisation de Karim Benzema, puis en Liga face à Valladolid, 2 buts à 0, sur deux réalisations dans les 10 dernières minutes. Le bilan des premiers pas de Solari à la tête de l’équipe première est donc mitigé car le niveau de jeu affiché est encore loin des standards habituels de la maison blanche. Seul point positif : l’éclosion du jeune Vinicius, cantonné à la Castilla avec Lopetegui et qui a, enfin, sa chance avec Solari, qui l’a titularisé en Coupe du Roi et fait entrer en jeu en Liga, avec succès puisque le jeune joueur de 19 ans s’est à chaque fois, montré décisif s’attirant ainsi les louanges de la presse ibérique qui en a fait sa une ce week-end. Malgré cette victoire, le Real reste cantonné à une pp glorieuse 6ème place à 7 points de leader blaugrana, qui s’est sorti du piège tendu par le Rayo Vallecano, grâce à un doublé de Luis Suarez et un but du français Ousmane Dembélé, très critiqué ces dernières semaines pour son comportement extra-sportif et qui répond présent sur le terrain avec ce but précieux en l’absence de Léo Messi, toujours blessé :

Un temps leader de la Liga, le FC Séville marque le pas en concédant un match nul et vierge sur la pelouse de la Real Sociedad, dont ne profite pas le 4ème, l’Atlético Madrid, qui doit également se contenter du match nul 1 but partout sur la pelouse de Leganés, malgré l’ouverture du score de son français, candidat au ballon d’or, Antoine Griezmann. Les deux équipes voient le Barça prendre désormais 4 points d’avance en tête de la Liga. Ces résultats profitent donc à l’autre club de Barcelone, l’Espanyol, qui est le nouveau dauphin de son grand rival, après sa victoire 1 but à 0 face à l’Atlhétic Bilbao.

En Angleterre, le choc du week-end entre Arsenal et Liverpool a tenu toutes ses promesses avec une rencontre de très haut niveau, qui a permis aux Gunners de confirmer leurs excellentes dispositions actuelles en luttant à armes égales avec un ténor de la Premier League. Et c’est le français, Alexandre Lacazette, en grande forme actuellement et aux portes de l’équipe de France, qui a permis aux londoniens d’arracher ce match nul précieux :

Un match nul, qui profite aux joueurs de Manchester City, qui comptent désormais 2 points d’avance en tête de la Premier League après leur large succès 6 buts à 1 face à Southampton. Chelsea, vainqueur de Crystal Palace, 3 buts à 1, grâce à des réalisations de ses espagnols, Morata (doublé) et Pedro revient à hauteur des joueurs de la Mersey et parvient même à les devancer à la faveur d’une meilleure différence de buts. Tottenham, avec un Hugo Lloris décrié en ce moment outre-manche après des déboires extra-sportifs et ses performances en dent de scie, parvient à s’imposer difficilement à Wolverhampton, 3 buts à 2 pour reprendre la 4ème place aux Gunners. Autre français à s’illustrer ce week-end, Anthony Martial a ouvert la marque pour Manchester United, guidant ainsi les siens vers une victoire 2 buts à 1 sur la pelouse de Bournemouth, qui permet aux Red Devils de respirer mais pas de recoller au classement, puisque les mancuniens restent loin du Big four à 7 points de Liverpool et que les hommes de Mourinho devront se rendre chez l’ennemi de City le week-end prochain.

En Allemagne, le Bayern de Munich, habitué à planer sur la Bundesliga, ne parvient toujours pas à prendre son envol cette saison. En coulisses, il semblerait que l’entraineur Nico Kovac n’ait pas l’oreille de ses joueurs, qui se montrent de plus en plus capricieux à l’image d’un Thomas Mueller, particulièrement mécontent de son sort. Résultat, une nouvelle contre-performance ce week-end avec un match nul dans l’Allianz Arena, face à Fribourg, équipe du ventre mou du championnat, qui place les coéquipiers de Franck Ribéry à 4 points d’un Borussia Dortmund, vainqueur sur la pelouse de  Wolfsburg sur le score de 1 but à 0. Le Borussia Mönchengladbach, large vainqueur de Düsseldorf, 3 à 0 et le RB Leipzig, tenu en échec sur sa pelouse par Schalke 04, 0 à 0 complètent le Top 4 de la Bundesliga.

