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Sport

L’essentiel de l’actualité sportive du 17 au 23 octobre 2015

La victoire des bleus à l’Euro 2015 de volley, la déroute attendue mais sévère du XV de France face aux blacks et les autres qualifiés pour les ½ finales de la coupe du monde de rugby, la reprise des championnats européens de football après les qualifications pour l’Euro 2016, mais aussi le basket, le tennis, le hand-ball, le hockey, bref toute l’actualité sportive de la semaine écoulée …

L’événement de cette semaine sportive, c’est l’équipe de France. Celle qui gagne, à savoir l’équipe de France de Volley. A l’heure où le foot et le rugby accapare l’actualité sportive, l’équipe de France de Volley, dans un certain anonymat, prouve que les français savent aussi gagner. Favoris au départ de cette compétition après leur brillante victoire cet été lors de la ligue mondiale, les joueurs de Laurent Tillie, ex joueur de cette équipe, ont répondu présent de la plus belle des manières. Invaincus lors de cette compétition, les tricolores ont successivement battu les bulgares, pourtant redoutables à domicile en ½ finale, avant d’éviter le piège des surprenants slovènes en finale. Ils deviennent ainsi la 1ère équipe à réaliser le doublé ligue mondiale – euro et trône désormais fièrement sur le toit de l’Europe du volley-ball en attendant les jeux olympiques de Rio l’an prochain, pendant lesquels ils seront, à n’en pas douter, les principaux outsiders des favoris brésiliens, qui, à domicile, seront difficile à battre. A l’image de cette incroyable balle de match, conclue par le leader d’attaque de l’équipe, Earvin N’Gapeth :

, la génération dorée du volley français a aujourd’hui toutes les cartes en main pour rejoindre dans l’histoire, d’autres grandes sélections françaises, comme celle du hand ou du basket. Réponse dans les années à venir …

Après la France qui gagne, passons tout naturellement à la France qui perd. Je veux bien évidemment parler du Rugby et de cette coupe du monde 2015, qui se termine en eau de boudin pour notre XV tricolore. Et pourtant durant toute la semaine, chacun, joueurs, staff, observateurs, supporters, a cherché des raisons d’y croire. Que ce soient les victoires en 1999 ou en 2007 contre ces mêmes blacks (et même la défaite en finale en 2011) ou encore les vertus de combat et de vaillance que nos joueurs n’allaient pas manquer de retrouver pour ce ¼ de finale, qui s’annonçait explosif. Mais rien n’y a fait, les bleus ne faisaient tout simplement pas le poids face à ce raz de marée noir qui les a littéralement submergé. Jamais encore, le rugby français n’avait subi une telle déroute à ce niveau de la compétition en coupe du monde et à la fin du match, on ne parlait plus d’espoir mais plutôt de correction, de leçon de rugby et de déroute individuelle et collective. Alors, oui, les Blacks nous étaient largement supérieurs et l’ont démontré en restant sérieux et appliqués tout au long du match même lorsque celui-ci étaient déjà gagné et au final cela donne 9 essais à 1 et un score sans appel de 62 à 13 (

