Retrouvez Weekly sur Facebook

Sport

L'essentiel de l'actualité sportive du 28 mars au 03 avril 2017

Le troisième sacre de la saison du Roi Federer, la suprématie du PSG du PSG avec un quatrième sacre consécutif en coupe de la Ligue, mais aussi la L1 et les championnats européens, les coupes d'Europe de Rugby, le Basket avec la NBA, le cyclisme avec le retour au sommet de Philippe Gilbert ou encore les championnats du monde de Patinage Artistique, ...

A l'affiche cette semaine, le Roi Federer, qui n'en finit plus de surprendre à 35 ans passés. 11 ans après sa précédente série, le suisse a de nouveau réussi le triplé Open d'Australie, Indian Wells et Miami. Après 6 mois d'absence et beaucoup d'incertitude autour de ses capacités à revenir au plus haut niveau, le champion helvète a mis tous les observateurs et les sceptiques d'accord. Certes, les plus pointilleux argueront, que les 2 premiers mondiaux, Novak Djokovic et Andy Murray, étaient absents en Floride cette année, mais cela n'enlève rien à la performance incroyable du nouveau 4ème joueur mondial. Comme à l'Open d'Australie en janvier dernier, il a disposé en finale d'un autre revenant et éternel rival, Rafael Nadal, battu en 2 sets 6-3, 6-4 et qui prend, lui, la 5ème place mondiale. Pourtant le bâlois aurait pu raisonnablement montrer des signes de fatigue après sa ½ finale épique face au fantasque Nick Kyrgios, battu en 3 sets et 3h41 de match, d'autant plus qu'il ne pensait pas lui-même aller si loin dans cette compétition, mais ses réserves physiques en ce début de saison semblent inépuisables. Malgré tout, il va désormais prendre une pause bien méritée jusqu'à Roland-Garros, où il débutera sa saison sur terre battue, en espérant accrocher un 19ème tournoi majeur après son 91ème titre, dont 26 Masters 1000 :

 

 

Chez les filles, c'est l'anglaise Johanna Konta, qui a remporté le 1er trophée majeur de sa jeune carrière en disposant en finale de l'ancienne numéro une mondiale, Caroline Wozniacki, sur le score de 6-4, 6-3. Après avoir notamment battu aux tours précédents, Venus Williams, Simona Halep ou encore la française Pauline Parmentier, la britannique, future numéro 7 mondial, confirme tout son potentiel et prend date pour les échéances à venir, notamment Roland-Garros ou encore Wimbledon où elle voudra briller devant son public à l'instar de son homologue masculin, Andy Murray.

 

En Football, l'actualité de ce week-end était marquée par la finale de la coupe de la Ligue entre les 2 meilleures équipes hexagonales cette saison, le PSG et Monaco au Parc OL de Lyon. Sauf que cet évènement avait une saveur bien plus particulière pour un PSG, humilié à Barcelone et distancé de 3 points par son adversaire du jour en championnat, que pour une équipe de Monaco, à qui tout semble réussir cette saison. Dans un match spectaculaire et prolifique, le club de la capitale, emmené par ses principaux cadres, Thiago Motta, Thiago Silva et Cavani en tête, n'a fait qu'une bouchée d'une équipe monégasque, légèrement diminuée par les absences de Falcao et Fabinho, sur le score sans appel de 4 buts à 1 :