Enfin en Italie, la Juventus continue sa promenade de santé en enchainant un 11ème match sans défaite avec cette victoire 3 buts à 1 face à Cagliari. Muet, Cristiano Ronaldo ne parvient pas à recoller aux talons de la pépite polonais du Genoa, Krysztof Piatek et voit même le buteur de la Lazio de Rome, Ciro Immobile, auteur d’un doublé lors de la victoire de son équipe, 5 buts à 1 face à SPAL Ferrara, le dépasser au classement des meilleurs réalisateurs transalpins. Large vainqueur du Genoa à San Siro, 5 à 0, l’Inter de Milan conserve sa seconde place, et Naples, également facile face à Empoli, 5 buts à 1, notamment grâce à un triplé du belge Dries Mertens, reste 3ème. Vainqueur dans les derniers instants sur le pelouse Udinese, 1 but à 0, l’AC Milan confirme son redressement et conserve sa 4ème place, à l’inverse de la Roma, qui concède le nul, 1 partout, sur la pelouse de la Fiorentina et se retrouve désormais 7ème après 3 matchs sans victoire en série A.

 

En Top 14, le RCT en grande difficulté depuis le début de la saison aussi bien en championnat qu’en Coupe d’Europe a quelque peu éteint l’incendie qui couvait, en s’imposant 26 à 16 face à l’USAP. Mais cette victoire laborieuse face au bon dernier de la classe, qui n’aura pas démérité sur cette rencontre n’efface en rien les lacunes affichées par les varois ces derniers mois et la nécessité de renforcer un effectif limité afin d’espérer atteindre les objectifs élevés d’un club toujours aussi ambitieux sur le plan hexagonal et européen. On parle ainsi beaucoup sur la rade des arrivées possibles de 3 ténors internationaux l’an prochain après la coupe du monde : les All-Blacks Miller-Skudder et Whitelock et le puissant 2ème ligne sud-africain, Etzebeth :

Mais en attendant la saison prochaine, les hommes de Patrice Collazo  devront probablement cravacher toute cette saison pour éviter une déconvenue en fin d’exercice. Loin de ces considérations, le leader clermontois continue d’afficher sa solidité aussi bien dans son antre, que loin de ses bases. En déplacement à Grenoble, face à une équipe déterminée à sauver sa place dans l’élite, les auvergnats privés de nombreux internationaux, ont bien failli revenir à la maison avec les 4 points de la victoire. En menant 27 à 20 à 10 minutes de la fin, les hommes de Franck Azéma pensaient surement avoir fait le plus dur, mais les grenoblois ont su trouver les ressources nécessaires pour franchir la ligne à 5 minutes du terme et arracher un match nul mérité qui arrange finalement les 2 équipes, car Clermont conserve son fauteuil de leader et Grenoble sa 11ème place, à égalité avec les toulonnais, mais avec désormais 2 points d’avance sur des agenais, également méritant mais finalement battu 33 à 29 sur la pelouse de la Rochelle. Sur leur pelouse de Pierre-Fabre, les champions de France en titre castrais n’ont pas tardé à effacer la claque prise à Clermont le week-end dernier en dominant très largement une poussive équipe de Pau, 37 à 10 avec le bonus offensif, qui permet au CO de reprendre place parmi les qualifiés pour les phases finales. Dauphins des clermontois, les toulousains ont également livré un récital en atomisant l’UBB sur le score improbable de 40 à 0. Parfaitement organisés défensivement et redoutables en contre-attaque, les haut-garonnais n’ont fait qu’une bouchée d’une équipe bordelaise, dominée de la tête et des épaules pendant toute la rencontre. Côté Racing, on s’est fait une spécialité de faire tomber les « gros » à l’extérieur. Après des victoires à Toulon et au stade français, c’est désormais à Montpellier de subir la loi des franciliens sur le score de 27 à 13. Il aura fallu attendre la seconde période pour voir les hommes du duo Travers-Labit faire la différence après un 1er acte équilibré conclu sur le score de 12 à 10 pour les ciel-et-blanc. Avec 4 essais, dont un doublé de l’inoxydable argentin Juan Imhoff et une réalisation en fin de match du jeune Antoine Gilbert, contre seulement 2 aux héraultais, les joueurs de la capitale se maintiennent dans le Top 6, précisément au 5ème rang, tandis que leurs adversaires du jour chutent à la 9ème place. Pour conclure, le LOU, lourdement battu à Bordeaux le week-end dernier, s’est parfaitement repris en dominant, 41 à 6, une équipe du stade Français, handicapée par une intoxication alimentaire, qui a contraint les entraineurs parisiens à changer la feuille de match à la dernière minute. Malgré ce revers, les franciliens restent sur le podium, mais laissent la seconde place à l’autre Stade, tandis que Lyon reprend place dans le Top 6 abandonnée la veille :

