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Sport

L’essentiel de l’actualité sportive du 13 au 19 juin 2016

L'exploit incroyables de Lebron James et de ses Cavs en finales NBA, l'Euro 2016, qui se poursuit avec la France, 1ère de son groupe, les ¼ de finales de la Copa America, la victoire (enfin) de Dustin Johnson dans un majeur à l'US Open, Les ½ finales du top 14 et le test-match de la France en Argentine, mais aussi les sports automobiles avec les 24 heures du Mans voiture et le Grand Prix de F1 à Baku, le Cyclisme et le tour de Suisse ou encore la Ligue Mondiale de Volley, bref une nouvelle semaine sportive riche en exploits et en émotion ...

L’événement de la semaine est bien évidemment le titre tant attendu du côté de « Forrest City » des Cavaliers de Cleveland. Emmenés par un Lebron James en mode MVP et par un Kyrie Irving en feu, les hommes de Tyronn Lue sont parvenus à réaliser l’impossible. Non seulement ils ont réussi à remporter une Finale NBA en remportant le 7ème match sur le terrain adverse mais ils deviennent également la 1ère équipe de l’histoire à remonter un déficit de 3 victoires à 1 à l’extérieur, en s’imposant 2 fois sur terrain adverse et face à l’une de meilleurs équipes de l’histoire, détentrice du record de victoires en saison régulière et tenante du titre. L’exploit des coéquipiers du « Choosen One » est à la hauteur des attentes des fans de Cleveland, ville maudite des Etats-Unis, qui attendaient un titre majeur depuis 1964 ! Dans ce 7ème match tant voulu par la NBA (les plus critiques pourront reprocher à l’instance dirigeante du basket professionnel américain la suspension de Draymond Green lors du 5ème match, qui a probablement facilité le retour des Cavs dans cette finale), les 2 équipes se rendaient coups pour coups et aucune ne parvenaient à faire un écart, jusqu’à la mi-temps, que les Warriors concluaient avec 7 points d’avance. Mais dés le retour des vestiaires les Cavs revenaient rapidement sur les talons des californiens, sous la houlette d’un JR Smith, auteur de 2 tirs primés consécutifs. Dés lors, dans un match devenu irrespirable, les 2 équipes ne se lâchaient plus, portées d’un côté par le duo Lebron James – Kyrie Irving, auteur pour le 1er d’un triple double et pour le second de 26 points et de l’autre par un Draymond Green de Gala, meilleur marqueur du match avec 32 points, auxquels s’ajoutent 15 rebonds et 9 passes. Il fallait donc attendre la dernière minute et un tir primé génial de Kyrie Irving, suivi d’un lancer-franc du « King » pour voir les Cavs prendre définitivement un avantage de 4 points sur leur adversaire. Le score ne bougeait plus malgré une dernière tentative désespérée d’un Stephen Curry, encore une fois trop discret sur un match aussi décisif, tout comme son compère Clay Thompson. Dés lors, Lebron James, leader sur l’ensemble de la finale dans toutes les catégories statistiques (29.7 pts, 11.3 rbds, 8.9 pds, 2.3 contres et 2.6 interceptions) et logiquement élu MVP de cette finale, pouvait laisser exploser sa joie et couler ses larmes de bonheur sur le parquet des Warriors :

Le « King » a réussi son pari de ramener un titre majeur dans sa ville de cœur et toutes les critiques qu’il a subies depuis le début de sa carrière sur les « décisions », qu’il a prises, n’y changeront rien : Lebron James est enfin sur le toit de la NBA avec sa ville de Cleveland et personne n’y trouvera rien à redire !