Le jeune et phénoménal Mbappé récemment appelé en équipe de France et auteur de 19 buts depuis le début de la saison, n'a rien pu faire pour sortir son équipe des filets parisiens, bien muselé durant toute la rencontre par une charnière Thiago Silva – Kimpembe efficace et rigoureuse. En face, Edinson Cavani, auteur d'un doublé, mais aussi Draxler et Di Maria y sont allé de leurs réalisations pour offrir au club de la capitale son second trophée de la saison et sa 4ème coupe de la Ligue consécutive, et continuer de rêver à un nouveau quadruplé, qui n'effacera surement pas les déboires de la Coupe d'Europe. Les 2 leaders actuels de la L1 privés de championnat ce week-end, l'OGC Nice avait une occasion en or de revenir à 1 point des parisiens et les aiglons ne s'en sont pas privés. Face à une équipe de Bordeaux, redoutable en ce moment et particulièrement efficace, les niçois ont souffert pour s'imposer 2 buts à 1 avec des réalisations de « Super » Mario Balotelli et de Valentin Eysseric, qui ont répondu à l'ouverture du score très rapide (9ème minute) de Gaétan Laborde. Cette victoire permet donc au Gym de recoller à 1 point du PSG, tandis que les Girondins perdent une belle occasion de doubler l'OM à la 5ème place. En effet dans le même temps, les olympiens, qui recevaient au Vélodrome le promu dijonnais a dû se contenter d'un match nul 1 but partout, qui freine le bel élan olympien de ces dernières semaines. Incapables de prendre la mesure d'une équipe dijonnaise courageuse et accrocheuse, les joueurs de Rudy Garcia ont dû même batailler pour prendre ce point du match nul se reposant sur la fantastique patte droite de son meneur de jeu Dimitri Payet en seconde période, qui répondait à un but contre son camp de Grégory Sertic, juste avant la pause :

Cette contre-performance olympienne aurait pu permettre aux Lyonnais de creuser l'écart sur leur poursuivant dans la course à la 4ème place, voire de rêver au podium, mais les joueurs de Bruno Génésio, pourtant en supériorité numérique pendant la majeure partie de la rencontre, n'ont pas su ramener mieux qu'un match nul 1 but partout de leur déplacement à Rennes. La faute à un pénalty raté de leur buteur maison, Alexandre Lacazette, pourtant grand spécialiste de l'exercice et à une multitude d'occasions ratées qui ont laissé les rennais dans le match et leur ont permis de rêver à une égalisation, qu'ils ont concrétisé à la 81ème minute par Mubele, répondant à l'ouverture du score lyonnaise en début de seconde période par Cornet. Dans le bas du classement, Bastia, battu à domicile par Lille, 1 but à 0, occupe désormais la dernière place, car Lorient s'est imposé au Moustoir, sur le même score, face à Nancy, pour remporter une 2nde victoire d'affilée pour la 1ère fois de la saison.

Dans le reste de l'actualité européenne, l'événement du week-end s'est déroulé à Londres où le leader de la Premier League, Chelsea a concédé une surprenante défaite à domicile face à Crystal Palace, pourtant modeste 16ème du championnat anglais. Ce 1er revers depuis janvier dernier et un déplacement à White Hart Lane, conclu par une défaite 2 à 0, fait tâche dans le parcours jusqu'à présent irréprochable d'une équipe des Blues remarquablement conduite par un Antonio Conte, qui n'aura pas mis longtemps à se familiariser avec le football anglais. Vainqueur de Burnley, 2 buts à 0 à l'extérieur, Tottenham revient ainsi à 7 points du leader londonien. Dans le match au sommet de cette 30ème journée, Gunners et Citizens ne sont pas parvenus à se départager et se quittent sur un nul spectaculaire 2 buts partout, qui ne fait l'affaire d'aucune des 2 équipes, tandis que Manchester United qui recevait Everton concède un second match nul consécutif et peut définitivement dire adieu au titre avec encore 15 points de retard et 9 matchs à disputer.

En Espagne, les 3 clubs phares se sont imposés sans trembler, à commencer par le Real Madrid, qui a facilement disposé d'Alavès 3 buts à 0 à Santiago Bernabeu, avec un but de Karim Benzema. Le Barça en déplacement à Grenade, n'a également fait aucun détail pour s'imposer 4 buts à 1 avec notamment des réalisations de Suarez et Messi. Enfin l'Atlético de Madrid sur la plus petite des larges dans son antre de Vicente Calderon, face à la Real Sociedad. Le FC Séville, qui recevait le Sporting Gijon, est le grand perdant de ce week-end avec un score nul et vierge qui permet aux Colchoneros de revenir à 2 points des sévillans avec un match en retard.