et
) ! Désormais il parait essentiel de tirer les leçons de cette défaite et de ne surtout pas l’oublier. Elle doit servir de référence pour le futur et le nouveau sélectionneur (à qui l’on souhaite bin du courage !) doit impérativement s’appuyer sur les erreurs du passé pour corriger le tir car le mal ne date pas d’aujourd’hui. Depuis 2011, la France n’a rien démontré sur la scène internationale, que ce soit lors des tournois des 6 nations ou lors des tests matchs, alors que toutes les grandes nations du rugby ont su évoluer vers un jeu moins combatif et plus créatif. Lorsque l’on voit les avants Blacks réaliser facilement chisteras, franchissements et passes après contact alors que nos arrières n’y parviennent pas, il est simple de trouver la cause de tous nos maux. D’ailleurs nombre de spécialistes ont depuis dimanche pointé du doigt, le championnat français, le fameux Top 14,, pourtant le meilleur du monde, mais qui se résume finalement à des combats de tranchées et à une maison de retraites pour anciens internationaux néo-zélandais, australiens ou africains du sud. Après les critiques, les solutions : clairement pointé du doigt, le rythme du top 14 est beaucoup trop intense pour promouvoir le jeu et toutes les équipes ne sont pas au même niveau, ce qui incite naturellement les clubs les moins prestigieux à se défendre avec leurs armes : la conquête et le combat au détriment, trop souvent, du jeu. Réduire le top 14 à un top 12 pourrait donc être une solution. Ensuite, il faut évidemment promouvoir la formation française au détriment des stars internationales vieillissantes, qui, certes, font le spectacle et donc génèrent des droits télé faramineux mais empêchent les espoirs français de s’épanouir et de gagner en expérience. Enfin, je dirais qu’il est impératif de redonner la priorité à la sélection et de protéger, encore plus, les internationaux, de les réunir plus souvent, de diminuer leurs rythmes de matchs et de créer une véritable cohésion de groupe autour de ces joueurs. Bref, les solutions ne manquent pas. Reste à savoir celles qui seront appliquées et celles qui resteront au placard jusqu’à la prochaine déroute de notre XV tricolore.

Les autres ¼ de finales de cette coupe du monde, particulièrement spectaculaire, ont vu l’hémisphère sud prendre le dessus sur l’hémisphère nord. Et pourtant gallois et écossais ont superbement résisté aux favoris sud-africains et australiens, prouvant ainsi que l’écart n’est peut-être pas si grand qu’il n’y parait. Les écossais, notamment, auraient pu (dû) écarter les wallabies, si l’arbitre du match n’avait pas accordé, à tort, une pénalité à la dernière minute aux australiens, leur offrant ainsi la victoire. A sa décharge, il lui aurait fallu plusieurs ralentis pour constater son erreur, alors que cette action ne justifiait pas l’usage de la vidéo et qu’il a du prendre sa décision en quelques secondes. Point à souligner, les écossais sont entrainés par un manager néo-zélandais : encore une piste d’amélioration pour notre XV tricolore ? Reste que le ¼ de finale le plus symptomatique de cette prise de pouvoir du sud sur le nord est celui qui a opposé argentins et irlandais. Favorite avant le match, l’équipe d’Irlande a tout simplement subi la loi d’une équipe d’Argentine, incroyablement joueuse et talentueuse, qui n’est pas sans rappeler celle des All-Blacks. A l’instar des néo-zélandais, les avants Pumas sont désormais capables de gestes dignes des meilleurs arrières et dynamisent un jeu porté sur l’offensive. Dopé par leur participation au Rugby Championship depuis plusieurs années, les argentins font désormais partie intégrante de l’élite du rugby mondial et la présence l’an prochain d’une province argentine dans le Super 15 devrait encore accentuer cette tendance : il faut désormais compter avec les Pumas sur le grand échiquier du rugby mondial. Ainsi les ½ finales de cette coupe du monde ressembleront au Rugby Championship avec des duels opposant les Pumas aux Wallabies et les Blacks aux Springboks.

L’intermède coupe du monde terminé, évoquons désormais le tant décrié Top 14. Avant de parler des rencontres de ce week-end, commençons par les réactions aux critiques portées au championnat français après la déroute des bleus. Elles n’ont pas tardées et comme on pouvait le penser, elles rejettent la faute sur le staff des tricolores, que ce soient les présidents de club comme Mourad Boudjellal :

Ou les dirigeants des principales instances :

