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Sport

L’essentiel de l’actualité sportive du 16 au 22 mai 2016

Le formidable 3ème sacre consécutif de Séville en Europa League, mais aussi toutes les finales de coupe des grands championnats européens, sans oublier le rugby avec le Top 14, la basket avec la NBA et la Pro A, mais aussi le hockey avec la NHL et les championnats du monde, le cyclisme avec le Giro ou encore le handball et la finale de la coupe de France ou la Natation et les championnats d'Europe à Londres, ainsi que les grands débuts de Roland-Garros, porte d'Auteuil ...

L’information de la semaine est le 3ème sacre consécutif du FC Séville de Kevin Gameiro en Ligue Europa. Grâce à un but de son buteur français et un doublé de son capitaine Koke, le club sévillan est donc rentré dans l’histoire de cette compétition et devenant le 1er club à la remporter 3 fois consécutive. Et pourtant, les espagnols étaient bien mal engagés dans cette finale après le petit bijou de Daniel Sturridge de l’extérieur du pied gauche dans le petit filet du gardien sévillan juste après l’heure de jeu. Surtout que dans cette même 1ère période, les joueurs de Unai Emery auraient du concéder au moins 1 pénalty et Dejan Lovren, ex-lyonnais, s’est vu refuser un but pour un hors-jeu du même Daniel Sturridge. A la pause, les joueurs de Jurgen Klopp, décidemment maudit en finale après ces nombreux échecs avec Dortmund, avaient donc déjà une main sur le trophée et sur la place en Champions League, offerte au vainqueur. Mais c’était sans compter sur le cœur et le talent des double tenant du titre, qui dès le début de la seconde période ont donné le ton du récital des futurs vainqueurs, avec ce but du français Kevin Gameiro, no sélectionné par Didier Deschamps pour l’Euro 2016 à la 46ème minute. A cet instant le vent avait clairement tourné en faveur des sévillans et plus rien ne semblait pourvoir arrêter l’enthousiasme des joueurs espagnols, qui après le doublé de leur capitaine, Koke, aux 64ème et 70ème minutes, pouvaient enfin savourer cette victoire, synonyme de record, mais également de qualification pour la prestigieuse Ligue des Champions, dans laquelle ils rejoindront les 4 autres clubs espagnols qualifiés, LE FC Barcelone, le Real Madrid, L’Atletico et Villareal, pour former la colonie la plus importante de la compétition. Les espagnols, qui dominent donc le football européen cette saison, puisqu’ils sont déjà assurés de remporter les 2 coupes européennes en 2016. De leur côté, les Reds pouvaient regretter les erreurs d’arbitrage de la 1ère période mais surtout leur déconcentration fatale du début de la seconde période, qui leur coûte un trophée européen, qui les fuit depuis 2003. Pour les malchanceux qui n’auraient pas eu la chance de suivre cette finale spectaculaire, voici un résumé des meilleurs moments :

Le reste de l’actualité footballistique était consacré aux finales des coupes nationales dans tous les grands championnats européens.