 

Sur le plan International, plusieurs tests matchs étaient au programme ce week-end et notamment les champions du monde en titre néo-zélandais, qui ont présenté une équipe fortement rajeunie face aux japonais, futurs hôtes de la prochaine coupe du monde. Cela n’a pas empêché les « blacks » de s’imposer largement et de régaler le public nippon, avec notamment 10 essais contre 5 à leurs adversaires et une victoire finale 69 à 31 :

Dans les oppositions, qui sentaient déjà le tournoi des 6 nations, l’Irlande s’est facilement défait de l’Italie, 54 à 7 avec la bagatelle de 8 essais à 1, tandis que le Pays-de-Galles a fait valoir sa suprématie sur l’Ecosse en s’imposant 21 à 10. Enfin dans le choc du week-end, l’Angleterre s’est difficilement imposé face à l’Afrique du Sud, 12 à 11, grâce à 4 pénalités, dont 3 d’Owen Farrell. Les boks auront eu le mérite de marquer le seul essai de la rencontre, mais la dernière tentative de pénalité de Pollard échouant sur le poteau à 2 minutes de la fin aura définitivement scellé leurs espoirs de succès lors d’une rencontre engagée mais au final plus agréable que le score ne le laisse penser.

 

En NBA, la performance individuelle de la semaine est à mettre au crédit du shooteur fou de Golden State Klay Thompson, qui a signé 52 points et surtout 14 tirs primés sur 24 tentatives lors de la victoire de son équipe face aux Bulls de Chicago en seulement 3 quart-temps. Quelques jours après que son coéquipier, Stephen Curry, a porté ce record à 13, l’ex pensionnaire de la faculté de Washington State, en retrait derrière ces coéquipiers Curry et Durant depuis le début de la saison et critiqué pour sa maladresse, s’est rappelé aux bons souvenirs de ces détracteurs en signant cette performance de 1ère ordre :

Sous l’impulsion de son trio vedette Durant-Curry-Thompson, bien aidé par Draymond Green et en attendant l’arrivée dans leur raquette de DeMarcus Cousins, recrue phare de l’été du côté de San Francisco, les Warriors de Golden State dominent outrageusement leur conférence avec un bilan de 9 victoires pour 1 seule défaite et une série de 7 victoires consécutives. A part l’ennui, on voit mal ce qui pourrait empêcher les joueurs de Steve Kerr de rejoindre les finales NBA pour une 5ème année consécutive. Derrière, les surprenants Nuggets de Denver poursuivent leur excellent début de saison avec une seule défaite également pour 8 victoires. Suivent ensuite, les Blazers les Spurs et les Grizzlies avec 3 défaites pour respectivement 7, 6 et 5 victoires. Du côté des Lakers, boostés par l’arrivée de King James, la mayonnaise peine à prendre avec un bilan mitigé de 4 victoires pour déjà 6 défaites, dont la dernière en date dans le Staple Center face aux Raptors de Toronto, pourtant privés de leur star, Kawhi Leonard, mais emmené par un Serge Ibaka, record, auteur de la meilleure performance individuelle de sa carrière avec 34 points à 15/17 aux shoots et 10 rebonds pour une victoire 121 à 107 des canadiens. Très discret, Lebron James se contente de 18 points, 2 rebonds et 6 passes, bien loin de ses standards habituels.