Au-delà de ces querelles de chiffonniers, le plus important reste que chacun semble avoir pris conscience de l’ampleur des dégâts et de l’importance du chantier à mener. Reste désormais à trouver des solutions, qui conviennent à tous … Revenons désormais aux matchs de ce week-end, qui ont notamment vu Toulon, qui souffre toujours autant de l’absence de ses stars internationales, concéder, à Brive, une 3ème défaite cette saison au bout de seulement 5 journées. Malgré tout le RCT peut se consoler avec le bonus défensif et le retour attendu de ces internationaux français. Par contre, les varois devront faire sans l’une de leurs recrues stars de l’été, l’irlandais Paul O’Connell, qui s’est blessé face aux français. L’ASM, lui, n’a pas les mêmes soucis que son homologue toulonnais. Egalement privé de nombreux internationaux, le club auvergnat, toujours invaincu cette saison, caracole malgré tout en tête du championnat, comme en témoigne cette 4ème victoire et ce 4ème bonus offensif, face à Pau dans son antre de Marcel Michelin. Dans les autres matchs, signalons le renouveau qui se confirme de Montpellier, qui s’impose brillamment à Grenoble. Le Racing Métro, qui attend lui aussi le retour de son lot de mondialistes, s’impose également à l’extérieur sur les terres de l’équipe surprise de l’an dernier, Oyonnax, qui végète cette saison en fond de classement en compagnie des promus agenais et Rochelais, qui devront lutter toute la saison pour éviter de faire l’ascenseur vers la Pro D2.

En Football, les grands championnats européens ont repris leurs droits après les qualifications pour l’Euro, qui ont notamment vu l’élimination des Pays-Bas, ½ finalistes de la dernière coupe du monde, se confirmer et un duel Suède-Danemark se profiler en barrages. Ainsi en Ligue 1, le PSG continue sa promenade de santé, en s’imposant non sans difficulté à Bastia, avec, il est vrai, une équipe largement remaniée en vue du match face au Real. Une fois de plus, le club francilien s’en est remis à sa star, Zlatan Ibrahimovic, qui, bien que sur la pente descendante cette saison, continue de faire la loi sur les terrains de l’hexagone. Avec un nouveau doublé, le buteur suédois conforte un peu plus sa place de meilleur buteur de l’histoire du club parisien. A contrario, l’Olympique de Marseille continue, lui, de décevoir. Avec un nouveau match nul à domicile face à une équipe de milieu de classement, Lorient, les olympiens stagnent en fond de classement de la Ligue 1 et, à ce rythme, auront beaucoup de mal à atteindre leurs objectifs en fin de saison. Malgré un nouveau but de leur buteur belge Michy Basthuayi et une nouvelle performance de haut vol du revenant, Lass Diarra, les phocéens doivent se contenter d’un nul 1 partout, la faute à une équipe bretonne accrocheuse et volontaire et à un manque cruel d’efficacité. Avec cette nouvelle contre performance, l’OM reste sur une série de 5 matchs sans victoire en Ligue 1 et n’a plus gagné depuis le 13 septembre. De son côté, l’OL doit se contenter d’un bon match nul à Monaco, qui ne satisfait pourtant aucune des 2 équipes, qui ne parviennent pas à se rapprocher du podium et concèdent de nouveaux points sur un PSG, dont la route vers le titre se dégage un peu plus à chaque journée. Un podium, toujours occupé par les surprenantes équipes angevine et caennaise, qui continuent d’engranger de précieux points et devraient rapidement revoir leur objectif de maintien à la hausse. Dans la bas du classement, seul Nantes s’est imposé pour reprendre un peu d’oxygène et reprendre un peu de marge sur les actuels relégables, Montpellier, Troyes et Ajaccio. Enfin, l’étonnante équipe de Nice continue de séduire. Emmenée par un Hatem Ben Arfa, de retour à son meilleur niveau et qui semble avoir bien retenu les conseils du sélectionneur, Didier Deschamps, de confirmer ses prestations, les aiglons ont balayé une équipe rennaise, totalement dépassée par l’enthousiasme et le niveau de jeu des hommes de Claude Puel :

. Longtemps considéré comme une équipe défensive et ennuyeuse, l’équipe sudiste est aujourd’hui la meilleure attaque d’Europe et, avec un match en retard à domicile pourrait rapidement prendre place sur le podium de la Ligue 1. Quant à l’ancien joueur lyonnais et marseillais, Ben Arfa, qui a traversé tant de péripéties depuis son départ de la canebière, on voit mal comment l’Euro 2016 pourrait se dérouler sans lui …