En Allemagne, les 2 leaders, le Bayern de Munich et le RB Leipzig se sont imposés largement, respectivement 6 buts à 0, face à Augsbourg et 4 buts à 0 face à Darmstadt pour distancer une équipe du Borussia Dortmund, qui ne parvient toujours pas à enchainer les bonnes performances en Bundesliga en concédant, cette fois-ci, le match nul 1 but partout à Schalke.

Enfin en Italie, c'est le choc entre le Napoli et la Juventus de Turin, qui cristallisait tous les débats. Certes les Turinois, qui comptaient 10 points d'avance sur les napolitains avant cette rencontre semblent filer tout droit vers un énième titre de champion, mais la rencontre était évidemment attendu car elle marquait le retour dans son ancien club du buteur, Gonzalo Higuain. Dans une rencontre, décevante et globalement dominé par le Napoli, les turinois sont parvenu à ramener un point de leur déplacement dans le sud de l'Italie, grâce à sa seule frappe cadrée de la rencontre par Sami Khedira à la 7ème minute. C'est Marek Hamsik, qui est ensuite parvenu à offrir un point mérité à une équipe de Naples, trop imprécise pour espérer mieux. Dans les autres rencontres, l'AS Rome s'est imposé face à Sassuolo, 3 buts à 1, pour revenir à 6 points de la vielle dame, tandis que les équipes de Milan se sont toutes deux contentés d'un match nul, qui les garde éloignées des places européennes.

 

En Rugby, le Tournoi des 6 nations désormais terminé, tous les regards étaient braqués sur les coupes d'Europe et notamment la Champion's Cup, qui voyait s'affronter en ¼ de finale les 2 meilleures équipes françaises de ces dernières années, l'ASM et le RCT dans l'antre de Marcel Michelin. Dans un match particulièrement ennuyeux et pauvres en actions d'éclat, les 2 équipes se sont longtemps neutralisées, avant que la ligne de ¾ clermontoises, notamment emmenée par le duo Abendanon-Lamerat et par un Nakaitaci, une fois de plus à la conclusion des actions de son équipe, ne finisse par faire la différence dans les 20 dernières minutes, pour crucifier une équipe de Toulon, très clairement en fin de cycle et qui s'incline au final de 20 points, sur le score de 20 à 9 :

Le RCT déjà en difficulté en championnat, va devoir se remobiliser et trouver des ressources insoupçonnées jusqu'à présent pour éviter de terminer par une nouvelle saison blanche. De son côté Clermont est désormais le grand favori de cette épreuve et devra en découdre en ½ finale avec les irlandais du Leinster, facile vainqueur des Wasps, 32 à 17, avec 4 essais inscrits contre 2 aux anglais. Autre équipe française en lice ce week-end, le Stade Toulousain a lourdement chuté face au redoutable Munster, sur le score sans appel de 41 à 16. A l'instar des toulonnais, les toulousains, également en difficulté en Top 14, attendent cette fin de saison avec impatience pour repartir sur un nouveau cycle et effacer une nouvelle saison difficile. Surclassés dés le début de la rencontre par des irlandais survoltés, les rouges et noirs, malgré un sursaut en début de 2nde période, n'ont jamais pu prendre la mesure d'une équipe largement supérieure et qui conclut la rencontre avec 4 essais inscrits contre 1 seul côté tricolore, par Paul Perez, l'ailier Samoan. Clermont sera donc bien le dernier représentant français d'une compétition, qui sourit de moins en moins aux équipes du Top 14, et sera également accompagné par les habituels Saracens, vainqueur l'an dernier et tombeurs faciles des écossais du Glasgow Warriors, qui se sont inclinés 38 à 13 en Angleterre. Au prochain tour, les tenants du titre devront se rendre en Irlande pour affronter le Munster, dans un match, qui sent déjà la poudre. Pour conclure cette page rugby, un mot de Challenge Cup, où les clubs français ont brillé avec notamment le Stade Rochelais, qui confirme ses bonnes dispositions en Top 14, en signant l'exploit de battre Edinburgh sur ses terres, 32 à 22, mais surtout le Stade Français, en grande difficulté financière et empêtré dans ses histoires de repreneurs et de fusion avortée avec le Racing 32, et qui reprend un grand bol d'oxygène sur les terrains en s'imposant brillamment sur la pelouse des Ospreys et gagner ainsi le droit de disputer une ½ finale à domicile face aux anglais de Bath, vainqueurs 34 à 20 de Brive, qui n'a pas réussi d'exploit ce week-end et pourra se concentrer sur le Top 14. L'autre ½ finale verra également un duel franco-anglais puisque les rochelais recevront en Charente Gloucester, tombeur de Cardiff 46 à 26.