Avec cette belle victoire sur le parquet des Lakers, les Raptors conservent la tête de la conférence Est avec un bilan identique à celui des Warriors à l’Ouest, soit 9 victoires pour 1 défaite. Ils sont suivis de près par la surprenante équipe des Bucks, emmenée par le prodige grec Giannis Antetokounmpo en mode MVP avec des moyennes de 26 points, 14 rebonds et 6 passes décisives depuis le début de la saison. Avec un bilan de 8 victoires pour 1 défaite, les joueurs de Milwaukee confirment tout leur potentiel entrevu la saison passée et se positionnent en candidat sérieux pour  les finales NBA dans une conférence Est, orpheline de Lebron James. Favoris annoncés de cette conférence, les Celtics et surtout les Sixers peinent à trouver leur rythme avec des bilans respectifs de 6 victoires pour 3 et 5 défaites. Mais c’est toujours mieux que les Cavs de Cleveland qui, privés de leur leader, n’ont remporté qu’un match sur les 9 disputés depuis le début de la saison.

 

En Tennis, après sa rencontre d’anthologie face au roi Roger, qui n’avait plus participé au Masters 1000 de Paris-Bercy depuis 3 ans, Novak Djokovic semblait se diriger vers son 5ème sacre lors de ce dernier tournoi de la saison avant les finales de Londres :

Mais, visiblement épuisé par son combat de 3 sets et plus de 3 heures face à Federer, Nole n’aura rien pu faire face à la fougue du jeune russe Karen Kachanov, qui s’impose finalement 7-5 / 6-4 pour remporter le premier Masters 1000 de sa jeune carrière. À 22 ans, le nouveau tsar, qui succède à ses glorieux ainés, Marat Safin et Nikolay Davidenko, également vainqueurs dans la capitale française, n’aura pas volé son sacre, puisque il a successivement terrassé 4 joueurs du Top 10, John Isner, 8ème, Alexander Zverev, 4ème (sèchement battu 6-1 / 6-2), puis Dominic Thiem, 6ème, avant de triompher du « Djoker », 2nd, en finale. Djokovic pourra cependant se consoler avec la place de numéro mondial, qu’il récupère au détriment d’un Rafaël Nadal, forfait non seulement pour ce tournoi de Paris, mais également pour les finales de Londres, ce qui assure donc au serbe de terminer l’année en tête du classement ATP. Au terme de ce dernier tournoi et après le forfait du majorquin les 8 participants à ces finales sont donc désormais connus et se disputeront dans la capitale britannique le dernier trophée individuel de la saison avant la finale de la Coupe Davis, qui opposera la France à la Croatie. A 3 semaines de l’événement, les tricolores, dont la présélection a été dévoilée par Yannick Noah :

Se présentent avec beaucoup plus de doutes que de certitudes avec de nombreux joueurs en méforme et une saison 2018 bien terne avec aucun joueur dans le Top 25, aucun quart de finale en grand chelem et un triste record à Bercy avec aucune présence au 3ème tour pour la 1ère fois depuis la création de ce tournoi. Malgré cela, l’espoir reste de mise côté français, notamment grâce aux certitudes apportées par la paire de doubles Mahut-Herbert, l’une des meilleures au monde. Reste donc à « coach Yannick » de trouver des solutions en simple pour venir à bout d’une redoutable équipe croate emmenée par le duo Cilic-Coric.

 

Enfin pour clore cette chronique, signalons le départ ce week-end de l’une des plus importantes courses en solitaire et sans escale, la Route du Rhum, qui voit cette année la participation de 6 femmes en catégorie Imoca et la présence toujours dans cette même catégorie de 8 débutants :

Arrivée prévue aux alentours de début décembre après environ 6560 km de course et probablement quelques rebondissements et avaries à prévoir aussi bien chez les favoris que les anonymes …

 

 

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