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Sport

L’essentiel de l’actualité sportive du 20 au 26 juin 2015

Malgré l'été et une actualité au ralenti, le sport ne s'arrête pas. l'US Open de Golf, le dernier grand prix de Formule 1 en Autriche, la coupe du monde féminine de football au Canada, la Copa America au Chili, le début du Mercato en Europe, mais aussi la draft NBA, les tournois de préparation à Wimbledon, la coupe du monde de Rugby qui approche, la ligue mondiale de volley, les championnats d'Europe par équipe d'athlétisme et pour finir la énième candidature de Paris à l'organisation de JO, cette fois-ci pour l'édition 2024.

L’exploit de la semaine revient à Jordan Spieth. En remportant l’US Open ce week-end, le jeune prodige du golf américain est devenu le plus jeune vainqueur de deux tournois majeurs consécutifs depuis Gene Sarazen en 1922. Il devient également à bientôt 22 ans le plus jeune vainqueur de l’US Open depuis 1923 et la victoire d’un certain Bobby Jones (qui dessinera plus tard le parcours d’Augusta). Et pourtant sa victoire fût plus compliquée qu’elle n’y parait. Alors qu’il dominait le tournoi, comme quelques mois plus tôt en Géorgie, le jeune texan a montré ses premiers signes de fébrilité en concédant un double bogey sur l’avant dernier trou. Heureusement pour lui, son compatriote et principal adversaire n’a pas su profiter de ce cadeau en ratant deux putts sur le dernier trou pour finir avec un par alors que Spieth concluait avec un dernier birdie lui offrant la victoire (

). Avec cette seconde victoire en majeur en 2015, il entre également dans un cercle très fermé de double vainqueur en majeur dans la même année, qui ne comprend que 6 joueurs dont le dernier est un certain Tiger Woods en 2002. Tiger Woods, justement, qui après avoir signé sa plus mauvaise carte de sa carrière il y a quelques semaines, a terminé le tournoi dès le vendredi soir sur un score de +16, son pire résultat sur 2 tours en majeur. Malgré sa volonté et son immense confiance en lui, il ne voit pas comment le tigre pourrait retrouver le niveau qui a fait de lui le meilleur joueur de l’histoire de ce sport. Il y a quelque temps, il avait annoncé à des journalistes, qu’il n’insisterait pas s’il se sentait incapable de retrouver son jeu. De là à imaginer un possible retrait des fairways de cet immense champion ? Bien loin de ces considérations, Jordan Spieth doit déjà se tourner vers son prochain objectif, le British Open à Saint Andrews, lui, qui a annoncé avoir axé sa préparation et son programme sur les majeurs. Ses futurs duels avec Rory McIlroy, autre phénomène de précocité et de maturité, promettent un avenir radieux à ce sport malheureusement sous-médiatisé, notamment en France.

Pour finir cette page US Open de Golf, signalons la belle performance du français Alexander Levy, qui tente de marcher dans les traces de Victor Dubuisson. Le jeune français (24 ans), malgré une carte finale difficile à 73 (+3) termine finalement 27ème pour son premier US Open. De bon augure pour la suite. Enfin comment ne pas évoquer le courage et l’abnégation dont a fait preuve Jason Day, l’australien de 27 ans, grand habitué des majeurs, qui termine le tournoi dans le par total à la 9ème place à égalité notamment avec Rory McIlroy. En effet le joueur a été victime d’un spectaculaire malaise à la fin du 2nd tour :

mais a refusé d’abdiquer et a finalement bouclé les deux tours restants dans un état, qui laissait craindre le pire pour le joueur. Une démonstration de courage et de volonté, comme seul le sport sait parfois les offrir et ce, malgré les millions de dollars que gagnent les joueurs.