A l’Euro 2016, après deux succès difficiles, arrachés dans les derniers instants, la France était assurée de sa qualification en 1/8ème de finale. Ce dernier match contre la Suisse était donc l’occasion pour le sélectionneur Didier Deschamps de faire souffler une partie des titulaires et de donner un peu de temps de jeu et d’impliquer les remplaçants. Ainsi la composition de départ tricolore comprenait André-Pierre Gignac à la pointe de l’attaque ou encore Johann Cabaye et Moussa Sissoko au milieu de terrain avec un Paul Pogba, en quête de confiance et de rachat, après l'affaire du bras d'honneur. Mais comme pour contredire le dicton « jamais deux sans trois », les bleus ont cette fois, dû se contenter d’un match nul 0-0 face à la Nati, qui leur assure tout de même la 1ère place. Et pourtant le public y a cru, lorsque Dimitri Payet entré en jeu en cours de match, s’est saisi du ballon pour frapper un coup franc à la 87ème minute mais il était surement écrit que le scénario des 2 premiers matchs ne se répéterait pas lors de ce 3ème opus. La faute aussi à une équipe suisse intelligente et parfaitement organisée, qui a su priver les bleus de ballons (58% de possession pour la Nati) et les obliger à défendre et jouer en contre. Cela aurait pu fonctionner avec un peu plus de réussite puisque les tricolores ont touché 3 fois les montants suisse, notamment par Paul Pogba en 1ère mi-temps et Dimitri Payet à un quart d’heure de la fin :

Qu’importe les bleus sont qualifiés en tête de leur poule et peuvent attendre sereinement leur adversaire, qui sera le meilleur 3èmes des poules C, D ou E. Dans l’autre match de la poule, l’Albanie a créé la sensation en disposant, sur le score de 1 but à 0, de la Roumanie, qui est donc éliminée de la compétition, tandis que les albanais doivent encore attendre pour savoir s’ils figureront parmi les meilleurs troisièmes des poules A, B ou F.

Dans les autres groupes, l’Angleterre, après son nul inaugural difficile contre la Russie, dans les conditions que tout le monde connait, a ouvert son compteur de victoire face au voisin gallois en s’imposant 2 buts à 1 dans les derniers instants grâce à un but du Red Daniel Sturridge. Toujours dans le groupe B, la Slovaquie a sans doute mis fin aux ambitions russes en s’imposant 2 buts à 1, au grand bonheur des organisateurs et des forces de l’ordre, qui pourraient être enfin débarrassés des hooligans russes. Dans le groupe C, l’Allemagne a marqué le pas face à la Pologne en concédant un match nul et vierge face à leurs voisins, qui se sont payés le luxe de s’offrir les meilleures occasions du match. LA qualification dans ce groupe C se jouera entre ces 2 équipes et l’Irlande du Nord, qui a surpris l’Ukraine 2 buts à 0. Dans le groupe D, le double tenant du titre espagnol a effacé son 1er match laborieux face aux tchèques pour s’imposer largement dans le second, 3 buts à 0, face à la Turquie, sur des réalisations de Nolito et un doublé de Morata, et ainsi assurer sa place en 1/8ème. LA Turquie, avec 2 défaites est probablement éliminée tandis que les croates et les tchèques se disputeront la 2nde place du groupe. Dans le groupe E, l’Italie a confirmé sa victoire surprise contre les diables rouges en s’imposant beaucoup plus difficilement contre la Suède de Zlatan Ibrahimovic. Dans le même temps, la Belgique a enfin lancé son Euro en étrillant l’Irlande sur le score sans appel de 3 buts à 0 avec un Eden Hazard retrouvé et un Romeo Lukaku, toujours décrié mais auteur d’un doublé. Les italiens déjà qualifiés dans ce groupe, seront accompagnés par le vainqueur du match Belgique-Suède ou par les belges en cas de match nul. Enfin dans le dernier groupe, le F, le Portugal de Cristiano Ronaldo est en grande difficulté. Après des matchs de préparation plutôt encourageants, les portugais ne parviennent pas à décoller dans cette compétition. Pourtant les lusitaniens ont les occasions, mais leur jeu offensif semble essentiellement reposer sur la star madrilène, peu en réussite, depuis le début de cet Euro, avec notamment un pénalty sur le poteau face aux autrichiens. Résultat, seulement 1 but marqué par Nani face aux islandais et 2 matchs nuls en 2 matchs. Avec cette 3ème place provisoire, le Portugal face devoir s’imposer face au leader hongrois, qui a arraché le nul face à l’Islande, pour espérer se qualifier.