En Angleterre, les 3 leaders, à savoir les 2 clubs de Manchester et Arsenal, se sont imposés largement et confortent ainsi leurs places sur le podium. Manchester United s’est notamment imposé à Goodison Park 3 à 0, face à une équipe d’Everton, pourtant difficile à battre dans son antre. Avec un Anthony Martial, toujours titulaire et un Morgan Schneiderlin, buteur, les mancuniens retrouvent des couleurs cette saison sous la houlette d’un Louis Van Gaal, qui semble avoir enfin trouvé les clés de cette équipe. De son côté, Chelsea est sorti de son marasme de début de saison, pour renouer enfin avec une victoire qui les fuyait depuis 3 matchs. Les Blues restent cependant toujours dans le ventre mou de la Premier League, à 10 points du leader, Manchester City, dont l’attaque affole toujours les compteurs, avec 24 buts marqués, soit autant que Nice, en Ligue 1.

En Espagne, le Real Madrid, facile vainqueur à domicile de Levante sur le score de 3 à 0, avec un nouveau but de Cristiano Ronaldo, qui lui permet de devenir seul le meilleur buteur de l’histoire de la maison blanche, et le Barca, toujours privé de Messi, mais avec un Neymar en feu, auteur d’un quadruplé (, qui permet aux blaugrana de s’imposer 5 buts à 2 face à Vallecano, ont repris les commandes de la Liga en profitant de la défaite à domicile de l’ex-leader, Villareal, face au Celta Vigo. Au passage l’autre club surprise de ce début de saison en Espagne en profite également pour dépasser son adversaire du jour et partager la tête du championnat avec les deux ogres de cette Liga.

En Allemagne, le Bayern Munich, qui semble entrevoir un retour prochain de Franck Ribéry, enchaine une 9ème victoire consécutive en Bundesliga et conforte sa place de leader, qu’il ne devrait plus perdre jusqu’à la fin de la saison. La dernière victime de l’ogre bavarois se nomme le Werder Brême qui s’incline à domicile sur la plus petite des marges : 1 à 0. Le Borussia Dortmund, de son côté, renoue avec la victoire, après la déroute d’il y a quinze jours à l’Allianz Arena, et s’impose 2 buts à 0 Mayence, pour tenter de maintenir un semblant de suspense dans ce championnat allemand. Mais avec déjà 7 points de retard sur les munichois, la route des hommes en jaune jusqu’à un hypothétique titre semble déjà compromis.

Enfin en Italie, la Juventus de Turin ne parvient toujours pas à décoller et doit, cette fois-ci, se contenter d’un match nul face à un rival historique, l’Inter de Milan. Certes ce résultat n’est pas catastrophique en soit pour la vieille dame, mais au final, les turinois ne parviennent pas à recoller aux équipes du haut de tableau et à profiter de la défaite du leader florentin à Naples sur le score de buts à 1. Au contraire de l’AS Rome du français Rudy Garcia, qui en s’imposant 3 buts à 1 face à Empoli, revient à un petit point de la Fiorentina, toujours leader de ce Calcio, qui semble déjà plus indécis que les saisons passées.

Cette semaine était également consacrée aux compétitions européennes, dont la plus prestigieuse d’entre elles : la Ligue des Champions. Les 2 clubs français ont connu des sorts bien différents. Tandis que le PSG, qui retrouvait pour l’occasion son équipe type, est parvenu à contenir, au Parc des Princes, une équipe du Real fortement amoindrie (privé notamment de Bale, Benzema, Rodrigues, absents et de Modric, seulement remplaçant) sur un score nul et vierge étonnant pour ces 2 équipes habituées à marquer en Ligue des Champions, l’Olympique Lyonnais a probablement hypothéquer ses dernières chances de qualification en s’inclinant sur la pelouse d’une équipe du Zénith Saint Pétersbourg, qui même si elle ne parvient pas à justifier ses importants investissements, reste redoutable, notamment grâce à ses individualités, comme en témoigne ce but du brésilien Hulk :