En Formule 1, malgré un début de week-end quasi-parfait avec des séances d’essais parfaitement maitrisées et une qualification remportée brillamment, Lewis Hamilton a dû laisser la victoire à son coéquipier, Nico Rosberg. La faute à un départ bien mieux négociée par le pilote allemand, qui lui a permis de prendre la tête du grand prix dès le premier virage pour ne plus la quitter. A aucun moment des 71 tours de ce grand prix d’Autriche à Spielberg, on a senti le pilote anglais en mesure de venir contester la victoire à son meilleur ennemi, qui remporte ainsi la 11ème victoire de sa carrière, la 3ème de la saison et la seconde consécutive sur ce circuit, qu'il semble particulièrement apprécier. Le podium est complété par la Williams de Felipe Massa, qui a parfaitement su profiter d’un problème dans les stands de Sebastian Vettel pour lui subtiliser la 3ème place. Suivent ensuite le quadruple champion du monde allemand sur Ferrari, puis la seconde Williams du finlandais Valeri Bottas, qui parvient à devancer la surprenante Force India de Nico Hülkenberg. Malheureusement les Lotus ne sont pas parvenues à rééditer leurs bonnes performances du grand prix précédents avec une pâle 7ème place pour Maldonado et un abandon au 3ème tour pour Romain Grsojean. L’un des faits marquants de ce week-end reste le spectaculaire accident entre la Ferrari de Kimi Raïkkönen et la Mc Laren de Fernando Alonso :

. Heureusement les deux anciens champions du monde s’en sortent indemnes mais avec une belle frayeur surtout pour le pilote finlandais qui a vu la monoplace du pilote espagnol passer par-dessus la sienne. Au classement des pilotes, Rosberg reprend donc 7 points à son coéquipier anglais, qui le devance toujours de 10 points, tandis que Vettel conforte sa place sur le podium alors que Raïkkönen voit revenir les pilotes Williams, Bottas et Massa. Au classement constructeur, Mercedes, avec ce 5ème doublé en 8 grands prix conforte sa place de leader loin devant les Ferrari et les Williams. Prochain rendez-vous F1, le 5 juillet sur le grand prix de Silverstone.

En Rugby, le Top 14 terminé, tous les yeux sont désormais tourner vers la coupe du monde à venir en Angleterre. Même si la sélection de Philippe Saint-André divise les spécialistes comme les supporteurs, toute la France du rugby sera derrière le XV tricolore pour espérer un meilleur résultat que la dernière coupe du monde organisée sur le sol britannique (malgré une victoire héroïque face aux intouchables All-Blacks, les français s’étaient inclinés en finale face au génie d’un certain « sir » Jonny Wilkinson, qui a depuis fait les beaux jours du RCT). En attendant cet événement, les principaux clubs français affinent leurs effectifs pour affronter au mieux les joutes du Top 14 et des coupes d’Europe et contrairement au football, les clubs de l’hexagone ne manquent pas d’arguments pour convaincre les plus grandes stars de l’Ovalie. Pêle-mêle citons les arrivées de Scott Spedding et Hosea Gear à Clermont, d’Adam ASHLEY-COOPER à Bordeaux-Bègles, de Jannie, Bismarck et Jacques Du Plessis à Montpellier, de Will Genia au Stade Français, de Daniel Carter, le meilleur ouvreur du monde, au Racing ou encore de Paul O’Connell, Duane Vermeulen (nominé comme meilleur joueur 2014), Quade Cooper ou Ma’a Nonu (le puissant centre Black) au RCT. Avec une telle pléiade de nouvelles stars, le Top 14 promet encore d’être particulièrement alléchant l’an prochain et les clubs français devraient de nouveau briller dans les coupes d’Europe. Pour clore cette page Rugby, signalons l’échec de la fusion Bayonne-Biarritz, qui a coûté sa place de président du BO à Serge Blanco. Désavoué lors du vote du conseil d’administration de son club de cœur, l’ancien arrière du quinze de France et fervent supporter de la création du club basque unique, a été contraint de céder son poste devant l’échec de son projet. Espérons désormais que les deux clubs parviendront à survivre dans l’antichambre du top 14, malgré les difficultés financières auxquelles ils doivent faire face.