De l’autre côté de l’Atlantique, la Copa America a livré son verdict des ¼ de finales. Et les heureux élus sont donc les Etats-Unis, à domicile, qui ont disposé de la surprenante équipe d’Equateur, bourreau du Brésil en phase de poules sur le score de 2 buts à 1, et qui affronteront la Colombie, qui après un 1er tour mitigé conclu par une surprenante défaite face au Costa Rica, a connu toutes les peines du monde à se défaire des modestes péruviens aux tirs aux buts. L’autre ½ opposera les deux grands favoris de la compétition, à savoir le Chili, qui a littéralement explosé le Mexique sur le score surprenant à ce niveau de la compétition, de 7 buts à 0, dont un quadruplé d’Eduardo Vargas, le buteur d’Hoffenheim et un doublé du gunner, Alexis Sanchez :

Et l’argentine de Léo Messi, qui a profité de la victoire des siens face au Venezuela, autre surprise de la compétition, 4 buts à 1, pour marquer son 54ème but en sélection et égaler le record de Gabriele Batistuta :

Les ½ finales sont prévues les mardi 21 et mercredi 22 juin, tandis que la finale se déroulera le 26 juin dans le MetLife Stadium d’East Rutherford, enceinte habituelle des Giants et des Jets de New-York.

En Golf, à l’US Open, Dustin Johnson, 32 ans, remporte enfin le 1er titre majeur de sa carrière, après plusieurs places d’honneur et de nombreuses désillusions :

Pourtant, l’américain, qui a débuté ce 4ème tour avec 4 coups de retard sur le leader, Shane Lowry, a cru revivre le cauchemar de Whistling Straits en 2010, lorsque les arbitres l’avaient privé du play-off pour une pénalité justifiée mais cruelle. Ainsi sur le green du 5, le joueur voit sa balle bouger alors qu’il est à l’adresse pour putter. D’abord non sanctionné par les arbitres, le joueur se voit ensuite signifier, au départ du 12ème trou, qu’il devra s’expliquer à la fin de son parcours pour déterminer si une pénalité doit lui être appliquée. A ce moment, le joueur ne compte qu’un coup d’avance sur son plus proche poursuivant et aurait pu commencer à douter. Mais finalement, après que tous ses adversaires, Sergio Garcia, Scott Piercy ou Shane Lowry, se sont écroulés les uns après les autres, le champion américain, il sera bien sanctionné d’un coup de pénalité, sans conséquences, puisqu’il termine le tournoi avec 3 coups d’avance sur le revenant, Jim Furyk, auteur de la remontée du jour avec un score de -4 sur la journée. Dustin Johnson est enfin devenu un vainqueur majeur cette nuit, une juste récompense pour un joueur de son talent, qui termine donc avec un score final de -4, 3 coups devant Jim Furyk, Scott Piercy et Shane Lowry. Le 1er français se nomme Grégory Bourdy, qui échoue à la 18ème place après deux derniers tous difficiles en 75 et 73, tandis que Romain Wattel se classe 63ème à +17. A noter enfin que ce tournoi a vu les grands champions, Rory McIlroy, Phil Mickelson ou encore Justin Rose échouer à la barrière du cut et que Henrik Stenson, le champion suédois, a dû, lui, abandonner.

En Rugby, la grande affiche de la finale du Top 14, qui se déroulera exceptionnellement à Barcelone au Camp Nou, en raison de l’Euro 2016, qui mobilise les principaux stades français, est connue. Elle verra s’opposer le Racing 92, tombeur du leader de la saison régulière Clermont-Ferrand, et le RCT, qui a disposé de Montpellier, surprise de cette fin de saison et véritable épouvantail des phases finales, dans une revanche attendue du ¼ de finale de la coupe d’Europe, qui avait vu le Racing battre les toulonnais à Colombes :