En tout bien tout honneur, commençons par la France, qui nous offrait l’affiché rêvée à ce stade de la compétition entre le recordman des victoires, l’Olympique de Marseille et celui qui pensait le rejoindre au palmarès et l’actuelle équipe dominante de l’hexagone, le PSG. Sans grande surprise, les parisiens ont fait honneur à leur rang et ne se sont pas privés de remporter leur 10ème trophée dans cette compétition et leur second triplé consécutif sur le plan national, avec le championnat et la coupe de la ligue. Dans un match spectaculaire et rythmé, les 2 équipes nous ont offert un spectacle digne de cette affiche. Les parisiens n’ont eu besoin que de 2 petites minutes pour ouvrir les débats avec un but de Matuidi sur un caviar, dont il a le secret, de l’argentin Angle Di Maria. Mais les marseillais ont eu le mérite de ne jamais baisser les bras et, grâce à un pressing, parfois efficace, sont parvenus à égaliser grâce à Florian Thauvin, meilleur joueur marseillais de ces dernières semaines et qui a donné le tournis tout le match au, pourtant expérimenté brésilien, Maxwell. Avec ce score de parité à la pause, les marseillais gardaient donc un espoir de créer l’immense surprise tant attendue par les 20 000 supporters, qui ont fait le déplacement depuis la cité phocéenne, mais un début de 2nde mi-temps catastrophique, à l’instar du début du match va ruiner ces derniers espoirs. En concédant un pénalty inutile sur Matuidi, Karim Rekkik va précipiter la chute des siens et offrir à Zlatan ibrahimovic l’occasion de briller une dernière fois sous les couleurs parisiennes. La star suédoise ne va évidemment pas manquer l’occasion de marquer son 155ème but en France et priver Mandanda, qui disputait également son dernier match à l’OM, d’un ultime exploit. Dès lors, le match était plié et les parisiens pouvaient dérouler leur football, malgré les absences de Verrati et Thiago Motta au milieu de terrain. Un nouveau but de Zlatan, ainsi qu’une passe décisive pour son compère de l’attaque, Edinson Cavani et un but anecdotique de Michy Batsuayi plus tard et les parisiens pouvaient savourer leur dernier trophée de la saison avec leurs supporters. Ce PSG, made in Qatar est bel et bien seul au monde sur le plan hexagonal mais il lui reste désormais à franchir ce dernier palier sur le plan européen et ce sera sans son gant suédois, qui quitte la France sur une pluie de records et une domination sans partage, mais sans avoir prononcé le moindre mot en français. Pour tous ceux qui n’étaient pas devant leur poste samedi soir, voici un résumé des meilleurs moments de ce match, digne d’une finale de coupe de France, avec 2 belles équipes, qui ne jouaient pas sur la même planète :

En Allemagne également l’affiche était alléchante et opposait les deux équipes qui dominent la Bundesliga depuis plusieurs années, le grand Bayern de Munich et son éternel dauphin, le Borussia Dortmund. Malheureusement cette affiche n’aura pas tenu toutes ses promesses et n’aura pas permis aux 74 000 personnes de l’Olympiastadion de Berlin de voir trembler les filets et les 2 équipes ont dû se départager lors de la cruelle épreuve des tirs aux buts après un match intense et 120 minutes d’un combat acharné. A ce petit jeu, ce sont les hommes de Pep Guardiola, qui se sont montré les plus habiles et les plus sereins pour offrir à leur coach un nouveau titre et surtout un second doublé coupe-championnat d’affilée en 3 ans :

Le coach espagnol quitte donc la Bavière par la grande porte malgré son échec en Ligue des Champions et peut rejoindre sereinement la Premier League et Manchester City pour écrire une nouvelle page de sa formidable carrière. De son côté, le Borussia devient le 1er club en Europe à perdre 3 finales de coupe consécutive et ne parvient toujours pas à priver son éternel rival de son hégémonie nationale.

Comme le dit si bien le célèbre adage « jamais 2 sans 3 », la finale de la coupe d’Italie nous offrait également un duel passionnant entre une équipe de la Juventus, qui archi domine le football transalpin depuis bientôt une décennie et une équipe du Milan AC, revancharde et privée de titres depuis 2011. A l’instar de l’Allemagne, le duel entre les deux formations a été intense et acharné et aucune des 2 équipes ‘est parvenu à faire trembler les filets adverses au cours des 90 minutes du temps réglementaire. Il a donc fallu aux deux équipes se départager pendant le temps additionnel c’est l’inévitable Alvaro Morata, entré en jeu moins de 2 minutes plus tôt, qui a débloqué la rencontre sur son 1er ballon touché à la 110ème minute, offrant ainsi à la vielle dame son second doublé coupe-championnat consécutif et sa 11ème victoire en coupe d’Italie, record national et privant par la même occasion les Rossoneri d’une participation européenne, alors que le club est en pleine négociation avec d’éventuels repreneurs chinois :