 

En NBA, les Cavs, malgré 2 succès consécutifs face à Philadelphie et Indiana, n'est plus leader de la conférence Est et devra désormais compter sur un faux pas des Celtics de Boston, qui possède 1 victoire de plus que les coéquipiers de Lebron James (avec, certes, 1 match en plus) pour avoir l'avantage du terrain pendant les play-offs de la conférence Est. Cependant, à 5 matchs du terme de la saison régulière, le suspense dans cette conférence se joue pour les 4 dernières places qualificatives pour les phases finales, avec 7 équipes, Milwaukee, Atlanta, Chicago, Miami, Indiana, Charlotte et Detroit, qui se tiennent en 5 matchs. A l'Ouest, beaucoup moins de suspense, notamment en haut du classement, où Golden State, un temps menacé par les Spurs de Tony Parker, a enchainé 11 victoires consécutives, dont une à San Antonio, pour reprendre le large avec les Texans et compter 4 victoires d'avance, qui devrait permettre aux californiens d'aborder les phases finales avec l'avantage du terrain. Contrairement à la conférence Est, les dernières places pour les play-offs à l'Ouest sont beaucoup moins disputés, avec seulement 3 franchises, Memphis, Portland et Denver, qui luttent pour les 2 derniers billets. Mais en cette fin de saison, l'actualité outre-Atlantique ne se concentre pas uniquement sur l'approche des play-offs. En effet, après une saison remarquable et un titre de MVP, qui lui tend évidemment les bras, malgré les performances incroyables de James Harden, le génial meneur d'OKC, Russell Westbrook est en passe de réaliser un double exploit totalement surréaliste et que d'aucun pensait impossible. Tout d'abord en signant son 40ème triple-double de la saison face aux Hornets de Charlotte, le meneur n'est plus qu'à une longueur du record mythique d'Oscar Robertson et ses 41 triples-doubles en 1961-1962 :

Il lui reste donc encore 8 matchs et autant de possibilités pour battre ce record vieux de 55 ans et réussir l'exploit de signer plus d'1 triple-double tous les 2 matchs. Enfin, avec 31.9 points, 10.4 passes décisives et 10.7 rebonds par matchs, Russell Westbrook est également en passe de réussir à terminer la saison en triple-double de moyenne, exploit également réalisé par Big « O » en 1961-62. Pour cela, il ne lui manque que 7 rebonds et 30 passes décisives sur ses 8 derniers matchs. Autant dire une formalité pour un joueur qui en compte déjà près de 800 en 76 rencontres.

 