En Football, l’intersaison est évidemment marquée par les grands débuts du mercato et pour le moment, nous pouvons dire que les grandes manœuvres n’ont pas encore réellement commencé. Pour preuve, les clubs les plus actifs pour le moment sont les clubs italiens, pourtant peu à la fête ces dernières années sur le marché des transferts. Ainsi, grâce à l’arrivée de nouveaux actionnaires et à l’absence de coupe d’Europe, les deux clubs milanais ont, les premiers, commencé à nouer les premiers contacts, avec un net avantage pour l’Inter, qui enregistre notamment les arrivées des français Kondogbia et Imbula tandis que son rival le Milan AC a surtout essuyé des refus (Ibrahimovic, Witsel, Kondogbia) même si le club lombard pourrait enregistrer dans les prochaines heures l’arrivée du brillant attaquant de Porto, Jackson Martinez. Dans le reste de l’Europe, rien a signalé de notable pour le moment, même si les noms de Paul Pogba, Angel Di Maria ou Sergio Aguero affolent les plus grands clubs d’Europe. En France, le PSG n’a pour le moment pas bougé, non plus, freiné, il est vrai par les contraintes du fair-play financier, même s’il se murmure que le club aurait déjà tenté des approches sur Turan, Gundogan ou De Bruyne, qui se sont toutes soldées par des échecs. De son côté, l’OM continue l’opération dégraissage. Après les départs libres de Gignac (pour le club mexicain des Tigres), André Ayew pour Swansea et de Jérémy Morel pour Lyon, ce sont au tour de Giannelli Imbula (Inter Milan) et plus récemment de Dimitri Payet, le meilleur joueur olympien de la saison passée (West Ham) de quitter, eux aussi, le navire olympien. A ce rythme, on se demande à quoi ressemblera l’équipe olympienne en 2015-2016 et la colère commence à prendre de l’ampleur dans les rangs des exigeants supporters ciel et blanc. Comme l’OM, Monaco vend également massivement ses principaux joueurs, fair-play financier oblige, et s’oriente vers une politique de recrutement axée sur son centre de formation, à l’instar de l’OL ou de Lille.

Au niveau international, la coupe du monde féminine bat son plein au Canada et les françaises, malgré un statut de favori, ont concédé une défaite au premier tour, face aux colombiennes, qui ne les a pas empêchées de terminer en tête de leur groupe. Après un 1/8ème de finale maitrisé face aux coréennes, les filles de Philippe Bergeroo, retrouveront sur leur route une vieille connaissance, l’Allemagne, pour un ¼ de finale qui promet d’être explosif. Les autres rencontres verront s’affronter la Chine et les Etats-Unis (dont le vainqueur pourrait retrouver la France en ½), l’Australie et le Brésil et enfin l’Angleterre (adversaire de la France en poule) et le pays hôte, le Canada.

Ennuyeux comme une Copa America ! Plus au sud du Canada, se déroule la Copa America organisé par le Chili. Longtemps considéré comme l’un des plus spectaculaires, le football sud-américain atteint aujourd’hui des sommets de lassitude et d’ennui. La moyenne de buts marqués y est famélique et les matchs se décident généralement sur des coups du sort. Au final, le spectacle se situe plus dans les coups de sang des principales stars de cette compétition, avec notamment les expulsions de Neymar (

)

et du parisien Edinson Cavani (

) que sur les pelouses chiliennes. Actuellement, le Chili (qui a justement battu l’Urugay de Cavani en ¼) est la première équipe qualifiée pour les ½ finales. Elle y retrouvera le Pérou, qui n’a fait qu’une bouchée de la Bolivie, grâce à un triplé de son attaquant vedette, Guerrero. Les deux derniers ¼ de finale verront s’affronter le Brésil (privé de son maitre à jouer, Neymar) et le Paraguay, et enfin l’Argentine (qui a joué son 1er tour en marchant) et la Colombie de James Rodriguez, pour une revanche de la dernière coupe du monde. Espérons enfin un peu de suspense et surtout des buts.