En Angleterre, Manchester United est parvenu à sauver une saison galère en remportant son 1er trophée depuis la retraite de Sir Alex Ferguson. Face à une courageuse équipe de Crystal Palace, qui ne partait clairement pas favori dans cette rencontre, les hommes de Louis Van Gaal, qui devrait céder son fauteuil à José Mourinho dans le courant de la semaine, n’ont pas volé leur victoire mais ont eu besoin des prolongations et d’un but de Lingard à 10 minutes du terme pour atteindre le graal, malgré une fin de rencontre à 10 contre 11, suite à l’expulsion logique de Chris Smalling. Privé de Ligue des Champions la saison prochaine par le rival mancunien de City, les Red Devils peuvent donc se consoler avec ce 12ème sacre en Cup, le 1er depuis 2004, qui leur permet de rejoindre au palmarès Arsenal avec 12 trophées :

Enfin en Espagne, Séville a montré qu'elle était bel et bien une équipe de coupe en tenant tête pendant près de 100 minutes au grand Barca. Malheureusement, les sévillans n'auront pas su profiter de leur supériorité numérique après l'expulsion logique de Javier Mascherano en 1ère période et de la blessure de Luis Suarez en seconde période pour faire la différence lors du temps réglementaire. Egalement réduit à 10 après l'expulsion, toujours logique d'Ever Banega, qui a privé Neymar d'un duel face au gardien adverse en fin de match, les sévillans ont fini par craquer sur un but de Jordi Alba, idéalement servi par un petit bijou de Lionel Messi. Le second but, marqué en fin de match par un Neymar virevoltant restera anedoctique et n'aura permis qu'à enterrer définitivement les derniers espoirs d'une équipe de Seville, de toute façon trop atteinte physiquement pour espérer revenir au score dans les derniers instants. Les catalans signent donc un nouveau doublé Coupe-Championnat, le 7ème de leur histoire et le second consécutif après celui de l'an dernier. Malgré leur désillusion de la Ligue des Champions, les blaugrana terminent donc leur saison sur une note positive et Luis Enrique, entraineur depuis 2014, poursuit sa route vers les records de son illustre prédécesseur, Pep Guardiola.

A moins d’un mois du début de l’Euro, les français dont la sélection définitive est désormais connue ont commencé leur préparation à Biarritz avec les joueurs qui ne sont pas concerné par les derniers matchs de leurs clubs, ainsi que les réservistes, dont Hatem Ben Arfa, qui a brillé lors des oppositions de préparation en marquant buts sur buts et en enrhumant les titulaires avec une facilité parfois déconcertante :

De quoi donner surement des regrets aux quelques 10 000 personnes venus assister à ces entrainements, mais surement pas au sélectionneur, Didier Deschamps, qui sait très bien qu’une compétition ne se gagne pas pendant la préparation et qui a construit sa sélection sur d’autres critères que le talent pur. Sera-ce le bon choix ? Réponse le 10 juillet prochain ...

En NBA, les finales de conférence nous ont déjà réservé deux surprises. Tout d’abord la 1ère défaite dans ses play-offs 2016 de Cleveland, que tout le monde voyait se diriger vers un nouveau « sweep » et qui a chuté à Toronto, malgré deux premières victoires très larges à domicile. La faute à une maladresse suspecte (35,4% aux tirs) mais aussi à un excellent Demar DeRozan (32 points) bien aidé par Kyle Lowry (20 points) et un Bismack Biyombo record aux rebonds (7 points pour 26 prises), les coéquipiers de Lebron James ne sont donc plus invincibles dans cette post-saison et devront batailler plus que lors des 1er et 2nd tour pour rallier une fois de plus les finales NBA :

A l’ouest également, la route des finales n’est pas aussi dégagée que prévu pour le grand favori, Golden State et Oklahoma City a prouvé que l’élimination des Spurs au tour précédent n’était pas le fait du hasard. En effet, les coéquipiers du tandem Durant-Westbrook se sont imposés lors du 1er match en Californie pour reprendre aux Warriors un avantage du terrain, qui pourrait s’avérer décisif. Certes lors du game 2, les hommes de Steve Kerr ont remis les pendules à l’heure pour s’imposer largement 118 à 91, notamment grâce à leur star, Steven Curry, auteur de 28 points en seulement 30 minutes, puisqu’il s’est payé le luxe de suivre le 4ème quart-temps depuis le banc. Le MVP de la saison s’est même permis de scorer 15 points en moins de 2 minutes (1 minutes 58 précisément) pour tuer le match et se rendre dans l’Oklahoma sur le score de 1 victoire partout :

Mais pour défendre leur titre et défier le champion de l’Est, les californiens savent qu’ils devront gagner au moins une fois dans la salle de leur adversaire et le duo Durant –Westbrook ne l’entend surement pas de cette oreille.