En Cyclisme, le belge Philippe Gilbert a brillamment remporté le 4ème Monument de sa carrière en s'imposant lors du 101ème Tour des Flandres de l'Histoire. Ancien grand spécialiste des ardennaises, le champions Wallon s'est désormais fait une spécialité des flandriennes et a su déjouer une partie des pronostics en dominant notamment Greg Van Avermaet et surtout le champion du monde en titre, Peter Sagan, grand favori de l'épreuve, victime d'une chute à 18 kilomètres de l'arrivée. Parti tout seul à 55 kilomètres du terme, le champion de Belgique en titre, de 34 ans, a livré un impressionnant récital d'effort solitaire pour remporter son 1er Ronde. Absent de cette épreuve depuis 2012 en raison des choix de son ancienne équipe BMC, le désormais leader de la formation Quick-Step dans les classiques, a profité du formidable travail de ses coéquipiers, notamment Tom Boonen, victime de problèmes mécaniques et qui participait à son dernier Ronde, qu'il a remporté à 3 reprises, et Matteo Trentin pour prendre la mesure d'une course, qui voyait enfin le grand retour du Mur de Grammont, lieu de tous les exploits passés et bourreau d'un Peter Sagan, qui a chuté lors de l'ascension du célèbre « Kapelmuur ». Philippe Gilbert, qui s'est permis de passer la ligne vélo en main à Audenarde, désormais détenteur de 4 monuments, à savoir Liège-Bastogne-Liège en 2011, le Tour de Lombardie en 2009 et 2010 et donc le Tour des Flandres 2017, rêve maintenant de remporter les 2 derniers Monuments, qui manquent à son incroyable palmarès : Paris –Roubaix (dès la semaine prochaine) et Milan San Remo, dés l'an prochain :

A noter dans cette course, la belle 9ème place du français Sylvain Chavanel, à seulement 52 secondes de Gilbert, qui confirme, s'il en était besoin, la bonne santé du cyclisme tricolore.

 

Une fois n'est pas coutume, un mot de Patinage Artistique pour conclure cette chronique, avec les championnats du monde qui se sont déroulés du 29 mars au 02 avril à Helsinki en Finlande. Ches les hommes, ce sont les japonais, qui ont dominé les débats, avec le doublé pour Yuzuru Hanyu, sacré champion du monde devant son compatriote et grande révélation de cette compétition, Shoma Uno, 19 ans. Au passage, le japonais, déjà champion du monde en 2014 et champion olympique en titre, a battu le record du monde du programme libre pour remonter les 11 points de retard, qu'il comptait sur le vainqueur du programme court, l'espagnol Javier Fernandez, qui échoue au pied du podium, devancé par le surprenant chinois Jin Boyang, âgé également de 19 ans, comme Uno. Grosse déception de ces championnats, la star US montante Nathan chen a bien tenté de passer 6 quadruples sauts (contre 4 à tous ses concurrents) mais ses 2 chutes le font échouer à la 6ème place, derrière le revenant canadien, Patrick Chan, triple champion du monde entre 2011 et 2013. Chez les femmes, la russe Evgenia Medvedeva est entré dans l'histoire de son sport, en devenant la 1ère patineuse depuis 2011 et Michelle Kwan, à conserver son titre mondial. Dans une compétition marquée par de nombreuses chutes, notamment de ses coéquipières Sotskova et Pogorilaya, respectivement 8ème et 13ème. Avec également les expérimentées Kostner, finalement 6ème et Wagner, également en retrait, ce sont les surprenantes canadiennes Osmond et Daleman, qui accompagnent Medvedeva sur le podium pour la 1ère fois de leurs carrières. Dans l'épreuve Couples, ce sont les chinois Wenjing et Cong, qui s'imposent enfin après 2 titres de vice-champions du monde ces 2 dernières années et devancent les allemands Savchenko et Massot (qui patinait pour la France jusqu'en 2014) et les russes, champions d'Europe en titre, Tarasova-Morozov. Les français Vanessa James et Morgan Ciprès se sont contentés de la 8ème place. Enfin en couple, les français Papadakis-Cizeron sont passés très prés de l'exploit. Après un programme court, qui les a vu largement distancés par les futurs champions du monde Virtue-Moir, qui remportent ainsi leur 3ème titre, les tricolores ont largement remporté le programme libre pour échouer à 2 petits points de leurs adversaires. Malgré cette médaille d'argent, un peu amère, le couple français peut raisonnablement entretenir l'espoir d'un résultat plus favorable lors de prochains JO de 2018 à Pyeongchang :

 

 

 

Sportivement,

L'équipe Sportive de weekly.fr

 

@Passion_Sport 

Et vous, quel est votre avis ? Exprimez-vous ! Réagissez à cet article.


Suivez-nous

Les auteurs

";