Enfin, du côté de la FIFA, l’incertitude règne toujours suite à la démission de Sepp Blatter, mais aussi la peur, puisqu’il se murmure que le Suisse, fort des appuis des fédérations asiatiques et africaines, pourrait revenir sur sa décision de quitter son poste et donc conserver son siège de président. Espérons que ce ne sont que des rumeurs infondées et que les changements tant attendus auront bien lieu dans la puissante association qui gère le football au niveau mondial et qui a grand besoin d’un bon coup de balai dans son fonctionnement et dans les personnes qui la dirigent.

En Basket, l’actualité est marquée par le second titre consécutif du Cercle Saint Pierre de Limoges, qui s’est défait en finale du club de Strasbourg, emmené par le coach de l’équipe de France, Vincent Collet. Après avoir remporté la première manche de la finale, les joueurs de Philippe Hervé, arrivé sur lebanc en avril 2015, ont conclu par deux victoires à domicile pour s’imposer 3 à 1. Malgré une domination en saison régulière, les alsaciens auront donc une nouvelle fois cédé en finale, face aux mêmes limougeauds. Les deux clubs défendront les chances françaises en Euroligue l’an prochain.

Sur le plan international, l’actualité est marquée par l’euro basket féminin en Hongrie, qui voit les françaises briller. Après un premier tour parfait, ponctué par 4 victoires en autant de matchs et un second tour, qui les a vu s’incliner uniquement face aux turques, nos tricolores se sont défaites des russes en quart de finale pour rejoindre l’Espagne, favori de la compétition et habituel bourreau des garçons, en ½ finale. L’autre ½ finale verra s’affronter les serbes, tombeuses surprises des turques, et les biélorusses. La finale est prévue ce dimanche 28 juin.

En NBA, après la magnifique victoire des Warriors en finale, emmené par le revenant André Iguodala et le génial Stephen Curry, tous les yeux étaient braqués vers la draft 2015, qui a eu lieu ce jeudi. Au grand jeu du tirage au sort ce sont les Wolves du Minnesota, qui ont reçu le privilège du first pick et leur choix s’est porté sur le jeune pivot de 19 ans, Karl-Anthony Towns, issu de l’université de Kentucky (qui devient la 1ère de l’histoire à compter 3 premiers choix dans ses rangs après John Wall en 2010 et Anthony Davis en 2012). Minnesota compte désormais dans ses rangs les trois derniers premiers choix de la draft. Espérons que cela sera suffisant pour leur permettre de réussir une meilleure saison que l’an dernier et de rallier enfin les playoffs. Le second choix a été remporté par les Lakers de Los Angeles, qui ont réalisé l’une des pires saisons de leur histoire et qui se sont tournés vers le meneur d'Ohio State, D'Angelo Russell, qui tentera d’épauler Kobe Bryant et de ramener l’emblématique franchise vers les sommets de la NBA. Les autres principales informations de cette draft concernent les Knicks, qui ont choisi l’international letton de 20 ans, Kristaps Porzingis ou encore le Magic, qui a choisi un autre européen très attendu, le croate Mario Hezonja. Jahlil Okafor, choisi en 4ème position, rejoindra, lui, les Sixers de Philadelphie, tandis que le congolais Emmanuel Mudiay rejoint les Nuggets en 7ème position. Seul français inscrit à cette draft, Mouhammadou Jaiteh, le jeune pivot de Nanterre, n’a finalement pas trouvé preneur ni au premier, ni au second tour, malgré des essais globalement réussis. Attendu en fin de 1er tour voire au début de second, le tricolore n’a été choisi ni par les Pistons, qui semblait vouloir le sélectionner, ni par les Spurs, pourtant avides de joueurs français. Peut-être aura-t-il plus de chances l’an prochain à condition de réussir une belle saison avec son club et de se faire remarquer par les scouts NBA.