Info de la nuit : Les Warriors devront attendre le quatrième match, toujours à Oklahoma pour espérer reprendre l'avantage du terrain car ils ont sombré cette nuit sur le parquet du Thunder sur le score sans appel de 133 à 105, notamment grâce à 63 points du duo Kevin Durant (33) et Russell Westbrook (30). Au-delà du score, c'est la capacité des californiens à régir dans cette série, qui inquiète et pourrait leur coûter le droit de défendre leur titre.

En Pro A, les affiches des ½ finales du championnat sont désormais connues et l’ASVEL a créé la 1ère sensation de ces duels en s’imposant de 6 points dans la salle du leader de la saison régulière, l’AS Monaco, qui avait pourtant fait un parcours parfait jusque-là. Avec désormais l’avantage du terrain, les rhodaniens ont toutes les cartes en main pour rallier la finale, durant laquelle ils pourraient retrouver des strasbourgeois, grands favoris du début de saison et qui ont facilement disposé du Mans, 85 à 64 dans leur salle, leur du 1er match. Les matchs 2 de ces ½ finales sont prévus les 23 et 24 mai, toujours à Strasbourg et Monaco, sachant que ces oppositions se jouent au meilleur des 5 matchs.

En NHL également les finales de conférence battent leurs pleins et offrent un suspense haletant. Depuis le début de 2 séries, chaque équipe enchaine victoire à domicile et succès sur la patinoire adverse, si bien que les 2 oppositions sont actuellement toutes les 2 à égalité 2 victoires partout après 4 matchs disputés, sans qu’aucune équipe ne puisse prétendre avoir pris le dessus sur son adversaire direct. Bien malin celui qui pourrait prédire à ce stade des play-offs qui des Blues de Saint-Louis, des Sharks de San José, des Penguins de Pittsburgh ou encore du Lightning de Tampa Bay brandira la célèbre Coupe Stanley dans quelques semaines ...

Mais l’actualité du hockey, c’est surtout le championnat du monde en Russie, qui a vu la victoire du favori canadien face à la surprenante équipe de Finlande, qui avait réussi l’exploit de soritr l’autre favori russe en ½ finale. Au terme d’une rencontre intense et serrée, digne d’une finale internationale, le Canada s’impose 2 buts à 0, après avoir pourtant perdu 4 à 0 face à cette même équipe finlandaise en phase de poule. Les finlandais ratent donc l’occasion de devenir la 1ère équipe championne du monde séniors, des moins de 20 ans et des moins de 18 ans la même année, preuve de l’excellente santé du hockey finlandais, tandis que les nord-américains remportent leur second titre consécutif et le 26ème de leur histoire dans cette compétition. Dans le match pour la 3ème place, la Russie a corrigé les Etats-Unis, qui avaient pourtant tenu tête aux canadiens la veille, sur le score de 7 buts à 2, pour décrocher une médaille de bronze, qui ne suffira pas à effacer la déception de ces championnats du monde pour des joueurs, qui évoluaient à domicile.

Sur le Giro, c’est le surprenant hollandais Steven Kruijswijk, qui porte le maillot de leader au nez et à la barbe des principaux favoris, et notamment Vincenzo Nibali et Alejandro Valverde, qui ont tous les 2 perdu du temps lors de l’étape reine de ce tour d’Italie, disputée sur les pentes des dolomites. Vainqueur de cette même étape reine :

Le colombien Esteban Chavès pointe à la seconde place du classement, à plus de 2 minutes du leader batave, tandis que Nibali et Valverde ont chacun près de 3 minutes à reprendre pour espérer rallier Turin la semaine prochaine avec le maillot rose sur les épaules.