. Avec 1 seul point au compteur en 3 journées, les gones auront beaucoup de mal à franchir cette phase de poules, au contraire des Parisiens, qui lutteront à Bernabeu pour la première place de leur poule. Mais pour cela, il faudra que leurs stars, Ibrahimovic, Di Maria et Cavani, pour ne citer qu'eux, produisent un match d'un tout autre calibre que celui livré cette semaine, car une fois de plus lors des grands rendez-vous du club parisien sur la scéne européenne, elles n'ont pas répondu présent, notamment Zlatan, qui a considérablement ralenti le jeu de son équipe et manqué de présence devant le but. Dans les autres rencontres, signalons la belle victoire d’Arsenal face à une équipe du Bayern, qui ne devrait surement pas perdre beaucoup de rencontres cette saison. Espérons pour les Gunners d’Arsène Wenger, que ce succès ne sera pas pour eux un énième feu de paille et qu’il sera suivi d’une campagne européenne, digne de leur standing. Les autres clubs anglais, n’ont pas tous connu le même sort. Si Manchester City s’est également imposé face à Séville, United et Chelsea ont du se contenter d’un nul respectivement face à Moscou et Kiev. Dans les autres rencontres, les principaux favoris de la compétition, Barcelone, l’Athletico ou encore Porto, se sont tous imposés, à l’exception de la Juventus de Turin, qui comme en championnat, peine à retrouver son rythme de l’an dernier et concède un nul peu flatteur à domicile face à Mönchengladbach.

En Europa League, rien ne va plus pour l’OM, qui s’incline cette fois à Braga après sa défaite à domicile face à Prague. La victoire inaugurale à Groningen est déjà loin pour les marseillais et leur avenir européen, à l’instar de celui en Ligue 1, s’obscurcit un peu plus à chaque journée. La situation est pire encore pour les girondins de Bordeaux, qui n’ont, eux, toujours pas gagné le moindre match dans cette compétition et qui s’incline à domicile face à la modeste équipe de Sion. Heureusement pour nos clubs français et pour notre indice UEFA, Saint-Etienne et Monaco se sont tous deux imposés 1 à 0 respectivement à Dnipropetrovsk et face à Karabakh.

Dans le reste de l’actualité sportive, signalons la belle performance de Jo-Wilfrid Tsonga, qui atteint la finale du Masters 1000 de Shanghai mais doit s’incline face au maitre Novak Djokovic, qui continue sa démonstration cette saison. Au-delà de la domination sans partage du serbe, ce tournoi fut l’occasion du retour sur le devant de la scène de Rafael Nadal, battu en ½ finale par Tsonga et de l’essoufflement de Roger Federer, battu dès le second tour.

En handball, le PSG, à l’instar de son homologue en football, continue de dominer largement la LNH. Probablement échaudé par les difficultés rencontrés en championnat ces dernières saisons, les franciliens ont décidé de démarrer tambour battant et d’annihiler rapidement toute volonté de ses adversaires de contester sa supériorité. Avec déjà 7 victoires en autant de matchs disputés cette saison, la voie vers le titre est déjà toute tracée pour les hommes de Philippe Gardent, d’autant plus que Montpellier, son principal rival, s’est incliné le week-end dernier à Nîmes.

En basket, en Pro A, Limoges et Strasbourg confirment leurs statuts de favoris de la saison en s’imposant pour la 3ème fois de la saison en 4 journées, respectivement face à Dijon (sur le score sans appel de 82 à 48 !) et à Pau-Orthez. Le 3ème membre du trio initial de favoris, Nanterre, concède, quant lui, sa seconde défaite consécutive, à domicile face à Gravelines, après pourtant deux victoires inaugurales.

En ski, alors que la saison débute ce week-end, la double tenante du titre du gros globe de la compétition, la suissesse Anna Fenninger est déjà forfait pour toute l’année après une chute spectaculaire qui lui a entrainé une rupture des ligaments croisés du genou.

Pour conclure, un mot de NHL où après 7 journées de disputées, seuls les Canadiens de Montréal sont toujours invaincus, tandis qu’à l’inverse les Blue Jackets de Colombus n’ont toujours pas remporté le moindre match. Quant aux favoris de la saison et tenant du titre, les Blackhawks de Chicago, leurs débuts sont mitigés avec 3 victoires pour autant de défaites. Cependant la saison de hockey nord-américaine est très longue et la vérité du début de saison est rarement celle de la Stanley Cup.

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