En Tennis, les tournois préparatifs à Wimbledon s’enchainent les uns après les autres. A ce petit jeu, Roger Federer a une nouvelle fois remporté le tournoi de Halle, véritable chasse gardée du champion suisse, puisqu’il y signe sa 8ème victoire, la 3ème consécutive en 10 finales jouées. Il remporte ainsi le 86ème trophée de sa carrière et se place en outsider avant le début de la quinzaine londonienne. Au Queen’s, autre célèbre tournoi de préparation sur gazon, c’est le numéro 3 mondial, l’écossais Andy Murray qui s’est imposé pour la 4ème fois de sa carrière, après avoir pourtant joué sa ½ finale contre Victor Troicki, puis la finale contre Kevin Anderson le même jour. A l’instar du champion suisse, le vainqueur de Wimbledon en 2013 sera, une nouvelle fois, difficile à battre sur ses terres. De son côté, le champion croate, Novak Djokovic, se contentera d’un tournoi exhibition de 5 jours à Stoke Poges dans le sud de l’Angleterre, comme seule préparation à un tournoi de grand chelem qu’il abordera une fois de plus dans la peau du grand favori. Espérons qu’il ne trouvera pas sur sa route un nouveau Stan Wawrinka. Enfin pour terminer cette page Tennis un mot sur les têtes de séries à Wimbledon, qui compteront 4 français (Tsonga, Simon, Monfils et Gasquet) et qui verront Nadal se contenter de la 10ème place (à savoir sa position actuelle au classement ATP) :

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En Volley-ball, l’actualité est dominée par le début de la ligue mondiale. Après 8 matchs joués, la France, qui a hérité d’un groupe à sa portée est toujours invaincue et entrevoit une qualification facile pour le prochain tour. Dans les autres groupes, le Brésil domine la Serbie et l’Italie, les Etats-Unis devancent d’une courte tête la Pologne, suivi également de près par l’Iran et la surprenante équipe Canadienne, domine largement la Bulgarie et l’Argentine, pourtant plus expérimentés à ce niveau de la compétition.

En Athlétisme, le week-end était consacré aux championnats d’Europe par équipe, qui avaient lieu en Russie. Emmenés notamment par un Renaud Lavillenie toujours impérial à la perche avec un saut à 6,85 m et un Christophe Lemaitre, vainqueur du 100m, les français ont pris leur revanche sur les polonais pour s’octroyer la dernière marche du podium. Comme l’an dernier ce sont les allemands et les russes qui se partagent les deux premières places, mais comme pour les français et les polonais, les russes, à domicile, ont pris leur revanche sur les allemands, qui les avaient privés d’un titre, qui leur appartenait depuis 2010. Depuis les débuts de la super ligue, regroupant femmes et hommes dans une même compétition, en 2009, seuls les allemands (à deux reprises en 2009 et 2014) et les russes (à 4 reprises de 2010 à 2012, puis en 2015) se sont imposés dans cette épreuve par équipe, qui voit donc les français monter sur le podium pour la première fois de leur histoire.

Enfin pour conclure cette chronique, un mot sur la candidature annoncée de Paris à l’organisation des Jeux Olympiques de 2024. Approuvée à une large majorité par le conseil de la ville (

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la candidature de la capitale française rejoint celles déjà déclarées de Boston, Rome et Hambourg. Pour mettre toutes les chances de son côté, Paris s’est octroyé les services de l’agence de marketing Mike Lee à Londres, qui a déjà permis à Londres, Rio et le Qatar de d’organiser respectivement les JO 2012, 2016 et la coupe du monde de football 2022, alors qu’ils n’étaient pas favoris. Espérons que cela suffira, car une nouvelle défaite (notamment après celle douloureuse de 2012) pourrait sonner définitivement le glas des ambitions parisiennes d’organiser une nouvelle fois le plus important événement sportif au monde, après plus de 90 ans d’abstinence.

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