En Tennis, Roland-Garros a démarré sous la pluie ce dimanche et nombre de matchs ont dû être reportés. Passé au travers des gouttes, le français Benoit Paire a eu toutes les peines du monde à se défaire du modeste moldave Radu Albot en 5 sets, au contraire du fantasque australien Nick Kyrgios, qui a tenu son rang pour se débarrasser en 3 sets de l’italien Marco Cecchinato. Malgré le temps, ce début de quinzaine nous a tout de fois offert l'un des plus beaux points de ce tournoi : un lob entre les jambes de l'américain Dustin Brown :

Mais malheureusement, les faits principaux de ce début de quinzaine ne sont pas sur les courts mais en dehors avec les forfaits de Gaël Monfils, dont on attendait beaucoup, mais surtout du suisse Roger Federer, qui rate ainsi son 1er tournoi majeur depuis plus de 16 ans. Mais le champion helvète, pas à 100% a préféré, à juste titre, se préserver pour les prochaines échéances à venir et notamment Wimbledon, dont il sera comme chaque année l’un des favoris. Il laisse donc en découdre Novak Djokovic et Rafael Nadal, qui se retrouveront en ½ finale, mais également Andy Murray, désormais à l’aise sur la surface ocre comme en témoigne sa récente victoire à Rome face au numéro 1 mondial, ou encore le tenant du titre, Stan Wawrinka, vainqueur à Genève la semaine précédant Roland-Garros voire le japonais Kei Nishikori. Quant aux français, en l’absence de Gael Monfils, tous les espoirs reposeront sur Richard Gasquet, Gilles Simon et Jo-Wilfrid Tsonga, voire de Lucas Pouille ou Benoit Paire. Du côté des filles, rien n'a signaler en cette première journée, également perturbée par la pluie.

En Top 14, à 2 journées de la fin, 4 des 6 qualifiés pour les barrages ou les ½ finales sont déjà connus, à savoir, Clermont, qui caracole toujours en tête du championnat après sa nette victoire sur le stade français, 36 à 10, mais aussi Toulon, vainqueur bonifié chez le relégué agenais, 53 à 12, avec 8 essais dont 4 de l’australien James O’Connor :

Et qui a repris la seconde place à Montpellier, pourtant également vainqueur mais beaucoup difficilement 19 à 16 de l’UBB à domicile, mais également qualifié, tout comme le Racing 92, qui s’est également imposé avec le bonus offensif face à Pau, sur le score de 43 à 13. Les 2 dernières places de barragistes se joueront donc entre le Stade Toulousain, vainqueur à Oyonnax 25 à 17, Le Castres Olympique, également vainqueur face à La Rochelle, 67 à 20, l’UBB, grand perdant de cette 24ème journée malgré le bonus défensif ramené de Montpelier voire même Brive, tombeur de Grenoble à domicile 45 à 24 et qui reste en embuscade à 6 points de la dernière place de barragiste.

En Handball, le PSG a échoué là où les footballeurs ont brillamment réussi. En effet les joueurs de la capitale se sont inclinés en finale de coupe de France face à des montpelliérains enthousiastes et qui réussissent donc le doublé avec leur victoire en coupe de la ligue. Cette défaite logique, et qui aurait pu être plus lourde sans les individualités parisiennes, 38 à 32, la 3ème de la saison pour les parisiens face aux joueurs de l’Hérault, sonne donc comme un avertissement pour le PSG Handball, qui devra montrer un autre visage dans une semaine pour le Final Four de la Ligue des Champions :

Enfin en Championnat Europe de natation, les français repartent de Londres avec 9 médailles dont 4 en or (2 titres pour Camille Lacourt en dos et le 50m nage libre pour Florent Manadou ainsi que le relais 4x100m nage libre masculin). Aucun titre donc pour les nageuses tricolores, qui doivent se contenter de la médaille de bronze de Charlotte Bonnet sur 200m nage libre. Un bilan assez maigre pour les nageurs et nageuses français dont on attend beaucoup plus dans 75 jours à Rio, lors des jeux olympiques.

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