Les Racingmen ont donc gagné leur place pour la grande messe du rugby français en venant à bout de l’ASM dans un match particulièrement spectaculaire et tendu, durant lequel les deux équipes se sont rendu coups pour coup. Ce match incroyable a rompu avec la tradition de ces dernières années, qui offrait aux spectateurs et téléspectateurs des matchs fermés et rugueux, qui se jouaient sur la botte des buteurs. A l’opposé, Racingmen et Clermontois avaient décidé de jouer et de proposer du spectacle et le résultat a été à la hauteur, avec pas moins de 5 essais, 3 côté francilien et 2 côté auvergnat, et un match qui s’est finalement joué en prolongation sur un écart d’un petit point seulement. Et parce qu’il était écrit que ce match resterait dans les annales, il a fallu un dernier essai controversé de Juan Imhoff sur une interception de Kruger, qui allait ensuite envoyer l’ailier argentin vers l’en-but adverse sur une passe à la limite de l’en-avant. Après arbitrage l’essai était finalement accordé au grand dam des jaunards et Dan Carter prenait ses responsabilités et justifiait son transfert mirobolant pour réussir la transformation et envoyer son équipe au paradis, 34 à 33. Il ne restait plus aux parisiens, qu’à contenir le dernier assaut clermontois pour ensuite laisser exploser leur joie.

L’autre ½ finale nous a offert un match moins spectaculaire, malgré les 2 essais de chaque côté, signés Nonu et Tuisova, côté varois, contre un doublé de Mogg, pour les héraultais, et surtout moins indécis, puisque les toulonnais ont rapidement pris le dessus sur leur adversaire pour ne plus jamais lâcher. Battu sur leur point fort, à savoir la puissance physique et le combat, les joueurs de Jake White, n’ont jamais réussi à mettre en place leur jeu et ont subi durant 80 minutes les assauts continus et surpuissants des avants toulonnais. Avec autant d’essais de chaque côté, c’est donc la botte du revenant Leigh Halfpenny, auteur de 5 pénalités et d’une transformation, qui a fait la différence, face à son homologue, Demetri Catrakilis, auteur de « seulement » de 2 pénalités et d’une transformation. Au final, le RCT s’impose donc de 9 points, 27 à 18, et permet ainsi à Bernard Laporte, qui quittera la rade en fin de saison, de rallier sa 8ème finale en 5 ans, dont 4 titres :

Espérons désormais que le match de la semaine prochaine, qui se jouera à guichet fermé dans une enceinte de rêve, sera à la hauteur de ces ½ finales, qui bien que très différentes, nous ont toutes deux offert un spectacle, digne du plus grand championnat de Rugby au monde.

Alors qu’on leur promettait l’enfer à Tucuman en Argentine, la jeune et inexpérimentée sélection de Guy Novés a montré de réelles promesses lors de ce 1er test-match face aux redoutables pumas, ½ finaliste de la dernière coupe du monde. Certes au final, les bleus, joueurs, séduisants et généreux, s’inclinent 30 à 19, mais après avoir plus que résisté jusqu’à la soixantième minute de jeu et un score en faveur de la France 19 à 17. Jusque-là les pumas s’étaient contentés de défendre avec 66% de temps de jeu dans leur camp et deux fois plus de plaquages réalisés que les bleus, et de faire pruve de réalisme. Mais trop fatigués et handicapés par le carton jaune de Jefferson Poirot, les tricolores ont fini par céder en fin de match face aux coups de butoirs argentins et un essai de Guido Petti, qui anéantit leurs derniers espoirs d’exploit. Encourageants, les bleus doivent désormais confirmer leurs bonnes intentions lors du second test-match.

En Volley-ball, la ligue mondiale, dont le 1er week-end se déroulait à Sydney en Australie, sert de répétition générale à des Jeux Olympiques, qui ne sont plus qu’à quelques jours désormais. Tenante du titre, l’équipe de France a pris un excellent départ en battant sèchement les italiens et les australiens 3 sets à 0, avant de perdre en clôture du week-end face à la Belgique lors du set décisif. Des résultats globalement mitigés pour nos bleus, qui laissent donc la tête de la compétition aux deux seules équipes toujours invaincues, à savoir le Brésil, grand favori de cette compétition et de ses jeux, qui a disposé de l’Iran de l’Argentine et des Etats-Unis en ne cédant qu’un set aux américains, et la surprenante équipe de Serbie, qui a réussi un carton plein face à des équipes chevronnées, la Russie, la Bulgarie et la Pologne, sans concéder le moindre set. Non qualifiés pour les jeux de Rio, les serbes, en grande forme, pourraient regretter de ne pas avoir franchi les qualifications, car ils auraient surement eu une carte à jouer lors de ces olympiades brésiliennes.

En sport automobile, le week-end était l’occasion des mythiques 24 heures du mans, avec en tête d’affiche, dans la catégorie reine LMP1, les Porsche, les Toyota et la Audi. Largement perturbée par les conditions climatiques, la course a démarré sous safety car après un départ donné par Brad Pitt. Très rapidement en difficulté, les Audi n’ont jamais pesé dans la course, en raison de divers problèmes techniques et ont donc laissé la course s’animer autour du duel entre les Porsche et les Toyota. Après de multiples changement de leaders entre les Toyota 5 et 6 et la Porsche 2, puisque la Porsche 1 a été rapidement mise hors-course en raison d’une surchauffe, c’est finalement la Toyota n°5, qui semblait si diriger vers une victoire logique, après 250 tours passés en tête de la course. Mais les dieux de l’automobile et de la fiabilité en avaient décidé autrement et dans le dernier tour, la voiture pilotée par Kazuki Nakajima a dû abandonner sur problème mécanique et laisser la victoire au trio Neel Jani, Marc Lieb et Romain Dumas sur Porsche :

Finalement classée 45ème, la Toyota n°5 laisse donc sa place sur le podium à la n°6 pilotée par Stéphane Sarrazin, Mike Conway et Kamui Kobayashi et à l’Audi n°8 de Loïc Duval, Lucas di Grassi et Oliver Jarvis.

En Formule 1, le grand prix d’Europe, dispute à Baku en Azerbaidjan a permis à Nico Rosberg de renouer avec la victoire, la 5ème de la saison et la 19ème de sa carrière, pour reprendre un peu d’air au championnat du monde, 24 points d’avance, et casser la spirale positive de son coéquipier, Lewis Hamilton, qui termine, lui à la 5ème place après un grand prix mouvementé et ponctué par 3 sorties de route, dont une en qualification, qui lui coûte surement ses chances de victoire finale et deux en courses, qui l’ont empêché de revenir sur le podium. Le podium qui est complété par la Ferrari de Sébastien Vettel, toujours plus à l’aise en course qu’en qualification et par la Force India de Sergio Perez, qui permet à la petite écurie indienne de signer le premier double podium sur une saison de son histoire (après celui de Monaco, déjà grâce au pilote mexicain) et de conforter sa 5ème place au classement des constructeurs. A l’inverse des Ferrari, qui place également Kimi Raïkkönen au 4ème rang, les Red Bull ont montré de grosses lacunes en course alors qu’elles dominent la Scudéria en qualification. Ainsi l’australien, Daniel Ricciardo, échoue au 7ème rang alors qu’il s’élançait de la 1ère ligne aux côtés du futur vainqueur, Nico Rosberg, tandis que Max Verstappen, qui marque le pas après des débuts en fanfare, n’est parvenu qu’à remonter une seule place en course pour échouer juste derrière son coéquipier au 8ème rang :

Prochaine étape dans 15 jours en Autriche dans l’antre des Red Bull, le circuit de Spielberg.

En Cyclisme, le tour de Suisse a vu la victoire surprise du jeune colombien, Miguel Angel Lopez (Astana), devant l’espagnol Jon Izaguirre de la Movistar et le français Warren Barguil (Team Giant – Alpecin), qui termine donc la course helvète à une très prometteuse 3ème place, malgré sa déception du contre la montre de samedi qui l’a vu perdre son maillot de leader au profit du colombien. Grand perdant de cette dernière étape raccourcie à 57 kilomètres en raison des conditions météorologiques et remportée par un autre colombien Jarlinson Pantano, l’américain Andrew Talansky, de l’équipe Cannondale, rétrograde du 2nd au 6ème rang au classement général, après avoir perdu près d’un minute dans le final, tandis que le vainqueur de l’étape du jour , grimpe lui au 4ème rang d’une course finalement assez spectaculaire, qui n’a pas permis aux favoris (Van Garderen, Kelderman, Costa ou Spilak) de confirmer leurs statuts. Le classement final de cette épreuve :

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